LE PÉCHÉ DE MA MÈRE - Tome 2 : La souffrance , livre ebook

Pierre Sokenou - Pierre M. SOKENOU

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122 pages

Français

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Description

Dans le deuxième tome intitulé "La Souffrance", Grâce est confrontée à une série de défis déchirants. Après une grossesse inattendue et une expulsion de l'école en plein milieu de l'année scolaire, elle est contrainte de vivre avec sa tante à Parakou, où elle endure des épreuves inimaginables. Ce récit poignant plonge les lecteurs dans les tourments émotionnels de Grâce alors qu'elle lutte pour survivre dans un environnement hostile, faisant face à des épreuves qui mettent à l'épreuve sa force intérieure et son courage.

Sujets

Littérature Béninoise

Littérature africaine

Afrique

Littérature Africaine

Benín

Benin

Littérature africaine

Informations

Publié par	Pierre Sokenou
Date de parution	01 janvier 2024
Nombre de lectures	2
Langue	Français
Poids de l'ouvrage	1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0500€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

LE PÉCHÉ DE MA MÈRELE É É ÈP CH DE MA M RE

Tome 2 : La souffrance

LE PÉCHÉ DE MA MÈRE

Tome 2 : La souffrance

LE PÉCHÉ DE MA MÈRE

Pierre M. SOKENOU LE PÉCHÉ DE MA MÈRETome 2 Roman

Tome 2 : La souffrance

LE PÉCHÉ DE MA MÈRE

Tél : 96664718

Email :sokenoupierre@gmail.com

Tome 2 : La souffrance

Porto-Novo (Bénin)

LE PÉCHÉ DE MA MÈRE

Simon De SAINT-DZOGOTOE Michel Adjimon NOUDOGBESSI Marcel ALLADE Émile HOUSSOU Bienvenu HOUSSOU & à tous mes lecteurs

Tome 2 : La souffrance

LE PÉCHÉ DE MA MÈRE

Tome 2 : La souffrance

LE PÉCHÉ DE MA MÈRE

«Ceux qui vivent, c’est ceux qui luttent»,Marie Victor HUGO « Les difficultés font partie de la vie de tout homme. Il ne faut pas les fuir, mais les affronter », Amadou KONE«Qui s’acharne au malheur de son prochain avec perpétuité et sans relâche, se tue à petit coup»,Pierre M. SOKENOU

Tome 2 : La souffrance

LE PÉCHÉ DE MA MÈRE

Tome 2 : La souffrance

LE PÉCHÉ DE MA MÈREPRÉFACE La vie ne nous laisse pas opérer nos libres choix. Elle nous choisit, elle-même, une famille : je reste convaincu que beaucoup de gens, vivant dans ce monde, acceptent d’être membres d’une telle ou telle autre famille juste par résignation. Si on avait un mot là-dessus, sur cette liste, je verrais Grâce, le personnage principal du romanLe PrixD’un Péchés’y inscrire et, à la bonne place. Certains parents se plaisent à dire ‘‘je n’ai pas vraiment mis au monde’’ parce qu’ils se sentent être sans enfants malgré une dizaine d’enfants qu’ils ont portée dans leurs seins. C’est tout simplement parce qu’ils se retrouvent sans aucun enfant qui leur prête oreille : Certains grandissent, porteurs de diplômes les plus gradés, gérants de grands comptoirs ou des maîtres de gros capitaux pour abandonner leurs parents dans les oubliettes ; les autres peuvent prendre une autre option pour être encrés dans les plus gros vices comme la prostitution, le vol, le trafic de drogue ou tout simplement de simples bons à rien pour ainsi perdre la confiance de leurs parents. Tout comme ces parents, certains enfants deviennent orphelins trop tôt ou trop tard au vivant de leurs deux parents. Le choix de ce personnage de Grâce par Pierre Mahutin SOKENOU n’est pas un hasard. Tout au long de ses récits, le tome 1 et le tome 2 du romanLePrixD’un Péché, il fait toujours une interpellation à toute personne responsable, acteur de l’éducation, en l’occurrence des parents biologiques et tout autre parent et aîné, les premiers 9 Tome 2 : La souffrance

LE PÉCHÉ DE MA MÈREéducateurs, les enseignants ou professeurs et les membres de la famille élargie. C’est pourquoidans letome 1, il nous a d’abord parlé des blâmes d’un outrage extrême des parents de Grâce ; ensuite, d’un enseignant incivique qui voulait voir les cuisses de Grâce pour de vains motifs et enfin, de la sœur aînée de Grâce qui latraitait sans relâche comme une étrangère. C’est plus tard, dans ce tome 2, qu’il nous parle d’une vilaine tante, on dirait une descendance des vampires, un démon. Alors que les coutumes et les cultures africaines considèrent une tante comme un second père, mais la tante de Grâce l’a prise comme une domestique. Quand je parle de domestique, je n’use que de l’euphémisme, le termeesclave conviendrait encore mieux : un domestique a au moins un salaire et un minimum de respect qui lui sont dus. Même ces clients du restaurant de sa tante qui voulaient la prendre pour un mannequin, ce sont aussi des parents, mais sont-ils vraiment dignes de l’être ? Surtout celui qui l’a invitée dans sa cabane pour un colis à ramener à sa tante. Que comptait-il vraiment faire avec cette pauvre fille, cette malheureuse enfant qui a peut-être l’âge de ses petites-filles ? La vie, c’est comme une rose qui est entourée d’épines. Cette rose, pour plaire aux yeux par sa fraîcheur et son parfum, pour bien embaucher, mais ces épines, c’est certainement une offense pour le toucher. Si cette rose explique les hauts et que ces épines expliquent également les bas, j’aimerais bien le lire chez Zamenga BATUKEZANGA, dans son romanLes hauts et les bas. C’est en ces propos que je reste d’accord avec l’auteur, son antagonisme qui ne cesse de bien retracer ces images tout au long des récits dans les premier et deuxième tomes. C’est surtout par le 10 Tome 2 : La souffrance