Jésus-Christ, Notre Miroir
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Description

L’Imitation de notre Seigneur Jésus-Christ est une doctrine. Elle peut être une méthode. Deux dimensions : l’une spéculatif, l’autre pratique d’une même réalité. Le présent volume lui est consacré. J’aime ceux qui m’aiment, et ceux qui me cherchent me trouvent. Avec moi sont la richesse et la gloire, les biens durables et la justice. Doctrine immense et splendide que l’imitation du Christ : résumé de la parole de Dieu et quintessence du christianisme. Quels sont le fondement et la nature, les conséquences dogmatiques, les aboutissements moraux de cette doctrine ? Quels sont ses rapports intimes avec la théorie du corps mystique et de notre incorporation au Christ ? Quelle est sa place, son rôle capital dans les structures et le corps du Christ qui est son église, et dans le développement ?

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Informations

Publié par
Date de parution 22 mars 2019
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414321483
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0060€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

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Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194, avenue Président Wilson – 93210 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-32741-6

© Edilivre, 2019
Exhortation !
Vous pouvez avoir des défauts, être anxieux et toujours en colère, mais n’oubliez pas que votre vie est la plus grande entreprise au monde.
Seulement vous pouvez l’empêcher d’échouer. Beaucoup vous apprécient, vous admirent et vous aiment. Rappelez-vous qu’être heureux ce n’est pas avoir un ciel sans tempête, une route sans accidents, un travail sans fatigue, des relations sans déceptions. Être heureux c’est trouvez la force dans le pardon, l’espoir dans les batailles, la sécurité dans les moments de peur, l’amour dans la discorde. Ce n’est pas seulement pour célébrer les succès, mais pour apprendre les leçons des échecs. Ce n’est pas seulement de se sentir heureux avec les applaudissements, mais d’être heureux dans l’anonymat. Être heureux n’est pas une fatalité du destin, mais une réussite pour ceux qui peuvent voyager en eux-mêmes.
Être heureux c’est arrêter de devenir une victime et devenir l’auteur de votre destin. C’est traverser les déserts pour pouvoir encore trouver une oasis au fond de notre âme. C’est pour remercier Dieu pour chaque matin, pour le miracle de la vie. Être heureux ne craint pas tes propres sentiments. C’est pouvoir parler de vous.
C’est avoir le courage d’entendre un « non ». La confiance est à l’affût des critiques, même si elles ne sont pas justifiées. C’est d’embrasser vos enfants, de choyer vos parents, de vivre des moments poétiques avec des amis, même s’ils nous blessent. Être heureux c’est laisser vivre la créature qui vit dans chacun d’entre nous, libre, joyeuse et simple. Il faut avoir la maturité pour pouvoir dire : « j’ai fait des erreurs ». C’est avoir le courage de dire « je suis désolé ». C’est d’avoir la sensibilité de dire « J’ai besoin de toi » C’est avoir la capacité de dire ‘Je t’aime ».
Que votre vie devienne un jardin d’opportunités pour le bonheur… … … … Au printemps, un amoureux de la joie. En hiver, un amoureux de la sagesse. Et lorsque vous faites une erreur, recommencez. Car seulement alors, vous serez amoureux de la vie. Vous constaterez que le fait d’être heureux n’est pas d’avoir une vie parfaite. Mais utilisez les larmes pour irriguer la tolérance. Utilisez vos pertes pour raffermir la patience. Utilisez vos erreurs pour sculpter la sérénité. Utilisez la douleur comme plâtre du plaisir. Utilisez les obstacles pour ouvrir les fenêtres d’intelligence.
Ne jamais abandonner le bonheur, car c’est dans l’imitation qu’on trouvera le bonheur en Christ, la vie est une manifestation de Jésus-Christ (performance) incroyable. Amen
Avant-propos
L’Imitation de Notre Seigneur Jésus-Christ est une doctrine. Elle peut être une méthode. Deux dimensions : l’un spéculatif, l’autre pratique d’une même réalité. Le présent volume lui est consacré.
J’aime ceux qui m’aiment, et ceux qui me cherchent me trouvent. Avec moi sont la richesse et la gloire, les biens durables et la justice.
Doctrine immense et splendide que l’Imitation du Christ : résumé la parole de Dieu et quintessence du christianisme.
Quels sont le fondement et la nature, les conséquences dogmatiques les aboutissements moreaux de cette doctrine ?
Quels sont ses rapports intimes avec la théorie du corps mystique et de notre incorporation au Christ ?
Quelle es sa place, son rôle capital dans les structures dans le corps du Christ qui est son Eglise et dans le développement de la vie spirituelle ? Place éminente, rôle capital, puisqu’il suffirait de devenir un autre Christ, pour être pleinement chrétien, religieux, Missionnaire, Apôtre, Prophète, Pasteur, Evangéliste, et Docteur.
Quelle fut, sur ce point, la pensé du Maître, la prédication des Apôtres, l’enseignement, à travers les siècles, des Pères, des Docteurs et des Théologiens ?
Quand et pourquoi ce qui n’était tout d’abord qu’un idéal de perfection est-il devenu ensuite méthode de sanctification ? Comment le terme s’est-il transformé en voie, voie royale qui conduisit tant d’âmes à de telles hauteurs de sainteté ?
Sans négliger la doctrine, sans nous sommes de préférence attaché au côté « pratique » Notre but premier et principal a été d’offrir à toutes les âmes intérieures sur la croix, par l’Imitation de Jésus-Christ, une véritable méthode de sanctification, car sans la sanctification personne n’est verra le Seigneur.
