Quelques instants dans le jardin des âmes
280 pages
Français

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Quelques instants dans le jardin des âmes , livre ebook

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Description

Et s'il suffisait de savoir ce que l'on veut plus que tout pour avancer et aller plus loin ? En posant cette question fondamentale, « Que voulez-vous vraiment? », l'auteur nous guide avec simplicité pour mieux comprendre avec espoir l’essence des choses. Il nous enseigne à cultiver notre jardin intérieur pour y faire croître le plus beau de nous-mêmes, assorti d’un regard neuf sur autrui, à la fois différent et complémentaire.

Par ce recueil de correspondance, Eléazar permet à chacun la redécouverte de soi, de l’authenticité et des valeurs d'une existence plus consciente.

Chaque chapitre devient une ouverture sur le bonheur, l'amour, la vérité, mais aussi sur les clefs pour se libérer de la peur, de la culpabilité et de l'ego et enfin comprendre que la réalisation spirituelle nous attend tous.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 21 septembre 2016
Nombre de lectures 0
EAN13 9782334219105
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0067€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-334-21908-2

© Edilivre, 2017
Introduction
Ce livre rassemble l’essentiel des textes, communications, courriers, et retranscriptions d’allocutions de l’auteur dans sa démarche visant un témoignage le plus vivant possible de sa propre expérience spirituelle au quotidien au sein d’un monde occidental en perte de valeurs mais où gagnent en revanche l’illusion et le romantisme, tout aussi inducteurs de perdition que le matérialisme forcené et nihiliste. Face à une civilisation humaine désœuvrée et entretenue sur l’oubli de l’essentiel, dont nombre des citoyens recherchent une issue à leur condition comme au désespoir qu’inspirent les articulations de la société contemporaine actuelle, les tentatives de prise de refuge dans la facilité et les lumières des miroirs aux alouettes sont légions, alors que les religions officielles se montrent incapables de répondre aux nouvelles attentes de l’humanité tournée vers un avenir qu’elles souhaitent radicalement différent de ce qu’elle a toujours vécu, et que même les nouvelles philosophies, si « unitistes » soient-elles, échouent dans leurs tentatives de conciliation des oppositions visant l’instauration des prémices d’une nouvelle civilisation unifiée, pourtant incontournable.
Dans une démarche rationnelle, à l’appui d’un discours direct se voulant inspirant mais concret, appelant un chat « un chat », mettant l’accent sur nombre de valeurs perdues, peut-être ressenties comme inconfortables par certains mais néanmoins essentielles, ces écrits sont le témoignage d’un cheminement vécu en conscience, sur des routes déjà cent fois arpentées et croisant celles des Pèlerins de l’Absolu en quête de l’Essentiel, l’auteur, initié d’Occident et en tant qu’autodidacte, invite à partager sa propre conciliation d’un rythme de vie occidental à une aspiration à la découverte perpétuelle de l’essentiel, à l’intériorisation, et à la persévérance dans la quête d’un bonheur légitime et inébranlable car issu uniquement de soi-même et de ses propres richesses intérieures, en s’appuyant sur la voie qu’il a lui-même ouverte : celle de la Perfection Absolue, accessible à tous sans exception, et ne s’appuyant que sur cinq fondements simplissimes à comprendre et appliquer, considérant cette même perfection comme une dynamique et non comme un résultat ultime.
Ce livre se veut rassurant, réconfortant, encourageant, autant que le témoignage d’une direction à prendre, sur un chemin personnel à emprunter afin de sortir des oripeaux du passé et gagner en liberté intérieure selon son ressenti propre en réponse à cette invitation au voyage intérieur, prémisse à une liberté extérieure, en tant que voie vers la libération de toutes chaînes permettant la Réalisation de Soi.
Il est un condensé de ce qui fut dit et écrit, parfois réactualisé de manière à toujours correspondre au plus près possible de la justesse du moment présent. Fervent défenseur de la transcendance de la religion comme de la mystique en la découverte d’une nouvelle sacralisation du quotidien hors des carcans dogmatiques et des techniques relevant d’une école plutôt que d’une autre et s’opposant encore les unes les autres dans une logique compétitive, l’auteur à enseigner l’apprentissage d’un cheminement non-marginal par soi-même et selon son propre entendement, plutôt qu’en suivant les fondements d’une doctrine de plus.
Présentation de l’auteur
Issu d’un catholicisme traditionnel qui l’a très tôt insatisfait en tant que voie de la vérité qu’on lui désigna comme étant absolue au détriment des autres traditions, celui que l’on connaît sur Internet depuis 1999 sous le nom de « Eléazar » fut tout d’abord initié au sein de plusieurs traditions occidentales en parallèle d’études de sciences occultes menées en autodidacte lui valant le surnom de « Eléazar le Magicien », et à la pratique desquelles il se fit très tôt renonçant devant le néant spirituel vers lequel il s’aperçut qu’elles le menaient. En 1991 il rencontra son véritable Maître et reçu de sa part l’initiation à une voie unitiste de synthèse des traditions rassemblant les vertus auxquelles Eléazar aspirait ; voie qui fut malheureusement pervertie et érigée en « religion de l’Unité », manipulant et trahissant la vocation que son fondateur avait envisagée pour elle, laquelle s’enlisa dans la corruption. Eléazar reprit dès lors le flambeau de l’idéal d’Unité tant défendu par son Maître et le fit sien par vocation et en hommage à ce dernier, au travers d’une nouvelle approche de la maîtrise de soi dans la droiture sans faille, profondément areligieuse et agnostique telle qu’il avait été prévu qu’elle fût.
