Le Dernier Testament
154 pages
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Le Dernier Testament , livre ebook

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Description

Tumba Bundu présente son livre comme un compas pour tout être humain, afin de percevoir le bien et le mal, le vrai et le faux. Selon l’auteur, l’écho religieux a ouvert la voie aux conflits, guerres de religion et scission. Et l'enseignement scientifique soulève encore des débats sans fin, qui perturbe la conscience.



Entre les deux enseignements existe un vide, un inconnu qui oppose les uns aux autres, sans aucun espoir de rapprochement. L’ouvrage remplit ce vide et peint l’inconnu pour expliquer l’existence du monde, la responsabilité de l’homme et de la femme, leur rupture avec Dieu, Noé dans la grande inondation, la tour de Babel, les dix commandements, etc.



Dans un langage simple, cet ouvrage met en évidence l’apport de l’homme dans le monde, l’influence de la nature et le bénéfice recueilli. Sans détour, l’auteur apporte au lecteur la clarté sur tous les thèmes religieux, philosophiques, culturels ou moraux qui préoccupent le monde.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 12 mars 2021
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414512591
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0052€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald 75019 Paris
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-51260-7

© Edilivre, 2021
Préface
Le monde est-il un lieu dangereux ou un espace de vie paisible où le bonheur et la joie sont garantis ? Les monothéistes sont convaincus que la vie est une bénédiction, un bien qui vient d’un Dieu tout-puissant, créateur du ciel et de la terre. Les polythéistes croient qu’il existe différents dieux qui gouvernent la terre, chacun selon ses capacités. Cette division peut être territoriale (dieu dont le pouvoir s’étend sur une zone limitée), ethnique ou professionnelle (dieu qui n’est responsable que d’un clan ou d’un groupe professionnel) ou autre (dieu qui gouverne un phénomène naturel, etc.). Cependant, certains dieux importants ont tendance à accumuler de multiples fonctions ; la divinité cumulative peut ne pas être la même pour différents groupes humains appartenant au même groupe religieux, certains dieux faisant par exemple l’objet de préférences locales.
Les polythéistes prêtent en général aux divers dieux des relations de type familial ou social (subordonné/supérieur hiérarchique). L’ensemble des dieux d’une religion qui est appelé panthéon (du grec pan « tout » et theos « dieux ») peut avoir des variantes ; il n’est pas rare que des groupes ayant les mêmes dieux ne leur donnent pas exactement les mêmes relations. Ils ne sont pas figés, peuvent accepter de nouvelles divinités ou redéfinir les relations entre les dieux. Il existe souvent une entité supérieure qui est appelée moins fréquemment que les dieux du peuple, qui peuvent être la divinité suprême du panthéon, comme le dieu Maweja chez les Kasaïens en Afrique centrale, ou une entité plus abstraite comme le ciel de la religion chinoise.
Les chrétiens ont divisé leur foi en deux parties. L’Ancien et le Nouveau Testament. Tous ces enseignements favorisent une opinion du monde qui soulève des problèmes et des questions. Quel enseignement devrait être en harmonie avec l’humanité ? Croyances religieuses ou recherche scientifique ? Les scientifiques enseignent et publient des thèses sur la vie et ses origines qui changent année après année…
En Inde, les hindous croient et enseignent l’existence de milliers de dieux. Parmi tous ces dieux de la triade, Brahma est le créateur. Il est aussi celui qui détient le savoir et celui qui révèle les Védas ( Vision ou connaissance ). Il est la personnification de l’esprit universel, de l’absolu. Il est représenté par quatre têtes (dont trois seulement sont les plus visibles, car tournées vers les quatre points cardinaux). Cette croyance a créé une société divisée en une caste distincte.
Les castes les plus hautes ont traditionnellement une peau claire, les castes les plus basses ont une peau plus foncée. Ces castes sont principalement basées sur l’idéologie de l’inégalité et sont l’essence de la société indienne. Il est légitime, par exemple, de discriminer les musulmans et de les considérer comme des personnes de seconde classe.
En Chine, les Ouïghours, une population de langue turque et à prédominance musulmane sunnite vivant dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang (anciennement le Turkestan oriental) en Chine et en Asie centrale, souffrent de leur conviction vis-à-vis de l’autorité de ce pays.
Dans certains pays arabes, les chrétiens ne sont pas les bienvenus. Ils ne sont pas autorisés à aller à La Mecque ni à Médine.
Entre chrétiens eux-mêmes, le torchon brûle depuis Martin Luther… Cela se traduit parfois par d’horribles conflits confessionnels. Ce fut le cas en Irlande entre catholiques et protestants. Et entre musulmans chiites et sunnites se disputes la connaissance et le monopole de l’islam. Un conflit qui déchire aujourd’hui le proche et moyen orient, une séparation idéologique et théologique qui attise le terrorisme dans diverse région du monde.
Outre les conflits confessionnels, les conflits interethniques sont incompréhensibles. Ce fut le cas au Rwanda entre Tutsis et Hutus. En Belgique, le conflit entre Wallons et Flamands dans ce petit royaume pourrait un jour aboutir à la création de deux États.
