Danse mon étoile, Danse !
308 pages
Français

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Danse mon étoile, Danse ! , livre ebook

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Description

Dans ce premier ouvrage, Marion Rebérat réinvente le roman d’apprentissage et le récit de voyage.
Nous suivons son personnage, Marjane, à travers ses désirs, ses peurs, ses envies de vie, ses voyages au bout du monde, ses relations intimes aves les hommes et les femmes rencontrés sur le chemin. Elle nous entraîne dans une valse initiatique étourdissante autour du monde : Le Pérou, les cérémonies sur les sites sacrés et la rencontre avec la médecine Ayahuasca, Israël, emportée par l’énergie de Marie-Madeleine, les monastères bouddhistes de l’Himalaya, l’Égypte mystérieuse et tant d’autres terres promises. Marjane ne croise pas les autres, elle les rencontre dans une forme d’érotisme sacré, de sensualité sublime.
Ce livre est une authentique rencontre amoureuse avec la planète.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 16 septembre 2014
Nombre de lectures 0
EAN13 9782332740847
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0082€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-74082-3

© Edilivre, 2014
Citation


« Tout ce qui est dans la création existe en vous, et tout ce qui existe en vous est dans la création. […] Et toutes les choses, de la plus basse à la plus élevée, de la plus petite à la plus grande, sont en vous dans une complète égalité. […] Dans un aspect de vous, il y a tous les aspects de l’existence. »
Khalil Gibran
Préface
Marion Rebérat, voyageuse auteure, creuse dans son premier livre le sillon d’une expérience amoureuse avec la planète. Une planète qui sous ses pieds vagabonds devient le miroir de la totalité de son être.
Marion aime la Terre et les Terriens. Elle les rencontre au centre d’eux-mêmes comme à la périphérie du monde. Elle plonge dans la mer Morte et rejaillit dans un fleuve amazonien, traverse les labyrinthes de l’Egypte éternelle et débouche sur les contreforts de l’Himalaya.
Là, elle ouvre son cœur sans fausse pudeur aux moines des monastères bouddhistes et enseigne l’anglais aux enfants des colonies tibétaines du nord de l’Inde où flottent les drapeaux d’un peuple en exil. Au Pérou, elle rencontre les « hommes-médecine » et expérimente les voyages dans les mondes parallèles.
Marion marche sur la Terre.
Elle est animée (et le mot n’est pas faible) par une pensée magique qui ne l’abandonnera à aucun moment de sa quête. Une pensée comme un tapis volant sur lequel elle nous invite à voyager, les bras ouverts, les yeux rieurs, avec une tendresse naturelle et sans limite. Une pensée qui elle aussi fait son chemin, une pensée comme une médecine qui a su la prémunir de la délinquance, de la violence, de la dépression et de la drogue. Une pensée qui nous guérira aussi, si nous le voulons bien.
Une pensée simple, saine, solide qui se résume en trois mots : « Tout est possible ».
Une pensée comme celle-là, ça se partage, ça s’exprime, ça s’éprouve, c’est un trésor.
Oser dire à chaque instant que « Tout est possible », voici le credo d’un pèlerin sans credo, le bagage d’un voyageur sans bagage.
« J’ose être qui je suis », dit-elle. C’est tout. C’est simple.
Elle se perche sans s’évader, observe sans s’éloigner, aime sans peur d’avoir peur. Elle nous ramène, dans ses carnets de voyage qui n’en sont pas, cette intime conviction que nous sommes les créateurs de notre réalité et que cette conviction n’est ni un mythe, ni un fantasme, ni une métaphore.
Marion ne fait pas de discours. Elle se réinvente elle-même à chaque pas posé sur la Terre, à chaque mot posé sur la feuille, à chaque rencontre fulgurante. Tout comme son personnage Marjane, elle ne croise pas les autres, elle les rencontre, elle les traverse dans une forme d’érotisme sacré, de sensualité sublime.
Marion est inclassable, insaisissable, fragile de la tête aux pieds, mais incassable. Séduite au plus profond d’elle-même par la beauté du monde, elle sent pulser en elle une foi sans fanatisme, un optimisme dénué de toute naïveté, une certitude sans arrogance.
Elle réinvente le roman d’apprentissage et le récit de voyage.
Un jour Marion s’est mis en chemin, le cœur battant, ouverte à tout ce qui se présentait et dans le plus grand respect d’elle-même et des autres.
C’est dans cette confiance et dans cette ouverture qu’elle peut aussi bien expérimenter la médecine chamanique du Pérou que l’initiation transmise par d’authentiques maîtres spirituels de l’Inde.
Mais pour autant Marion Rebérat est une jeune femme moderne, formée à la psychothérapie multiréférentielle, nourrie de la culture de son siècle, amatrice de chansons à texte et de cinéma, d’art contemporain et de bonne bouffe avec des amis de tous horizons.
Le « Tout est possible » de Marion n’agit pas comme une devise ou une maxime plus ou moins moralisatrice, mais comme une gifle dans nos petites lâchetés quotidiennes.
Tous les matins, Marion reprend la route, comme le Petit Prince, de planète en planète, faisant éclore d’un battement de plume le personnage de Marjane que l’on suit de pays en pays. Elles nous tendent toutes les deux les mains pour une danse étourdissante.
Danse mon étoile, Danse ! fait de nous les co-créateurs d’un monde que nous avons envie d’aimer.
Georges Colleuil – février 2014
Avant-propos Invitation à la danse du voyage
