Sur la même longueur d’onde : la pyramide des critères
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Description

Tout le monde s'interroge sur ce qu'est le feeling, et personne ne trouve de réelle réponse.



Mais dans cet ouvrage, vous découvrirez une nouvelle théorie, un concept inédit : la pyramide du feeling, qui permet d'expliquer pour la première fois de manière complète et détaillée ce qui fait que deux personnes sont ou non sur la même longueur d'onde.



Et vous pourrez ainsi vous répondre plus vite aux questions que vous vous poserez quand vous vous interrogerez sur vos relations d’amour, d’amitié, qu’il s’agisse de comprendre ce qui fait que le courant passe, de remettre en cause une première impression, ou d’apprécier l’opportunité de vous réconcilier avec vos anciennes fréquentations.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 16 avril 2021
Nombre de lectures 0
EAN13 9782342352627
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0082€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Cet ouvrage a été composé par Publibook
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald – 75019 Paris
Tél. : +33 (0)1 84 74 10 24
www.publibook.com
 
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
 
ISBN numérique : 978-2-342-35263-4
 
© Publibook, 2021
Introduction : généralités sur la notion de « longueur d’onde »
Le feeling, qui ne doit pas être confondu avec l’intuition (§1), va de pair avec le fait d’être « sur la même longueur d’onde que quelqu’un », c’est-à-dire avec le fait de bien s’entendre avec la personne (§3). En effet, bien que contestées, les notions de feeling et de longueur d’onde constituent une réalité certaine (§2), d’où l’intérêt de cet ouvrage qui traite de nombreuses questions existentielles relatives au feeling et à la notion de « longueur d’onde » (§4).
§1 Feeling et intuition
Il faut distinguer le feeling de l’intuition. En effet, le feeling concerne plutôt les relations interindividuelles, alors que l’intuition a un domaine beaucoup plus vaste. Autrement dit, le feeling correspond à l’intuition émotionnelle et relationnelle ; et tout ce qui est feeling est intuition, mais tout ce qui est intuition n’est pas forcément feeling.
Ainsi, on peut avoir de l’intuition sur un sujet susceptible de tomber à un examen, ou sur un événement qui risque de nous arriver, ou sur une vérité scientifique que l’on arrive à prouver par la suite ; c’est de l’intuition, mais ce n’est pas du feeling, car le feeling a un domaine relationnel , et est lié à la notion de « longueur d’onde ». Dans tous les cas, l’intuition, et donc le feeling, constituent bel et bien une réalité.
§2 Le feeling : une réalité certaine
Il est scientifiquement prouvé que l’intuition (et donc le feeling, qui est une forme d’intuition), est une capacité à part entière et non une fiction , et qu’elle est assurée par une zone du cerveau qui comprend notamment le lobe temporo-pariétal. Le feeling et le fait de ressentir qu’on est « sur la même longueur d’onde » que quelqu’un (ce qui est une forme d’intuition) sont donc des réalités incontestables.
Et d’ailleurs, la preuve : certaines agences matrimoniales ont, à une époque, utilisé la notion de « longueur d’onde » pour former les couples, en se basant notamment sur les activités, les centres d’intérêt, les traits de personnalité communs, ou tout du moins compatibles.
Or, ces activités, ces centres d’intérêt, ces traits de personnalité, sont intégrés à la pyramide des critères du feeling, théorie inédite et propre à cet ouvrage ; c’est-à-dire que ces critères permettent d’expliquer l’existence ou non de feeling, lui-même lié à la notion de « longueur d’onde ».
§3 Feeling et longueur d’onde
« Être sur la même longueur d’onde que quelqu’un d’autre », c’est une expression poétique , en analogie à la longueur d’onde en physique quantique. (En physique quantique, la longueur d’onde est une grandeur physique caractéristique d’une onde, et qui dépend de la vitesse de propagation de l’onde.)
Par ailleurs, on dit souvent : « Je suis sur la même longueur d’onde que lui ; je ressens un bon « feeling » avec cette personne », il y a un bon « feeling ». La longueur d’onde est donc bel et bien une vérité, même invisible, et elle est liée au feeling.
Mais je me pose plusieurs questions :
1/ Première question  : Qu’est-ce que le feeling ? Me concernant, je définis le feeling, ou compatibilité des « longueurs d’onde » au sens poétique du terme (je dirais plutôt : « longueurs d’émotions »), comme la compatibilité sensuelle (critère sensibilité aux émotions), émotionnelle (critère qualités humaines), une compatibilité dans la manière de percevoir les informations et dans les informations perçues (critère information), et une compatibilité spirituelle (critère causes défendues) entre deux personnes ; et c’est cette compatibilité qui fait que deux personnes s’entendent bien ou non (nous reviendrons sur les critères de cette définition plus loin dans cet ouvrage, retenez-les donc).
2/ Seconde question  : Est-ce que cette « longueur d’émotion » serait liée à la force des vibrations que dégagent dans l’air les sentiments, positifs ou négatifs, et aux émotions qui en résultent ? Et est-ce que, tout comme les ondes varient en fonction de leur fréquence, les émotions plus fortes en intensité dégagent des vibrations qui ont une fréquence plus importante que les émotions moins intenses ?