Ainsi du Christ. Nulle prière ne l’épuise, aucune reproduction ne l’égale. Peinture et sculpture ont multiplié à l’infini les têtes du Rédempteur. C’est quelque chose de Lui, ce n’est pas lui. La méthode est désespérante.
Dans la galerie des Apôtres, les missionnaires, imitateurs de Jésus-Christ, quelle diversité dans l’unité ! Tous tiennent de Lui, encore que chacun garde sa physionomie personnelle et ses traits individuels de les confondre.
La reproduction du Christ dans les âmes varie d’après l’âge, le tempérament, la mentalité, la vocation, le degré de vie spirituelle, les inspirations du Saint-Esprit. Ce particularité est surtout frappant dans le corps du Christ qui est son Eglise. Ecole d’imitation, chacun s’est fait dans cet art une spécialité.
Ainsi, n’avons-nous point la prétention ou la naïveté de présenter notre méthode comme l’unique voie d’aller au sauveur. Elle n’est qu’une méthode, modeste entre beaucoup d’autres excellentes. Mais telle qu’elle est, avec ses imperfections et ses lacunes, à qui voudra en user, peut-être sera-t-elle de quelque utilité.
Notre méthode est, de plus, doctrinale et pratique.
Doctrinale : il nous a semblé bon de rappeler en les justifiant les grandes lois de l’ascèse : méditation, prière, activité, contrôle. Une spiritualité empirique, faite surtout de pratiques extérieures, en dehors de principes dogmatiques qui la soutiennent et la vivifient, est souvent exposée à dévier ; en tout cas, elle est toujours frappée de stérilité partielle.
Méthode pratique aussi. Une méthode de sanctification est nécessairement art et science, action et vérité.
A noter, d’ailleurs, que la méthode, dans son exploitation, essentiellement progressive et perfectible.
Nul ne se fait la main d’un seul coup ; et la technique, pas plus que la science, ne s’acquiert en un jour. L’Imitation telle que nous la comprenons faisant corps avec la sanctification, est soumise comme celle-ci à la loi du progrès. A premier vue, l’Imitation méthodique, paraît, et en fait, se trouve être, à ses début, œuvres compliquée et dure ; mais peu à peu, à travers bien des hésitations, des essais, des erreurs, des une fois lancé, le travail devient presque une joie. Une application généreuse et persévérante, soutenue et renforcée par la grâce, fait assez rapidement de l’apprenti un maître et de l’ouvrier un artiste.
Il en est enfin de notre méthode d’imitation, comme des méthodes de prière sans cesse : il importe d’en user sagement. Dans le choix des procédés, liberté entière ; et grande souplesse dans leur application ; sinon, la méthode cesse d’être un secours pour devenir un obstacle. A chacun de tenir compte de ses dispositions personnelles, de ses goûts spirituels, de son degré de vertu, de ses habitudes intellectuelles et morales, de son état de vie, des exigences de la grâce ; en se servant de tout, ne s’asservir à rien ; ne point s’entêter où il faudrait passer, et ne pas se faire paire d’ailes une chaîne.
A cette condition mais à cette condition seulement nous répondrons du résultat.
Première partie Doctrine
L’Imitation a son fondement dans l’Ecriture, et trouve en la Traduction son développement historique.
Elle relève aussi de la Théologie qui l’éclaire en la justifiant, qui exploite en faveur des âmes sa puissance sanctificatrice.
De là, une série de chapitre doctrinaux, qui constituent la première partie de cet œuvre.
Le sage sait que le propre de l’homme est de s’efforcer de ressembler à Dieu, autant qu’il est en lui, par la sagesse, de la justice et la sainteté ; que de ce point, dépend le vrai mérite de l’homme ou son inhumanité et son néant ; que la connaissance de Dieu est sagesse et vertu, la méconnaissance de Dieu, ignorance et méchanceté … … … ; qu’il y a deux modèle de l’être : l’un divin, l’autre sans Dieu, l’homme animale et l’homme spirituelle ; l’un source de tout bonheur et de tout bien, l’autre entièrement vil « .
« Vous êtes des dieux »
Jésus leur répondit : N’est-il pas écrit dans votre loi : J’ai dit : Vous êtes des dieux ?
Voilà donc l’âme chrétienne, par vocation corporelle et destinée éternelle, obligée de vivre à la façon de Dieu et de lui ressembler. A qui me comparerez-vous, pour le faire mon égal ? A qui me ferez-vous ressembler, pour que nous soyons semblables ? Essaie 46 : 5
Chapitre 1 L’écriture
Voix du médiateur
Enseignement des Apôtres
L’Imitation du Seigneur Jésus-Christ appartient à la révélation. Graine minuscule semée par Jésus-Christ lui-même dans l’Evangile, cultivée par l’Eglise, devenue au cours des siècles arbre gigantesque, refuge de ces petits oiseaux, que sont les âmes chrétiennes, et chargé, en toute saison, de fruits de sainteté innombrables et savoureux .
Lui-même le Christ est le premier docteur de l’Imitation. Qui, plus que lui, avait droit de la prêcher, et autorité pour l’imposer ?
L’Evangile, c’est plus que la voix du Rédempteur, c’est sa vie : Idéal unique de perfection.
Le Verbe s’est incarné afin de communiquer au monde une plénitude surabondante de vie : vie surnaturelle, ayant en Dieu son principe, son exemplaire et son terme. Qu’est-ce que le christianisme sinon un débordement dans l’humanité de la vie trinitaires, Père, Fils, et Saint-Esprit ? Et la Création, l’Incarnation, la Rédemption, l’Eglise avec son sacerdoce et ses sacrements ? Prodi

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