« Regarde tout ce que tu as traversé jusqu’à présent. Regarde tout ce que tu as enduré, réussi, transcendé, et sois fière de toi.
Regarde toutes les épreuves par lesquelles tu es passée, regarde tout ce que tu as souffert. Regarde ton passé, et sois fière de toi.
Si tu es encore là, c’est parce qu’à chaque fois, tu as su, par ton courage te relever. Alors regarde. Regarde l’être fort qui est en toi, regarde-toi sous ton vrai jour, regarde qui tu es vraiment, regarde tout ce que tu as réussi, regarde tout ce que tu as traversé. Et vois ta vraie force. Tu es le chef-d’œuvre de Dieu, tu es un chef-d’œuvre de la Vie… et tu es magnifique. »
Imré Simon
Merci d’être là. Merci d’être présents. Merci pour la lecture de ces pages. Merci d’être qui vous êtes. Pour le partage que nous faisons ici et maintenant.
Merci à nous.
Écrire une belle histoire. L’histoire à l’œuvre virevoltante dans la folie de l’écriture qui m’emporte jour et nuit. Ni plus ni moins que le rythme de ma propre chorégraphie.
Que tu sois d’accord ou non, que tu comprennes ou non, que tu partages ou non, peu importe le chemin que tu prends. Celui-ci sera parfait pour l’être que tu es ! Entends et respecte ce qui vit en toi.
En son temps, en son heure, sur le chemin du retour. Prends dans ce livre ce qui te semble juste et bon, laisse tomber le reste.
Mon souhait : que mes mots puissent t’emmener sans que tu perdes le sens, qu’ils soient comme la main courante accrochée à la roche d’une via ferrata . Suis le fil rouge jusque dans les profondeurs, sans pudeur, jusque dans ton sommeil.
Ce qui suivra n’est pas la réalité, mais ma réalité, éphémère ! Valable dans l’instant de la plume, variable et mouvante dans l’infinie temporalité des échanges qui s’immiscent en nous, comme l’eau dans le sable, comme le sable dans les plis de la robe. Je ne prétends que peu de chose. Peut-être celle de m’inviter à la découverte d’un être profond et intime qui souffle en ce corps qui bat. M’essayer à la respiration de la matière me permettant de ne pas me prendre au sérieux pour aller dans le guérir de l’âme. Je suis du même humus que toi, terre et eau, de la même essence.
Apprentie chercheuse d’or et de lumière.
Alors je m’élance ! Valser sur les planches de cette histoire.
Mon personnage se laissera porter par la danse des mots jouant au JE du délice, délivrant en route quelques métaphores médusées ou éclairées. Composer avec tous les masques : j’ai opté pour certains plus que d’autres, costumes, jeu de scène, jeu de rôle ! Personnalités ! Je choisis de tirer ce fil de la bobine. Enlever un voile… et voilà qu’un autre apparaît. Qui a dit dévoiler ? La bobine n’en finit pas de se dérouler. Poupée russe ! Théorie de l’oignon ! Alors je continue d’éplucher. Je pars à la découverte de ce que je choisis de vivre quelques étapes plus Haut, avant l’incarnation… « Chut ! dit l’ange en se posant sur mes lèvres, oublie pour mieux te souvenir avec ton cœur ! »
De la terre sortent les fleurs, du fumier les roses.
Il n’est pas de nuit sans le jour et de jour sans la nuit.
Avons-nous besoin de traverser nos ombres pour connaître la lumière ?
Serait-ce seulement à la lumière de l’un que l’on peut connaître l’autre ?
J’entends souvent ces histoires difficiles qui ont abouti sur du merveilleux. Je me réjouis de cette capacité intrinsèque que nous avons en nous, humains, de rebondir, de sortir victorieux de l’invivable, de l’insoutenable.
Un insoutenable qui peut être surmonté !
Pulsion de vie qui accompagne jusque dans les bas-fonds et souffle une fois encore sa carte Vie.
Souvent d’ailleurs, il nous aura fallu quelques bonnes chutes, toucher le fond de la piscine pour qu’enfin seulement nous ayons la force, la conscience de donner un coup de pied pour remonter. Transformés, prêts à transformer.
Je crois que nous sommes des voyageurs. Voyageurs intérieurs. Je crois que nous avons beaucoup d’humour et nous nous prenons trop au sérieux. Je crois que le jeu des grands se donne trop d’importance. Je crois que nous pouvons jeter les dés du Monopoly et sortir de ses cases, sans casse. Laissons jouer nos âmes d’enfants rieurs.
La plupart d’entre nous a besoin d’expérimenter tous les coins et les recoins des opposés, du séparé, pour connaître l’autre rive. L’unité.
Nous avons besoin d’explorer nos mondes, nos émotions, nos corps dans toutes leurs polarités. L’esprit et la matière. Il en est ainsi.
Il n’y a pas de lois immuables dans le « tout est possible ». Tout est mouvement. Si les événements arrivent tels qu’ils arrivent, c’est sûrement que nous en avons besoin ainsi. Mais avons-nous besoin d’attendre d’aller mal pour aller mieux ?
Ce n’est pas la situation qui fait la tragédie, c’est la façon dont nous vivons les événements. Nous sommes des créateurs, l’expérience choisie peut nous servir à faire éclore le bijou déjà présent en nous. La vie nous aide à « réveiller » ou « laisser vivre » les rois et les reines intérieurs aux mille lumières qui nous habitent tous.
Peu importe où nous en sommes, peu importe qui l’on est. Nous pouvons ouvrir les portes à tout ce qui existe. Toutes les couleurs peuvent trouver référence pour se mouvoir. Toutes les parties de l’ego peuvent faire leur révérence face l’authenticité du Soi. Nous sommes tous dotés du pouvoir alchimique et créateur. Le feu intrinsèque brûle en chacun de nous. Les secrets ont déjà été divulgués, tout est là. Le seu

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