3/ Dernière question que je me pose  : Qu’est-ce qui permet d’expliquer le feeling ?
À cette dernière question, j’ai une réponse : ce qui permet d’expliquer ce feeling, autrement dit, la théorisation (qui fait intervenir à la fois logique, créativité, intuition et sensibilité) est celle des critères de la pyramide du feeling, inédite et propre à ce livre . C’est tout l’intérêt de l’ouvrage.
§4 L’intérêt de l’ouvrage
Ce livre permettra de théoriser les éléments qui font que l’on a ou non un bon feeling avec quelqu’un et pas avec quelqu’un d’autre. Et comprendre ces éléments, ces critères, vous permettra deux choses au moins :
1/ Vous pourrez vous poser les bonnes questions lorsque vous rencontrerez des personnes, pour remettre en cause vos premières impressions positives ou négatives et faire ainsi tomber les préjugés qui nous entravent tous ;
2/ Vous pourrez mieux vous interroger sur les points communs ou divergences qui font que le courant passe ou non avec quelqu’un d’autre, et comprendre cela vous permettra de savoir si vos relations vaudront la peine d’être poursuivies ou pas, et si elles seront durables ou non. Autrement dit, vous vous questionnerez plus efficacement lorsqu’il s’agira de considérer l’opportunité de vous réconcilier avec certains.
Cet ouvrage comprendra deux parties.
Dans un premier temps, j’expliquerai ce qu’est la pyramide du feeling, de quoi elle est composée ; autrement dit, j’exposerai quels sont pour moi les critères du feeling, du plus au moins important (Chapitre 1).
Et dans un second temps, j’expliquerai l’intérêt de cette théorie lorsque l’on se pose la question de savoir si l’on est, ou si l’on veut faire des efforts pour se mettre ou se remettre (suite à une rupture) sur la même longueur d’onde (Chapitre 2).
Chapitre 1 : La pyramide des critères du feeling
Pour être sur la même longueur d’onde (et cela est surtout vrai lors de la première impression), il faut ressentir certaines émotions similaires, ou plutôt, et tout du moins, des émotions compatibles. Le fait d’être sur la même longueur d’onde est donc lié à l’élément sensibilité aux émotions .
Mais ressentir des émotions compatibles dépend de plusieurs autres facteurs/critères plus ou moins liés au premier (la sensibilité aux émotions), et qui varient selon les individus. Parmi ces critères : les valeurs humaines, l’information telle qu’on la perçoit, et les causes que l’on défend.
Je vais d’abord détailler chacun de ces critères en indiquant quelle place il occupe au sein de la pyramide du feeling (Section 1). Puis, j’expliquerai le fonctionnement de cette pyramide (Section 2).
Section 1 Le contenu de la pyramide des critères du feeling
Nous passerons en revue les quatre critères qui entrent en compte dans le feeling en vertu de cette théorie : la sensibilité aux émotions (Sous-section 1), les qualités humaines (Sous-section 2), l’information (Sous-section 3), et les causes/éléments que l’on défend (Sous-section 4).
Sous-section 1 La sensibilité aux émotions
La sensibilité aux émotions, dont il convient d’exposer la notion (§1), est un critère essentiel du feeling (§2) ; elle est fluctuante (§3) et propre à chacun (§4).
§1 La notion de sensibilité aux émotions
Quand j’ai parlé de « sensibilité aux émotions » à un professeur de philosophie, il m’a répondu : « la sensibilité, c’est forcément lié aux émotions ».
Mais à mon sens, il y a plusieurs formes de sensibilités, qui certes se chevauchent et sont liées, mais qui font intervenir plus ou moins l’invisible et les émotions. Parmi ces formes de sensibilités : la sensibilité aux émotions, mais aussi la sensibilité à la matière (j’appelle « sensibilité à la matière » le fait d’être sensible à ce qui est beau visuellement parlant, à ce qui est agréable à toucher, ou encore, au timbre de la voix, qui s’oppose au son de la voix en termes émotionnels).
Certes, toutes ces formes de sensibilités sont liées, mais j’utiliserai néanmoins le terme « sensibilité aux émotions », pour bien mettre en avant le fait que cette forme de sensibilité s’attache davantage à ce que l’on ressent qu’à ce que l’on perçoit (comme la sensibilité à la matière).
À mon sens, la sensibilité aux émotions comprend notamment  :
— la sensibilité aux émotions que nous ressentons seul (c’est lié à la mémoire autobiographique) ;
— la sensibilité aux émotions que ressentent les autres humains (c’est lié à l’empathie) ;
— la sensibilité aux émotions que dégagent les autres êtres (animaux et plantes, puisqu’il est prouvé scientifiquement que les plantes perçoivent les sons et peuvent souffrir) ;
— la sensibilité aux émotions qui se dégagent des informations (supports écrits et films) que nous recevons, cette sensibilité aux écrits et films étant elle-même liée à la fois à la sensibilité aux émotions que dégagent les autres êtres (humains et autres) qui sont au cœur de cette information, et à l’élément temps (car il faut du temps pour réaliser un écrit ou un film, et les écrits ou les films traversent plus ou moins le temps).
Peut-être la sensibilité aux émotions a-t-elle d’autres sources encore (autres que nous-même, les autres hommes, les autres êtres et les éléments d’informations). Ces autres sources, je ne les ai pas encore analysées. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : cette sensibilité aux émotions est essentielle pour ressentir un bon feeling.
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