Billets d humeur de chasseur d images spirituelles
376 pages
Français

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Billets d'humeur de chasseur d'images spirituelles , livre ebook

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Description

Ces billets d'humeur spirituelle ne se veulent d'aucune insolence, d'aucune folle impudence. Ne sont-ils que les précieux témoins de l'espérance, serviteurs d'une éminente évidence, rapporteurs d'une vérité qui se lit en ce grand livre de l'existence. Puissent-ils, en l'esprit de chacun de leurs lecteurs, éveiller leur première volonté, qu'ils découvrent l’œuvre éternelle en toutes les apparences.

Ces billets portent en leur cœur cette joie originelle, la mémoire d'un parfait bonheur, ainsi ont-ils cette unique prétention : affirmer que tous ces jours sont au service de notre amour.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 16 novembre 2017
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414137725
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0112€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-13770-1

© Edilivre, 2017
L’art de lire
L’art de lire ou entendre ces autres pensées,
Les proposer à notre vérité,
Les faire nôtres ou les rejeter,
Mais l’œuvre des mots est une science qui enseigne notre conscience,
Qui secoue notre ignorance,
Qui nous propose de rencontrer la connaissance,
L’art de lire ou retenir les messages de l’espérance,
En chaque livre, en chaque ligne,
Qui connaît son cœur saura trouver pour lui son bonheur.
Le temps
Précieux temps qu’il est fou de perdre,
De n’en reconnaître l’éternelle valeur,
Lui et ses jours au service de notre amour,
Est-il le professeur d’évidence via les cours de l’espérance,
Le temps créateur de souvenirs, fournisseur de tant d’images,
Seront-elles support de notre connaissance,
Le temps ne perd aucun de ses instants,
Dans le plus anonyme, le plus discret de ses moments,
Se dévoile notre vérité,
Mille preuves de notre divinité.
Rajeunir sans cesse
En ces jours de notre vie devons-nous apprendre à vieillir,
Il n’est rien de plus inexorable,
Tôt ou tard nous retrouverons l’énergie de notre éternité,
Accompagné d’un amour plus affermi ou non, nous vieillirons,
N’ayons l’insolence de renier ce fait,
Ne perdons ce temps accordé à notre conscience,
Faisons nôtre l’évidence de l’espérance,
En toute sagesse évoluons vers notre vieillesse,
Comprendrons-nous vite que nous rejoignons notre perpétuelle jeunesse,
Connaître ou retrouver sa vérité est en son cœur rajeunir sans cesse,
Là réside tout le bonheur de notre intime allégresse.
A nous l’impossible
A nous l’impossible,
A nous tous les miracles de l’amour,
A nous les vœux exaucés de notre éternité,
A nous la réalité de nos divines pensées,
A nous les vertus de notre volonté,
A nous le sourire de notre intime sincérité,
A nous toute la noblesse d’une pure humilité,
A nous la liberté de vivre plénitude et allégresse,
A nous la vérité de l’éminente sagesse,
Elle en notre cœur pour notre plus grand bonheur,
A nous les voies de l’espérance,
A nous les joies de l’existence,
A nous tous les possibles de ces jours.
Puisse le doute chasser tous nos doutes
Puisse le doute chasser tous nos doutes,
Doutons encore, serons-nous plus près de notre intime vérité,
Verrons-nous s’éloigner nombre de nos peurs,
Doutons encore nous les élèves de cette école des jours,
Douter ou s’ouvrir aux mystères de l’existence,
Qui ne doute n’entend les conseils de l’espérance,
Point de doute sur ce fait, sommes-nous nés pour de nouveau douter,
Pour faire fi de toute entrave au progrès de notre amour,
Pour nous libérer des fausses sagesses,
Du mensonge de tant de dogmes,
Pour enfin nous faire apôtres de la pure sincérité,
Disciples de la plus noble humilité.
Notre premier nécessaire
Il est des nécessaires en cette existence,
Des vives priorités en nos pensées,
Des premières importances en notre conscience,
Cette urgence de suivre l’espérance,
Devons-nous sans doute pardonner,
Sans regret donner, en toute confiance partager,
Offrir la confidence de notre amitié,
Dévoiler notre sincérité, prouver notre humilité,
Nous faut-il, en tout premier nécessaire, simplement aimer.
L’enfer, mais quel enfer
L’enfer, mais quel enfer,
Si ce n’est le pays des doutes ou cet empire des regrets,
En ce lieu d’une perpétuelle nuit luisent pourtant les étoiles de l’espérance,
En cet enfer, s’il faut l’appeler ainsi, toute élévation est possible vers la divine lumière,
Faut-il lever le regard de son cœur vers ces lumineux symboles d’un possible bonheur,
Qui a cette intime volonté,
Qui entend cette naissante évidence,
A déjà quitté l’enfer.
L’orgueilleux
L’orgueilleux est seul sur le chemin de sa vérité,
Son insolence ne crée la véritable amitié,
N’aime-t-il qu’à moitié, méprise-t-il cette autre humilité,
Ne devine-t-il cette autre sincérité,
Voile-t-il son apparence d’une fausse beauté,
Est-il sourd aux messages de l’espérance,
L’orgueilleux ignore la première et divine valeur de son cœur,
Ne considère-t-il son amour qu’à la seule lueur de ces jours,
Pourtant en son for intérieur devine-t-il de nouveaux regrets pour son éternité,
Puisse-t-il au plus tôt connaître l’éveil et laisser à l’oubli ces instants fous de son orgueil.
Notre véritable plaisir
Notre véritable plaisir n’est-il de vivre libre de tout doute,
