Histoire d’une turpitude & Pensées sur la pensée
92 pages
Français

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Histoire d’une turpitude & Pensées sur la pensée , livre ebook

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Description

Nous avons tous l’esprit tordu, mais il ne faut pas toujours rechercher son pire ennemi à l’extérieur de soi ni parmi les autres. Parfois il faut savoir trouver cet ennemi en soi...

Ce livre montre plus ou moins directement comment acquérir et entretenir une belle intimité psychique, étant donné que tout ce qui existe est normal, et que ni le normal ni l'anormal ne sont exclusifs : il n’y a que des choses belles et des choses laides. Et c’est seulement quand on reconnaît clairement en soi et dans son propre inconscient l’existence des pulsions les plus négatives de l’humanité, (du moins à l’état velléitaire), que l'homme pourra devenir meilleur, c'est-à-dire plus positif, et cela par la grâce de Dieu.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 13 juin 2016
Nombre de lectures 1
EAN13 9782334138758
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-334-13873-4

© Edilivre, 2016
Dédicaces
À mes neveux et nièces Ahmed Amine, Silya et HAOUAM Amina,
À Maryse, la petite fille dans la classe où il y avait comme un fluide… entre nous… qui passait…
À la mémoire du président BOUMEDIENE qui, malgré ses erreurs politiques, aura été une force de la nature positive et qui voulait être un despote éclairé,
À sa sainteté le pape François, en signe de respect et d’amitié,
En souvenir du grand psychiatre algérien, le professeur B. BENSMAIL
À tous mes camarades kabyles positifs et constructifs, et par extension à tous les bâtisseurs.
Avant-propos
Je me suis attendu, à tort, à ce que mon livre « Les mécanismes de la pensée et de sa maladie » soit accueilli avec une vive attention, or, le déni de notre côté digestif par la révulsion pour son caractère haïssable, nous apprend avec force le déni de tout notre côté pulsionnel négatif ; aussi je me rends compte que la dualité pulsionnelle (les normos) mais surtout les pulsions négatives sont excessivement difficiles à prendre en compte dans la conscience des gens. Je veux dire que, de bonne foi, j’ai pensé que mes idées, une fois que je les avais formulées, apparaitraient, surtout aux psys, comme évidentes. C’était faire bon marché, en réalité, de leur fantastique subtilité et j’apporte ici ainsi dans la deuxième partie de mon ouvrage quelques illustrations de plus au livre « Les mécanismes de la pensée et de sa maladie », et dont l’analyse des T.O.C.s en plus de la schizophrénie par exemple illustre parfaitement le contenu. « Chat échaudé craint l’eau froide ». En réalité, je suis astreint à une extrême modestie devant les psys sains d’esprit, avec mon esprit fracturé deux fois, et longuement manipulé sous narcose par un hideux psychiatre pervers ; mais quand même mon expérience de la maladie mentale me semble m’autoriser à dire que par la difficulté même de l’accession à la justesse des notions que j’ai exposées, celles-ci ne sont pas destinées seulement à soigner les malades mentaux, mais aussi tous ceux qui font profession d’expression de l’esprit comme les philosophes et même les psys ainsi que les hommes de foi ; et surtout j’aurais réussi à transmettre mon message si je pouvais apprendre aux parents et aux éducateurs à cultiver et à épanouir la virilité de leurs garçons.
La première des vérités que j’apporte est cependant connue par tous, de temps immémoriaux, c’est l’Existence De DIEU. Un DIEU Fabuleux dont aucune religion n’a l’exclusivité et dont la Grandeur et le Pouvoir ne peuvent être définis que par un mot « l’Infini » devant lequel, par exemple, notre univers ne serait qu’un point face à Son Immensité, DIEU Le Grandiose. Et de cela, l’être humain peut facilement prendre conscience, en réfléchissant « loyalement » et même seulement, sur la fantastique hiérarchisation de la conscience et de la vie dans toute leur diversité. L’analyse de la position athéiste est d’ailleurs facile à faire et elle s’explique par le pessimisme qu’entraîne l’auto-destructivité humaine. Je le sais parce que je l’ai vécu.
Puisque DIEU Existe, que Le GRANDIOSE Fasse dire aux pulsions positives de celui qui a souffert : « En réalité, au regard de l’éternité, c’est moi qui avait le beau rôle dans cette vie ! » par la grâce de DIEU ainsi soit-il.
Première partie Histoire d’une turpitude
Le « vampire », c’est l’être qui est le plus apte à faire du mal au mental des êtres humains. Au contraire, le psychiatre est celui qui peut faire le plus de bien au mental humain. Mais quand le pompier devient pyromane, c’est bien pire pour celui qui brûle de maladie mentale surtout si celui-ci, comme cela a été mon cas en tant que suicidaire, ne dispose pas du Nom De DIEU. Heureusement, aujourd’hui depuis plus de trente ans et grâce Au Nom De DIEU Le Grandiose que m’a révélé le délire, j’ai moi-même vécu un ineffable bonheur de vivre et à être positif ; bonheur dont je suis le premier à être étonné surtout au regard de la turpitude que m’a fait vivre un psychiatre vampire pervers. Il s’agit d’une mésaventure dont j’ai tiré une saynète réellement vécue que je présente dans cette première partie et dont j’innocente totalement l’armée algérienne et l’armée française qui au contraire m’ont fait bénéficier de leur soutien moral devant un psychiatre V.P. qui faisait son service militaire (le docteur H., chef de service en remplacement du coopérant français le commandant Gabriel JOUFFE, alors en congé, fin 1973).
