Le Paradoxe de la vie inachevée
308 pages
Français

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Le Paradoxe de la vie inachevée , livre ebook

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Description

Comment se peut-il qu’à notre époque il y ait une réponse à ce que nous observons qu’avec un sixième sens ? Une apparition, un esprit, cela étant dit : un spectre peut d’une certaine façon se montrer à nous. De nombreuses questions se posent autour de la vie après la mort. Tout s’oriente autour de lieux idylliques qui s’offriraient à nous après la vie. Les théories divergent.


Cependant la peur que nous ressentons enfant et qui nous faisait vouloir dormir la porte de la chambre ouverte avec l’ampoule du couloir allumée ressurgit une fois adulte dans un sens unique : celle de la peur de la vie après la mort. En ce sens la peur de l’au-delà.


Mais peut-être pas.


Le spiritisme nous pousse à étudier les phénomènes liés à l’au-delà, provenant à nous de l’au-delà. Il ne faut pas dévier vers l’occultisme et l’ésotérisme. Il faut essayer de comprendre ce qu’est un fantôme et le monde des morts en expliquant celui-ci.


Le mystère demeure : La vie après la mort.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 18 juillet 2022
Nombre de lectures 0
EAN13 9782342362039
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0090€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été édité par la Société des Écrivains,
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald – 75019 Paris
Tél. : 01 84 74 10 20 – Fax : 01 41 684 594
www.societedesecrivains.com
client@societedesecrivains.com

