Vérité tue
192 pages
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Vérité tue , livre ebook

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Description

La vie a un point de départ. Vérité est ce point.
Si vous ne l’avez pas rencontrée, c’est que vous n’avez pas (encore) commencé à être vous. À vivre plus qu’exister, à être libre ! Si elle vous pèse, c’est que vous ne l’avez pas véritablement acceptée. Car, oui, elle nous rend la vie plus légère cette Vérité !
Alors que le monde fuit sa dure réalité, sans comprendre qu’il est complice de son propre supplice, cet ouvrage vous rend lucide : taire la vérité, c’est participer à un mensonge...
Vos prisons, ne proviendraient-elles que de vos silences ?
Pourvu que vous ne retombiez pas dans la folie. La gloire de Dieu est, certes, de dissimuler la vérité. Il n’en demeure pas moins que celle des hommes est de la révéler aux peuples.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 20 février 2019
Nombre de lectures 1
EAN13 9782414307470
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0120€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
194 avenue du président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-30748-7

© Edilivre, 2020
Sauf indication contraire, toutes les citations bibliques sont tirées de la version Louis Segond 1910
À mon Seigneur Jésus qui donna sa vie pour moi et par qui je vis.
À mon tendre époux et pasteur Simon-Pierre et aux précieux fruits de notre union.
À vous papa et maman, les piliers de la famille Kalimu, votre vie et votre investissement m’ont maintenu sur la bonne voie.
À Micheline, Naomi, André et Nicole, les trésors de ma vie grâce à qui la vie m’est si légère.
À tous ceux qui ont fait le choix de la vérité quelque soit leur quotidien.
Et, à vous, Annie-Josée et Domingos Ntimasieme de qui je suis fière d’être fille.
MERCI…
Je rends grâce à Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui a usé de patience envers moi dans l’accomplissement de cette œuvre. Par l’aide de son Esprit, il a décuplé mes capacités et m’a confié une tâche digne de sa personne. Oui, il en est digne.
Tendrement, merci à mon amour, Simon-Pierre OKO. Ton soutien inconditionnel, tant sur le plan humain que spirituel n’a eu de cesse de m’émerveiller. Regarde, le fruit de ta vision ! Tes mots ont motivé la rédaction de chaque ligne. Reçois donc l’expression de ma gratitude.
Merci à tous ceux qui ont cru très tôt à ce projet. Par vos encouragements, vous avez réveillé la guerrière que je suis.
Il plût à Dieu de mettre non seulement mon époux mais encore le Révérend Pasteur Roland Dalo dans la confidence. Merci. De ne m’avoir rien caché, « Vérité Tue » est né…
Et, last but not least , la vérité vous appartient alors merci à vous chers lecteurs.
AVANT-PROPOS
– « Aux dernières nouvelles, Saly est dans un état critique. Si elle meurt, je pars avec elle ».
– « Mmh… Où ça ? »
– « Où ça ?! »
– « Tu viens de dire que si elle meurt tu pars avec elle… où allez-vous ? »
– « Tu as très bien compris. Tu sais où je veux en venir alors pourquoi… »
– « Justement non ! D’où la question ! Tu veux que je sois franche avec toi ? Je ne veux pas être, à mon tour, la proie de la souffrance et je te conseille d’en faire autant. Refuse cela et cesse de donner de la voix à ta bêtise. Pour l’amour de Dieu, Becca, refuse ce mensonge »
– « Tu le fais exprès ? Tu vis vraiment dans un autre monde ! Est-ce que je peux encore exprimer mon désarroi et pleurer sur notre sort !? Tu n’es pas consciente ma foi : réveille-toi bon sang. D’une minute à l’autre, nous risquons de la perdre. Plus que deux, tu entends ! Nous ne serons plus que deux ».
– « Comme tu veux mais ne m’associe pas à cela. Et, en parlant de bon sens et de foi, tu ferais mieux de retrouver la raison : ce n’est pas en gémissant que Saly sera rétablie. La déconnectée raccroche, salut ! »
Ce genre de nouvelle qui nous donne froid dans le dos, c’est un peu chaque jour que l’on en reçoit. Les informations télévisées, les journaux, les SMS, Internet, l’ami qui nous est cher ou encore la famille, rien ni personne ne désire nous en épargner. Tout nous pousse à faire face à la réalité. Et quelle réalité ! Aussi triste qu’elle soit, aussi dépourvue de sens qu’elle peut l’être, nous ne sommes bons qu’à être en proie à la souffrance qu’elle apporte avec elle.
Se voir tel un réservoir plein de pétrole qui n’attend que l’étincelle pour tout faire exploser est folie mais j’ai pu remarquer que plus d’un arbore fièrement ce titre : « oiseau de mauvais augure ». Voyez-vous, leur réalité si noire a pris dans leur cœur la forme d’une vérité sombre, si sombre qu’elle accomplit les desseins du malin. Consciemment ou inconsciemment (laissons-leur le bénéfice du doute), ils s’étouffent et par la même occasion, ils étouffent leur environnement direct.
Saly n’est qu’un cas de figure qui représente une situation trouble, une mauvaise nouvelle, une difficulté, cet aléa de la vie que vous n’attendiez pas, ne désiriez point.
Ni attendu, ni désiré et pourtant, nous sommes beaucoup trop souvent tentés de faire avec. De suivre cette mauvaise nouvelle, lui laisser gagner du terrain, lui laisser contrôler notre vie, d’aller dans son sens. Mais la question est la suivante : en réalité, où va-t-on ? Où vais-je quand je laisse les maux de la vie m’emporter ! Vers où suis-je en train de me diriger ? Pourquoi laisser ce mal me conduire, cette souffrance me contrôler, me briser, me détruire ? En vérité, qu’est-ce que je deviens ?