En outre, les fascistes, qui s’opposent brutalement à la démocratie et à l’État libéral, appellent à l’autoritarisme, au nationalisme et au populisme pour l’idéal collectif le plus élevé aux dépens des juifs, des nègres, des latinos et des autres peuples du monde…
Le monde aspire-t-il à la division ? L’humanité serait-elle une entité conflictuelle ? Les divers conflits qui existent peuvent le laisser penser.
Les mouvements antisémites ou séparatistes répandent la haine et méprisent l’hospitalité et la solidarité.
L’apartheid qui a sévi en Afrique du Sud et le racisme sont des attributs d’un monde conflictuel.
Ces maux existent depuis des millénaires. L’Égypte ancienne a discriminé et persécuté jadis les juifs… L’extrémisme, la radicalisation, le nationalisme, l’égoïsme ou la xénophobie sont-ils des propriétés humaines ?
Sont-ils le résultat de la division de « Gondwana », le tout premier continent ? Les différentes morphologies, couleurs de peau, classes sociales, dénaturation, individualisme, changements climatiques, etc., seraient-ils causés par cette fracture terrestre ? À travers cette hypothèse, la terre n’a pas évolué, elle a dégénéré.
Le morcellement de la Terre a certainement modifié les paramètres environnementaux et créé un espace souillé que la souffrance, les conflits, les affrontements, les abus, etc., ont envahi. Celle-ci est devenue un espace ardu où le bonheur est rare et la vie un combat. Un terrain où l’on pratique la traite humaine et la discrimination… où la haine, la jalousie, les guerres d’opinions, d’hégémonies et les luttes d’influence sont quotidiennes.
Le progrès de la technologie, de la médecine ou de l’informatique n’a pas réduit ni anéanti tous ces maux. Ils se sont métamorphosés.
C’est pourquoi certains pensent que la vie est une épreuve, un examen auquel tout être humain est soumis.
Une opinion qui oppose profondément les philosophes, scientifiques et théologiens comme les continents qui s’écartent.
Cela a conduit chacun à se forger sa propre opinion à la recherche du bonheur, de la vérité et de l’équilibre.
L’homme est-il victime d’un incident, d’une faille qui a provoqué son déséquilibre ?
L’ignorance a développé deux concepts contradictoires, les croyants et les athées. Les athées considèrent que la vie est ingrate et dure. Ils pensent qu’elle est injuste et cruelle. Elle a créé le bien et le mal.
Les croyants pensent que la vie est parfaite, joyeuse, belle et paisible. Ils pensent que le mal est un paramètre extérieur à l’être humain. Ces deux pensées se combattent en permanence et ne peuvent pas s’entendre comme les frères Caïn et Abel.
Cette ignorance a ouvert la voie aux théories les plus folles et aux allégations dangereuses : Religion, Dogme, lois et méthodes de penser… Après la religion, la science serait-elle une nouvelle drogue pour le monde ? Je constate qu’elle n’apportent pas le bonheur et le bien être auquel aspire tout être humain. Ses théories et méthodes sont éphémères et produisent parfois des effets inverses, tandis que l’authenticité est pérenne. L’homme évite la mort, les effets secondaires, et se protège du mal et de la souffrance, à l’exception d’être pervers… Des atouts que la science ne peut jusqu’à ce jour lui garantir.
De cette observation, il me semble que le mal n’est pas un acquis de l’homme. Il est extérieur à son origine. Une propriété controversée qui agit comme un parasite dans le corps humain.
Le bien, cependant, est un atout que tout le monde veut préserver. Il est préféré, glorifié et loué. Il brille d’amour à tout instant pour soi-même, tandis que le mal blesse. Un usage de médiocrité et de mort qui est une qualité de l’inconscient humain.
Résoudre cette équation est l’affaire de tous. L’inconscient projette dans la vie, invente, conçoit et provoque des erreurs qui mènent à la mort. C’est un architecte de concepts qui défient, confrontent et séparent les gens. Alors que l’amour inspire et crée la vie.
Premier Testament : La Création
Dans la croyance monothéiste, Dieu a créé le ciel, la terre, la flore, la faune, l’homme et la femme. Il a également créé toutes les espèces vivantes, les eaux et les rivières. La tentation d’Adam et Ève et le conflit entre Caïn et Abel sont relatés dans l’Ancien Testament ou Première Alliance.
Dans le chapitre 1, verset 4 de la Bible, les monothéistes rapportent : « Et Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière et les ténèbres », et dans le verset 5, je cite : « Et Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Et il y eut un soir et il y eut un matin ; ce fut un jour. »
À travers ce récit, l’alternance du jour et de la nuit est attribuée à Dieu, bien que le facteur temps ne puisse exister dans l’éternité. L’alternance du jour et de la nuit est un concept qui a surgi à travers des ego médiocres. Un concept qui a émergé au moment de la division de la Terre. Dieu est éternel et il s’étend indéfiniment. La Terre s’étendrait également si l’écorce terrestre était épargnée de division.
Elle était plate à l’origine et non pas ronde. La rotation est un incident qui a provoqué la scission.
En tant que planète plate, la lumière, ou le jour, était ininterrompue sur toute la face de la Terre. La lumière est la vie parce que Dieu est lumière. Sans lumière, la vie est problématique dans l’univers.
L’ensemble du récit du verset 1 au verset 25 de l’Ancien Testament me semble une invention de l’inconscient humain. Il est difficile de croire à cette histoire, néanmoins, d’être témoin pendant la création. Si l’histoire de la création a été révélée à l

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