Nos capacités illimitées
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Description

Provocateur par son titre, ce livre pour tout public, est destiné à ouvrir la conscience et susciter le questionnement chez le lecteur souvent au travers d’hypothèses susceptibles de choquer. L’humain se limite dans tous les domaines par une peur inconsciente face à ses capacités qui sont illimitées.
Ce livre se veut lanceur d’alerte afin de sensibiliser le public aux problèmes majeurs touchant l’ensemble de la planète et portant gravement atteinte à son intégrité.
Cet ouvrage veut mettre en évidence la convergence et la fusion possible de la science et de la spiritualité.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 31 juillet 2023
Nombre de lectures 0
EAN13 9782383518723
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0060€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
 
 
 
 
 
 
 
La SAS 2C4L — NOMBRE7, ainsi que tous les prestataires de production participant à la réalisation de cet ouvrage ne sauraient être tenus pour responsables de quelque manière que ce soit, du contenu en général, de la portée du contenu du texte, ni de la teneur de certains propos en particulier, contenus dans cet ouvrage ni dans quelque ouvrage qu’ils produisent à la demande et pour le compte d’un auteur ou d’un éditeur tiers, qui en endosse la pleine et entière responsabilité.
Titre
Hervé Staub
Nos capacités illimitées
En être conscient pour l’assumer pleinement Une approche de la réalité de notre Être
Préface
Ce nouveau livre d’Hervé Staub nous amène à nous questionner sur la réalité de notre Être. La question n’est pas nouvelle et peut se rattacher à la fameuse devise socratique « Γνῶθι σεαυτόν » que l’on retrouve gravée sur le fronton du temple d’Apollon à Delphes. En latin, cette devise peut se traduire par «  Nosce te ipsum  » et par « Connais-toi toi-même » en français. En fait, selon des sources érudites, il y aurait eu pas moins de 147 devises gravées dans les pierres de ce temple donnant une feuille de route pour vivre sa vie en toute plénitude. En fait, on retrouve la plupart de ces devises en parcourant le livre d’Hervé Staub, signe que son argumentation se place dans la lignée directe d’une sagesse remontant à la plus haute antiquité. Mais comme nous vivons à une époque où la technologie prend une place de plus en plus envahissante, on peut aussi se poser la question de savoir si l’argumentaire développé dans ce livre tient la route d’un point de vue strictement scientifique. Mon opinion est que si l’on se place au niveau le plus global, la réponse est évidemment oui, puisque la physique quantique nous apprend que l’on peut associer à chaque phénomène naturel un objet mathématique appelé « fonction d’onde » qui possède une valeur non nulle dans tout l’espace-temps. La science moderne pose donc bien comme postulat de base que tout être est foncièrement de nature illimitée aussi bien dans l’espace que dans le temps. La démarche d’Hervé Staub doit donc être comprise dans ce contexte quantique global et ne peut pas être rejetée par un simple haussement d’épaules.
Le fait d’être conscients que nous sommes des êtres illimités devrait avoir normalement des répercussions profondes sur notre mode de vie, car si je suis vraiment de nature illimitée, alors l’autre, l’étranger, le quidam est aussi de même nature que moi, ce qui fait que nos fonctions d’onde respectives se mélangent qu’on le veuille ou non. Mais alors comment être raciste ou violent dans de telles conditions ? Car si je suis raciste c’est que quelque part je me déteste ou si je suis violent c’est qu’ in fine je suis tout simplement en train de me détruire. Le corollaire de cette prise de conscience est que le fait d’être raciste, violent ou intolérant trouve sa source dans la négation de notre aspect illimité, c’est-à-dire dans la croyance que notre être se trouve limité dans l’espace par notre enveloppe corporelle et dans le temps par nos dates de naissance et de mort.
C’est cette grande illusion que dénonce Hervé Staub dans les deux premiers chapitres de son livre en passant en revue de manière très simple le vocabulaire de base qui permet de parler de cette partie infinie de notre être que les plus grands sages connaissent bien et que les moins sages au mieux ignorent ou au pire raillent en permanence. Mais cultiver la partie infinie de notre être tient plus de l’art que de la science, sauf si l’on se place évidemment dans le paradigme quantique. C’est la raison pour laquelle il faut être tolérant envers ce qui est écrit dans certains chapitres, notamment sur la partie consacrée à la puissance de l’intention qui, si on la lit avec une pensée enracinée dans la physique classique, pourra faire grincer les dents de la plupart des matérialistes pour qui toute réalité trouve sa racine ultime dans la matière.
Si vous lisez les chapitres 5 et 6 où sont très bien décrits les conséquences d’avoir une vision purement matérialiste des choses, vous devriez comprendre le bonheur et le soulagement que l’on ressent en apprenant que la matière n’est après tout qu’une illusion forgée par notre cerveau qui analyse tout à la lumière de sa finitude mesurée par le nombre de neurones qu’il contient. Car c’est exactement ce que nous apprend la physique quantique. Si vous faites encore partie des personnes qui pensent que la matière est une chose réelle, je me bornerai à citer le grand mathématicien Henri Poincaré qui écrivait dès 1905 dans son livre La Science et l’Hypothèse (première phrase du chapitre 13) que : «  L’une des découvertes les plus étonnantes que les physiciens aient annoncées dans ces dernières années, c’est que la matière n’existe pas  ». Voilà, on ne saurait être plus clair et le livre d’Hervé Staub doit donc être lu à l’aune de cette affirmation émanant d’une personne qui n’appartient clairement pas à une quelconque mouvance New-Age, où ce genre de phrase ne surprend personne.