C’est un sort que le monde nous a jeté de croire que tout va mal, « tout ira de pire en pis ». C’est une malédiction qui pèse sur l’homme de penser qu’il peut tout, seul, sans Dieu. Qu’il est contraint de faire écho à la terre et à ses nouvelles, aussi désastreuses soient-elles. C’est une erreur de penser que perdre un être cher, c’est tout perdre. Tout comme le fait qu’échouer est une fin en soi.
Ils étaient nombreux à croire que Jésus expérimentait l’échec :
Il a sauvé les autres, et il ne peut se sauver lui-même ! S’il est roi d’Israël, qu’il descende de la croix, et nous croirons en lui. Il s’est confié en Dieu ; que Dieu le délivre maintenant, s’il l’aime. Car il a dit : Je suis Fils de Dieu.
Matthieu 27 : 42-43
Bien que se dirigeant vers la mort aux yeux des hommes, Jésus se dirigeait vers la vie selon la vision de Dieu. Et quelle vie ! Une vie éternelle, socle de sa personne.
Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu’il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle.
1 Jean 5 : 20
Ce qu’il y a d’excellent à retenir, c’est que lui ne faisait pas l’affaire du diable. Bien au contraire : par sa mort, il s’occupait des affaires de son Père. D’ailleurs, sa situation trouble au premier abord permettra à plusieurs de reconnaitre et d’emprunter le chemin, la vérité et la vie qui conduit au salut.
Je me suis involontairement et à maintes reprises penchée sur la question : serait-il possible que ce que l’homme voit n’existe que dans sa tête ou du moins ne soit la pleine vérité ? Que cache l’homme au fond de lui ? La réalité de sa vie ne serait-elle qu’une couverture à la vérité ? Serait-il vrai de penser que l’invisible qu’il ne semble ni voir ni contrôler peut être aussi réel, sinon plus, que sa propre existence sur terre ? J’en suis aussi arrivée à la conclusion que la réalité n’est pas toujours la vérité de Dieu.
La réalité de ta vie, cher ami qui me suit, n’est pas tant la vérité qu’il y a au fond de ton cœur ; ce cri que tu étouffes… Une vérité en attente de liberté ! Je souris en l’affirmant car ce peut être folie pour quelqu’un qui me lit aujourd’hui. Il en est toutefois ainsi et pas autrement. J’ai foi qu’au fond vous le savez et l’admettrez vous aussi.
Et puis, corrigez-moi si je me trompe mais il suffit de prendre le temps de vous connaitre pour constater que finalement votre présent ne vous convient pas tant que ça. Et que chaque nouvelle aujourd’hui et depuis votre naissance a apporté avec elle son lot de souffrance. Alors que vous lisez ces quelques lignes, une image a traversé votre esprit. Il y a comme un voile qui vous empêche d’être heureux, de vivre heureux.
Si j’écris ces lignes, ce matin, c’est parce que j’ai pris la meilleure décision qu’il soit de toute ma vie. Oui, aujourd’hui, je décide d’exercer mes pensées à la vérité afin de la rendre visible…
Après tout, l’homme n’est-il pas la somme de ses pensées ? En disconviendrez-vous, vient un temps où les expériences du quotidien nous permettent de filtrer les informations qui entrent dans nos vies. Il est ainsi possible de refuser intentionnellement d’accepter tout propos, toute situation qui viendrait troubler notre équilibre ou encore rendre douteux notre bien-être. Prenez le temps d’y réfléchir et vous conviendrez avec moi qu’il est temps que cela cesse, pour vous aussi. Beaucoup trop d’évènements ont pris vie dans votre esprit jusqu’à devenir évidents dans votre quotidien et, pourtant, vous les redoutiez !
Ce que je crains, c’est ce qui m’arrive ; ce que je redoute, c’est ce qui m’atteint.
Job 3 : 25
Plus que d’y être confronté, c’est à force d’y penser, de douter jusqu’à appréhender que vous avez mis foi en toutes ces choses au point de les rendre visibles. Contre toute attente, je vous l’accorde.
Un peu comme certains d’entre vous, j’ai longtemps imaginé ce jeune homme dans la foule qui suivait Jésus et ne manquait pas de glorifier Dieu de lui permettre de voir les miracles que le Messie accomplissait. Malgré ce qu’il pouvait entendre de la foule, notre ami ne croyait qu’au surnaturel de Dieu. Cependant, au fur et à mesure qu’il échangeait avec la foule, soupesait ses arguments, alors qu’il défendait même la cause de Jésus, la majorité l’a emporté sur son avis. Il se posait des questions et, l’espérance envolée, finit par accepter les mots des hommes sur la personne de Jésus quand ce dernier, Fils de Dieu, a été mis à nu, à mort.
Se pourrait-il que la foule ait toujours eu raison ? Dur à avaler mais c’est un fait, personne à sa droite ni à sa gauche pour le libérer ; cloué sur une croix, Il l’est bien. Certainement la mort s’en suivra. Ô ces miracles, ce don de soi pour finir sur le bois… Mais c’était sans compter sur la providence de Dieu.
Aujourd’hui, je vous prie de ne plus abandonner la vérité. J’attise votre soif de vivre ses bienfaits. Mais, jusqu’au bout il ne faudra point douter. Se remettre en question, pourquoi pas. Se (re) positionner, certainement ! Tant que la vérité est prônée, désirée, elle se manifestera. Et ce, avec éclat.
J’ai à cœur d’éblouir au moins un homme sur cette terre, de relever celui qui s’est découragé, de frapper de surprise et d’étonnement

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