Étude psychologique sur la comptine  « Une souris verte »
42 pages
Français

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Étude psychologique sur la comptine « Une souris verte » , livre ebook

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Description

Une approche psychologique et psychanalytique est décrite dans cette étude afin d'apporter des éléments de compréhension de cette comptine, autres que ceux qui nous sont parfois livrés comme une évidence sans pour autant être étayés de preuves scientifiques, ou pour le moins d'un raisonnement rationnel : « ... nous nous interrogeons sur la raison de transmettre à nos enfants, depuis plus de trois siècles, un texte incohérent. Nous tentons donc une interprétation objective de cette comptine par une analyse du discours. Conséquemment, nous nous appuyons sur des techniques de catégorisation et d’analyse de l’énonciation, après avoir exposé un travail de pré-enquête... Avant de mettre en place une analyse, nous avons entrepris des recherches dans trois domaines différents afin de pouvoir recenser des informations nécessaires à une meilleure compréhension de ce texte dans le contexte historique, alchimique et psychologique. Si cela nous est possible, nous tenterons de croiser les informations pour voir si une convergence des données recueillies facilite la tâche de l’analyse... »

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 03 décembre 2021
Nombre de lectures 2
EAN13 9782414562077
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald – 75019 Paris
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-56208-4

© Edilivre, 2021
Préambule
Afin d’éviter une incompréhension bien légitime, le lecteur doit comprendre que l’étudiant qui rédige un travail de recherche où comme ici une analyse de discours par exemple se doit d’utiliser le « nous » à la place du « je ». Bien que l’on puisse débattre de cette pratique sur le plan de la psychanalyse, il n’en reste pas moins que c’est là l’œuvre d’un individu pris dans l’aliénation de son discours quand bien même celui-ci est appuyé par des citations. En effet, l’auteur doit montrer aux professeurs et au jury l’objectivité de son travail par une démarche dite scientifique et non personnelle qui laisserait place à la subjectivité. Cela étant, il est facile d’orienter son travail de manière à faire remonter à la surface des eaux le nénuphar de ses convictions. Chacun jugera de la beauté de la plante sans pouvoir remettre en cause la biologie végétale. Ainsi, une étude réalisée par un étudiant peut paraître audacieuse pour un professeur qui porte un faible crédit au domaine exploré sans pour autant pouvoir remettre en cause la démarche et les recherches scientifiques explicitées. Enfin, il ne s’agit pas non plus de vouloir faire croire à une prétendue universalité en employant un pronom personnel de la première personne au pluriel. Ici, « nous » est un. Car, l’objectif n’est pas d’arriver à ce constat : « Il y a donc bien un usage plus ou moins abusif, et aussi plus ou moins efficace, de cette captation de l’auditeur par un locuteur utilisant le Nous  » (Lemaire, 2001). De plus, l’auteur ne désire en aucun cas s’approprier des mérites qui ne seraient pas les siens par la captation d’un travail d’équipe tout comme l’évoque également Lemaire «  À l’inverse, il est vrai aussi, la clinique le montre chaque jour, qu’il y a souvent un abus du « moi » dans ce discours grâce auquel un locuteur prend possession de ce qui appartient, ou devrait appartenir au « nous »  ...

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