Enseignant depuis plus de vingt ans, majoritairement grâce à l’Internet, Eléazar sut réunir les suffrages de nombre de lecteurs de ses écrits éparpillés au fil du temps, trouvant en son discours adogmatique les arguments mettant en résonance leurs aspirations profondes et la réponse à un appel intérieur afin de trouver en eux les ressources nécessaires leur permettant d’aller plus loin, toujours plus loin.
Eléazar est l’initiateur de la réémergence de la connaissance « magique » à vocation Initiatique et non orientée vers la recherche de quelques pouvoirs, et à ce titre autant le fondateur de l’Académie Holistique du Savoir, que de l’Archimagistère en tant que voie évolutive unitive de synthèse, donc également et par essence areligieuse et agnostique, mettant en avant l’extrême aisance de la redécouverte de l’essentiel en soi, de l’authenticité, et des valeurs propres à une existence plus consciente et plus saine, enseignant que la vérité autant que l’erreur se trouvent de façon omniprésente en toute chose en proportions variables et mettant en avant la nécessité de discerner en soi entre réalité et illusion.
Il pose ainsi les jalons d’une voie courte et simple de Réalisation intérieure véritable, sans rien attendre, sans rien espérer pour lui-même, offrant à celles et ceux qui les cherchent une possible voie de découverte de repères, de consolation, et de maîtrise de soi et des événements corollaires, leur offrant les outils pour ne plus jamais être victimes en rien ni de rien, autant que de déconditionnement du diktat mental instillé par la société du prêt à penser et du préjugé. Le but proposé est la liberté absolue, la Libération de toutes chaînes, la toute naturelle Réalisation de soi par l’exploration de l’insondable infinitude des richesses intérieures à l’âme humaine.
Eléazar n’a pas pour vocation de faire des convaincus, ni des émules, ni des adeptes, ne demande rien à quiconque, dispense tout ce qu’il peut à titre gratuit, et vit dans un climat d’austérité et de travail quant à la mise en action de ses propres préceptes et de son œuvre à laquelle il se consacre entièrement corps et âme afin que le plus grand nombre possible de ceux qui aspirent à s’extraire d’une certaine forme de médiocrité dans laquelle ils ont le sentiment d’avoir été cantonnés, puissent entendre l’appel lancé et, s’ils le souhaitent, y répondre et s’épanouir à la chaleur et à la lumière de leur soleil intérieur selon leur propre sensibilité, et non selon un dogme immuable et établi. Fidèlement au maître-mot d’ordre de l’Archimagistère, il n’est mu que par la seule satisfaction de faire ce qui doit être fait, ancré dans le présent, tourné vers l’avenir, sans un regard pour le passé…
« Ne me croyez pas. Soyez dans l’attention juste et vigilante, et expérimentez ! » (Eléazar)
Amour, plaisirs, et bonheur
Comment concilier dans notre société contemporaine cette hypothétique mise à mort d’une part de nous-même dans le cadre d’une quête spirituelle, partant à la recherche de l’essence des choses en soi, avec le fait de tomber amoureux ou amoureuse ?
Tomber amoureux d’une « personne », n’est-ce pas davantage pour sa personnalité propre, ses caractéristiques propres, ses petits défauts comme ses qualités, plutôt que parce qu’elle incarne l’Absolu, féminin ou masculin ?
Voilà le genre de questions qui souvent revient lorsque l’on parle de haute spiritualité, créant un recul chez certains, motivé par la peur que les relations humaines ne deviennent tellement aseptisées que le fait de tomber amoureux, comme celui de faire l’amour, tombe quasiment sous le coup d’un « interdit Divin ». Voici la preuve que les messages de groupes tels que la célèbre « Church of Satan » fondée par Anton Szandor Lavey, dont le commandement majeur est : « Fais ce que tu veux », aura fait davantage de chemin dans les esprits qu’on pourrait le penser. La manipulation en rapport tend à faire admettre que si au nom du diable (toujours un peu festif) tout est permis, au nom de Dieu (toujours un peu rabat-joie, voire acariâtre) tout est interdit, du moins tout ce qui est agréable.
Qui a jamais prétendu que la vertu était incompatible avec l’acte amoureux ? Les grands saints de l’histoire de la Chrétienté entre autre, comme les Renonçants de l’Inde, ont généralement marqué les esprits par leur exemple donné de l’ampleur des renoncements auxquels ils se sont soumis, inspirant les uns, souvent intellectuellement en l’Occident car si les saints le sont, c’est parce qu’ils ne sont pas « comme tout le monde », aussi grands soient leurs mérites propres (excluant de fait le commun des mortels de tels exploits que la raison impose de ne même pas tenter d’imiter, ce qui serait preuve d’un outrageux orgueil en plus d’être totalement vain puisque de fait nul n’y parviendrait sans être saint…), mais aussi répulsifs pour les autres qui n’ont aucune envie de vivre une telle vie de privations. Nous n’entrerons pas plus profondément dans la notion d’illusion des mécanismes de séduction des cour

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