Tous droits réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-342-36202-2

© Société des Écrivains, 2022
Phénomènes paranormaux et l’autre clef de l’être
 
« Pour ceux qui ont peur de la mort. Sachons qu’après la mort nous ne sommes plus. »
Épicure
« Notre être véritable est hors des atteintes de la mort. »
Schopenhauer
« Les morts gouvernent les vivants. »
Alain
« Être mort, c’est être en proie aux vivants. »
Sartre
Prologue
La question que l’on peut se poser et qui est bien complexe est celle de notre devenir, car on a du mal à le situer, cette question est basée sous le sceau de « comment deviendrai-je, que serai-je, que va-t-il advenir de moi ? ».
Cependant, il y a un problème qui reste évident, c’est celui de notre origine, car elle a un point de départ.
Le devenir n’a pas de limite, si ce n’est la limite qu’on impose à son propre devenir et qui est gérée par des barrières, tous les possibles sont envisageables.
Il n’y a donc pas de limites dans n’importe quelle direction si ces barrières n’existent pas.
L’origine de notre propre vie est celle du début de notre existence, elle est soit bien, soit mal.
Si l’on se pose une question existentielle qui est celle de notre origine, dans un sens plus large, quelle est celle de mon groupe social, de mon entourage immédiat dans lequel je vis et donc, y a-t-il des lois naturelles qui mettent des garde-fous à tout pour que tout soit en équilibre, en nous et dans la nature ?
Mais ce qui est susceptible de mettre tout en équilibre, n’est-ce pas cette force qui maintient tout en osmose et qui contribue à tout laisser en harmonie ? S’il n’y a pas de rapport entre ce qui est complexe et ce qui est simple, alors ce qui les lie n’intéresse que fort peu de personnes.
La vie post mortem pose un problème, celui-là même où le mortel n’a jamais été confronté au contexte de la vie après la mort pour pouvoir conter l’expérience qu’il aurait faite dans l’au-delà à ses semblables.
De fait, élaborer des écrits qui animent la foi ou la croyance pour obtenir un certain type de notions idéalistes est du domaine de l’humain et de celui qui rédige ces textes pour ses pairs.
La vie humaine n’est pas parfaite. Auquel cas les choix que nous faisons sont bons ou mauvais ! Puis la vie écoulée, il faut bien que l’on s’en aille.
La conception de la vie à trépas peut être subjective.
Ôter le contexte de crainte d’un jugement en un au-delà possible, alors notre subjectivité tente d’organiser pléthore de fantasmes qui perdurent depuis des millénaires, car nous n’avons jamais rapporté de réponses quant à la réalité d’une vie post mortem mais l’envisageons plus sereinement.
Il faudrait toute une vie sinon plus pour parvenir à déterminer réellement la vie après la mort.
Plus on détient une part de vérité dans ce qui est probable et plus on tend au concevable, par le biais de la croyance qui sera prise à un certain degré de réalité.
Ne plus croire, c’est ne plus avoir de repère.
Quand les faits perdent de leur valeur ou sont purement inexplicables, ils entrent dans un domaine proche du rêve, du fantasme !
Nous cherchons à les expliquer alors que nous les trouvons extraordinaires, sortis du quotidien ou hors de notre entendement.
En ce sens, la science évolue afin d’expliquer le mythe, de gnostique à scientifique le pas est énorme.
Les uns croient, les autres expliquent et démystifient.
Pour les agnostiques, il sera plus judicieux de se plonger dans des systèmes, où, la non-croyance, où l’explication rationnelle annihilent le contexte mythique et religieux.
La science tend à expliquer pour celui qui n’a pas de croyance véritable ou de parti pris en la valeur que peut receler le mythe.
La question que l’on peut se poser et qui est bien complexe est celle de notre devenir, car on n’en connaît pas l’étendue ; le devenir est basé sous le sceau de « comment deviendrai-je, que serais-je, que va-t-il advenir de moi, etc. ».
Cependant, une question reste évidente, c’est celle de notre origine, car elle a un point de départ.
Le devenir n’a pas de limite, si ce n’est celle qu’on impose à son propre devenir, ce qui veut dire que s’il n’y a pas de barrières quant à ce qui va advenir, alors tous les possibles sont envisageables et il n’y a donc alors pas de limites dans n’importe quelle direction, et nous nous perdons dans des multitudes de réponses face à des questions floues.
L’origine de notre propre vie est celle du début de notre existence, elle est peut-être bien, ou mal dans la façon où nous l’appréhendons, où nous la comprenons un peu plus tard loin de notre béatitude lorsque nous étions trop jeunes pour comprendre cela.
Ou si l’on se pose une question cruciale, celle de notre origine, dans un sens plus large, quelle est l’origine de mon groupe social, de mon entourage immédiat, et donc y a-t-il des lois naturelles qui mettent des garde-fous à tout pour que tout soit en équilibre dans la nature dans laquelle on se meut ?
Mais ce qui est susceptible de mettre tout en équilibre, n’est-ce pas cette force qui maintient tout en osmose et qui contribue à tout laisser en équilibre et en harmonie ?
Il n’y a pas de rapport entre ce qui est complexe et ce qui est simple, alors ce qui les relie n’intéresse que ceux qui sont prédestinés à pouvoir concevoir cette relation qu’il y a entre le bien et le mal.
J’ai usé beaucoup de fois du mot « Tout » dans ce livre, mais ce « Tout » est primordial. Il demeure indissociable de la transcendance.
Il faut développer ses qualités intuitives dans un effort quotidien fait de concision.
Plus on est concis et précis, et plus ce qui est complexe se simplifie et ce qui est simple est considéré comme facile, voire est mis sur un point de détail qui semble superflu.
Ce que nous ne pouvons pas connaître, nous ne le nommons pas. On a donc recours à la transcendance.
La mythologie grecque nous a parlé des bienfaits que font les mortels à leurs dieux. Ce sont les sacrifices que font les hommes envers eux durant leur vécu.
Soit, quoi qu’il en soit, la prison de chaire, qu’est le corps, est alors toujours vue chez les Grecs, non seulement par eux mais par leurs dieux, comme une prison infamante et douloureuse. Donc à ce stade, les dieux grecs préféraient attribuer la mort aux mortels plutôt que de les laisser vivre trop longtemps dans la souffrance.
En effet, le corps apporte bien des maux, on devient vite souffreteux et l’esprit en est bien conscient et en souffre, donc les dieux grecs, par le don de la mort, octroyaient aux mortels un cadeau de délivrance.
Les augures pour conjurer les sorts étaient fréquents, mais quoi qu’il en soit malgré ceux-ci la mort que l’on croyait éviter par tel ou tel sortilège a raison de n’importe quel mortel.
Plus la personne prenait de l’âge, et plus ce que l’on souhaitait, c’était que la volonté des dieux se réalise, que le destin se réalise, c’est-à-dire que la mort advienne. Cela afin de quitter son enveloppe charnelle, puisque le corps était trop souffreteux.
Dans les mystères d’Éleusis, Perséphone descend aux enfers et revient annuellement dans le royaume des hommes ; elle ne reste pas indéfiniment dans le royaume d’Hadès. Ce qu’elle éclaire sur son passage de la mort à la vie est que la vie après la mort n’est délivrée qu’auprès de gens qui s’intéressent eux-mêmes aux mystères de la vie après la mort. Mais ce sont là des initiés.
Avec Perséphone, munie d’une corne d’abondance ou laide avec à la main une grenade et un flambeau, il faut croire qu’elle permet aux humains de vivre le courroux des dieux aux enfers selon les péchés commis. Perséphone est la fille de Zeus selon l’un des mythes grecs c’est la reine du Styx, la reine des enfers.
Sans doute est-il possible que Perséphone soit éprise de son époux Hadès, et pour cela retourne aux lieux infernaux après sa visite sur Terre. On raconte que les sirènes sont à l’origine des nymphes vouées à Perséphone.
Tout le monde connaît Œdipe. D’ailleurs, comment ne pas le connaître, il vécut tellement de souffrances et de tourments qu’une fois mort il fut en paix. Il faut signaler le rôle de Persée avec les Argonautes, il joua si fort de la lyre que ceux-ci n’entendirent pas le chant des sirènes voulant leur perdition.
Comment concevoir les enfers ?
Le Léthé est avec le Styx un fleuve des enfers, et avec l’Achéron, le Cocyte et le Phlégéton, ils forment les cinq fleuves qui baignent ces lieux.
Le Léthé avait comme privilège de donner l’oubli à ceux qui buvaient de son eau. Cependant, cela faisait oublier aux criminels les délits qu’ils avaient commis dans une vie terrestre.
Tous les habitants de ces lieux buvaient alors de cette eau.
Mais ils ne retrouvaient la mémoire qu’avec l’aide d’un dieu qui descendait aux enfers et leur faisant boire du sang.
De leur vie passée on offre l’oubli avant une renaissance, peut-on dire. C’est pourquoi les morts n’ont plus le souvenir de ce qu’ils ont connu sur Terre, si on se fie aux particularités mêmes de ce qu’apporte le fait de boire à l’eau du fleuve Léthé.
Les âmes boivent de l’eau du Léthé seulement pour absorber l’eau de l’oubli, également pour ne plus se souvenir des méfaits qu’ils ont commis sur Terre, aussi pour effacer les tourments infernaux.
* * *
Le Graal peut être apparenté à un calice, celui-là qui reçut le sang du Christ lors de sa crucifixion.
Il représente d’une manière allégorique le contenu et le contenant.
Si le contenu est le sang du Christ vu d’une manière simple, alors l’apanage de la croyance est le contenant représenté par ce calice utilisé lors de la Cène et lors de la crucifixion.
Le Christ et la résurrection. Prendre l’hostie lors d’une messe catholique fait singulièrement penser à l’alliance liée à la souffrance de Jés

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