Quand un jeune militaire malade, suicidaire et en chagrin se voit adopté comme ennemi par son psychiatre, ce jeune militaire est plutôt mal parti. L’infirmier chargé de me soigner s’y reprenait à trente fois avant de me trouver la veine pour m’injecter le poison de la narcose, et ce n’est que quand je voulais, horrifié et terrorisé, lui prendre l’aiguille pour me trouver moi-même la veine, que l’infirmier « réussissait » à m’injecter, ce que je croyais être un médicament salvateur, en poussant un soupir comme s’il avait un orgasme et cela pendant plusieurs semaines de lavage de cerveau.
Après les graves traumatismes, cependant et après des tourments infernaux, mais aussi après de splendides aventures paranormales, et grâce à ma famille et aux traitements psychiatriques, j’ai pu vivre un ineffable bonheur sans tâche pendant des dizaines d’années où j’ai fait notamment des découvertes sur le psychisme. Aujourd’hui où j’ai rencontré La Présence De DIEU, je peux dire que j’ai mangé mon pain noir. Je suis mû aujourd’hui par une ineffable espérance par la grâce de DIEU, dont j’ai pu entrevoir la beauté infinie à travers le délire. Ce qui suit est à très peu de choses près le dialogue que j’ai eu avec le petit psychiatre H…, son petit infirmier Hal ainsi qu’avec le grand psychiatre Français le commandant JOUFFE. (je n’écris pas totalement les noms des grands sadiques pour éviter d’impliquer leurs familles innocentes).
L’infirmier tortionnaire Hal… : Lamine, tu es un savant !
A.L. MEKAHLIA : Je ne suis pas un savant ; qu’est ce que je sais ? Je ne sais rien.
L’infirmier Hal…, après avoir fait un aller retour : Lamine, tu es un génie !
A.L.M. : je ne suis pas un génie.
L’infirmier Hal…, après avoir fait un aller retour : Lamine, tu as fait une découverte !
A.L.M. : je n’ai pas fait de découverte ; ces idées doivent nécessairement être connues des médecins et des psys français. Par exemple le commandant JOUFFE doit connaitre cela.
L’infirmier Hal…, après avoir fait un aller retour : est ce qu’il t’a parlé de ces idées ?
A.L.M. : non, mais il doit certainement les connaitre.
L’infirmier Hal…, après avoir fait un aller retour : les psys n’ont jamais parlé des idées que tu as exposées.
A.L.M. : alors c’est une découverte !
L’infirmier Hal…, après avoir fait un aller retour : Lamine, veux tu devenir célèbre pour ta découverte ?
A.L.M. : (le ton tranchant) non, pour une pareille saloperie, je ne veux pas devenir célèbre.
Le Docteur H… les mains en porte-voix, descendant les escaliers le lendemain à tue-tête : tu es un vampire BOUMEDIENE !
Le Commandant JOUFFE, le ton grave : vous voulez mourir monsieur H… !
Le Docteur H… haussant les épaules : tant pis.
Ce n’était pas du courage, c’était du masochisme, comme le montrera plus tard l’attitude veule du docteur H…
Nous fumes amenés à évoquer le problème du sourire (moi-même ayant un sourire peut être empreint de bonté mais sans charme). J’ai parlé du sourire agréable et franc du commandant JOUFFE, de celui chafouin et entendu du docteur H…
L’infirmier Hal… : comment trouves tu le sourire du président BOUMEDIENE ?
A.L.M. (très angoissé et malgré moi à cause du sérum de vérité) : c’est le sourire d’un… d’un vampire.
Le commandant JOUFFE, l’air inspiré : oui, mon fils, c’est un vampire…
C’est à la suite de cela que le V.P. H… s’était mis à hurler à tue-tête : « tu es un vampire BOUMEDIENE ».
Le président BOUMEDIENE a certes combattu la France, car il y avait une situation intenable, mais j’ai l’expérience que c’était un homme d’une grande bonté. Quand j’ai déliré, j’ai « entendu » une voix me dire « BOUMEDIENE pleure lorsqu’il envoie un de ses hommes à la mort ». C’était très probablement une formidable intuition de mon esprit, car plus tard, je verrais à la TV Algérienne le président s’effondrer en larmes alors qu’il récitait les noms de ses compagnons morts au combat.
Le président V.G.E. plus tard sur RMC à mon intention, avec quelque raison : « les songes paresseux de l’utopie de ceux qui se croient un destin de président ».
J.J.S.S. s’était exclamé devant les médias français : « Ma parole, il nous prend pour des bougnoules ! » face à une personnalité de la gauche française. C’était après que j’aie formulé par écrit à RMC et au président BOUMEDIENE une petite découverte psychiatrique, ce qui, je croyais, m’autorisait à prendre parti pour l’extrême gauche Française, en ayant déclaré que j’étais très momentanément le plus grand psy de la terre. Ce qui montre qu’on peut être intelligent et se tromper, parce que malgré sa belle bienveillance pour le tiers monde, l’extrême gauche occidentale restera semble-t-il stérile pour sa population. Pour ce qui est de l’infériorisation raciale qui sera suivie par une proposition d’un poste de ministre par le président V.G.E. à J.J.S.S., elle est toute relative, car si moi-même je ne suis pas aussi intelligent que beaucoup de Français, il n’en reste pas moins que j’ai l’expérience qu’il existe d’authentiques intelligences en Algérie. Il est vrai aussi que souvent on trouve ces intelligences parmi ceux qui ont eu des professeurs Français. Ce qui montre que la coopération technique est plus fécond

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