De toute peur,
D’avancer si sûr de notre amour,
De ne craindre l’incertitude des jours,
Toute rencontre inattendue d’une souffrance,
Ainsi va l’existence et ses péripéties,
Ne sont-elles que richesse de notre expérience,
Ne gâchons notre plaisir de vivre,
Nous vivons cet amour pour toujours,
En cette courte parenthèse d’un temps compté,
Mais surtout en la divine réalité de notre éternité.
Les étoiles
Les étoiles ont ce symbole d’inaccessible,
Tout aussi rappellent-elles à notre être que luit toujours l’éternelle lumière,
Vers elles notre être recherche l’évidence,
Elève sa conscience en toute confiance,
En appelle à l’espérance,
Les étoiles tels des anges envoyés par le Dieu soleil,
Nous rassurent pour notre essentiel sommeil,
En ce repos nécessaire de nos pensées,
Elles, qu’elles se libèrent de cette lourde densité,
Qu’elles retrouvent sans peur notre vérité,
Qu’elles s’éveillent sans doute à la lumière d’un nouveau jour pour notre amour.
L’être libre
L’être libre est disciple de la vérité,
Sait-il vivre pour entendre ses mots,
Se parfaire de sa connaissance,
Savourer sa science en toute conscience,
La vérité n’exige aucune obéissance,
Vient à elle les êtres si loin de toute peur, de tout doute,
Qui connaît cette liberté sait ses pensées jouir d’un divin plaisir,
N’ignore-t-il que ces instants près de la vérité connaîtront le bonheur de son éternité.
Le droit à l’innocence
Pour chacun le droit à l’innocence,
A chacun le choix de retrouver l’esprit de son enfance,
La liberté de connaître de nouveau ces premiers enthousiasmes devant l’œuvre de l’existence,
De suivre sans doute aucun la voie de l’espérance,
La volonté de comprendre le pourquoi du comment de la divine science,
L’innocence ou ne plus trahir notre amour en ce cours des jours.
Sans violence doit naître la vérité
Sans violence doit naître la vérité,
Sans imprudence doit-elle s’imposer,
En toute patience élever nos pensées,
Se révéler en toute évidence en nos consciences,
Nous conduira-t-elle sous les divins cieux de l’espérance,
Nous rendra-t-elle la plus belle apparence,
Aurons-nous pour toujours le sourire de notre amour,
Première et essentielle est l’œuvre de la vérité,
Sommes-nous ses couleurs,
Les artisans rénovateurs de son originel bonheur.
Notre bonheur s’impatiente
Le bonheur pourquoi l’attendre,
N’est-ce lui qui s’impatiente,
Qui entend notre désir mais qui ne voit rien venir,
N’est-il prêt à accorder tout plaisir à notre volonté,
Le bonheur ne fuit nos jours,
Bien au contraire est-il bien ancré en notre amour,
Allons sans peur vers son évidence,
Que grande soit sa présence en notre conscience,
Admirons sa divine prestance sous les traits de sa fidèle inspiratrice,
Elle aussi nommée espérance,
Bien moindre sera notre souffrance quand le bonheur sera notre unique perspective,
Le but de toute une éternité alors reconnu en notre actuelle existence.
Autant de pays
Autant de pays,
Autant de nouveaux horizons,
Autant de supports pour notre imagination,
Autant de points d’ancrage pour nos certitudes,
Autant de liens pour notre espérance,
Autant de biens pour notre conscience,
Autant de richesses pour notre existence,
Autant de visages pour notre amitié,
Autant de sourires pour notre cœur,
Autant de passions pour notre amour,
Autant de sujets pour nos pensées,
Autant de souvenirs pour notre éternelle mémoire,
Voyageons sans peurs sur cette Terre aux mille couleurs.
Le moindre du moindre
Le moindre du moindre ou aimer autant que l’on est aimé,
Soyons alors bien davantage, aimons bien plus encore,
Témoignons tout le noble de notre cœur,
Tout le divin de notre être véritable,
Ne retenons les mots de l’esprit fourbe, jaloux, malintentionné ou frustré,
Puisse-t-il voir en notre sincérité, en notre humilité,
En notre franc sourire le reflet de son erreur,
Les larmes de son amour, qu’il aime vraiment à son tour,
Point d’utopie en ces mots,
Mais la vérité de notre commune éternité.
Vivons-nous pour retrouver notre vérité
Vivons-nous pour retrouver notre vérité,
Pour l’embellir de nombre d’évidences,
Cueillons en son nom les fleurs de l’espérance,
Offrons ce bouquet de couleurs à notre éternité,
Saura-t-elle les rendre perpétuelles,
Car nos souvenirs sont impérissables,
Ainsi l’œuvre de joie de tous nos jours,
Que tant de nouvelles certitudes animent notre amour,
Que tant de riches passions nourrissent notre expérience,
La souffrance même ne pourra rendre à l’oubli cette existence.
A chacun son métier
A chacun son métier,
A chacun son savoir,
A chacun le don de ses dons,
A chacun la conscience de son intime évidence,
A chacun la volonté de suivre l’espérance,
A chacun la liberté de vivre toute allégresse,
A chacun les précieux conseils de l’amie sagesse,
A chacun tous les possibles de son amour.
En l’infiniment petit comme en l’infiniment grand
En l’infiniment petit comme en l’infiniment grand,
Œuvre l’identique génie maître des énergies,
Une incroyable science, une extraordinaire connaissance se témoignent en cette danse des matières,
Tout s’assemble, se sépare et toujours se retrouve,
En toute harmonie, en toute maîtrise des couleurs,
Le nombre d’or révèle une omniscience,
Un éternel savoir qu’il n’est fou de dire divin,
Qu’il est plus fou de remettre au hasar

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