La matière est donc une illusion certes, mais une illusion persistante et tenace, dont il est très difficile de se débarrasser. Pour conserver à la matière un aspect réel et tangible que lui refuse la théorie quantique, les physiciens matérialistes font généralement appel à la notion de décohérence. L’idée est d’accepter le fait que la matière soit une illusion durant un très bref laps de temps où la cohérence quantique brouille les cartes en raison du principe de superposition à l’origine de l’intrication quantique. Passé ce laps de temps, les objets perdraient leurs propriétés quantiques et seraient de nouveau soumis aux lois de la physique classique. On invoque ainsi le fait que la décohérence est induite par les interactions que le système peut avoir avec son environnement. Comme le système quantique est par définition unique et que l’environnement est multiple, on invoque la loi des grands nombres pour justifier le fait que la cohérence ne peut être que détruite.
Le problème avec ce genre d’argument est qu’il ignore le fait qu’il existe des supraconducteurs et des superfluides où l’interaction avec l’environnement permet à la cohérence de se maintenir en dessous d’une certaine température critique. Le cas de la superfluidité est à ce titre exemplaire puisque si l’on remplit un récipient avec un superfluide, on verra le liquide grimper spontanément aux parois du récipient pour venir s’étaler sur le support sur lequel est posé le récipient. Le fait qu’un tel comportement très surprenant au vu de notre expérience quotidienne se manifeste sans problèmes à notre échelle macroscopique est le signe que la théorie quantique s’applique bien à toutes les échelles et pas seulement à l’échelle atomique ou moléculaire comme on voudrait nous le faire croire. Tout le problème revient donc à être capable d’évaluer la température critique de décohérence moyennant la connaissance des interactions, problème qui ne peut être résolu que dans les situations les plus simples qui correspondent généralement à des températures critiques très basses. Le fait que la température de décohérence soit fonction des interactions signifie que des situations de cohérence à haute température critique peuvent très bien être observées à condition de bien maîtriser les interactions.
L’eau liquide est peut-être le meilleur exemple d’une substance ayant une haute température de décohérence (100 °C), ce qui la rend « anormale » du point de vue de ses propriétés analysées généralement de manière purement classique en ignorant la possibilité de couplage des molécules avec le vide quantique qui fourmille d’énergie virtuelle (voir mon livre L’Eau et la Physique Quantique aux Éditions Dangles) pour le mécanisme exact permettant à la cohérence quantique de s’établir. Tout le problème vient ici du fait que l’on pense l’eau liquide comme un assemblage de molécules limitées en taille et en durée de vie, c’est-à-dire en situation de décohérence. Dès que l’on fait intervenir dans les équations le couplage entre une molécule et les photons virtuels qui peuplent le vide quantique, la cohérence se manifeste et implique qu’il faut voir l’eau liquide comme formée d’entités existant à une échelle de taille bien supérieure à la taille d’une molécule d’eau isolée et qui ont des durées de vie qui s’expriment en secondes, voire en jours ou en années et non en picosecondes. Bref, si l’on pense l’eau comme étant une substance illimitée, le fait que nous soyons des êtres illimités découle simplement du fait que sur 100 molécules de notre corps, 99 sont des molécules d’eau.
Le dernier intérêt du livre d’Hervé Staub est qu’il propose au lecteur sa vision du monde et qu’il prend bien soin de préciser que l’on peut parfaitement ne pas être d’accord avec ce qu’il avance. Chacun doit se faire sa propre opinion à la lumière des informations rapportées et qu’en aucun cas ce livre ne peut prétendre à révéler des certitudes. Le livre établit en effet un constat sans complaisance de notre société actuelle qui nous limite sur tous les plans avec ses solutions toutes faites et ses produits prêts à être consommés, et propose une voie de sortie consistant à ouvrir sa conscience aux mondes invisibles et avoir suffisamment confiance en soi pour prendre les bonnes décisions au moment adéquat. Certains lecteurs le suivront et d’autres refuseront de le suivre mais peu importe l’attitude choisie car le but n’est pas de convaincre mais simplement d’informer sur le caractère illimité de notre être profond.
Vézénobres, 24 juillet 2018 Marc Henry , Ingénieur chimiste, docteur ès Sciences, professeur des universités
Avant-propos (Pourquoi ce livre  ?)
En publiant mon premier ouvrage en 1997 1 , je ne me doutais pas que d’autres allaient suivre dans les années à venir. Certes, leurs thèmes n’étaient plus les mêmes mais leurs objectifs convergeaient invariablement vers le même but, celui d’informer, de sensibiliser,

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