Il est temps de rallumer les étoiles , livre ebook

Edilivre - Noëlly Galoy

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

94 pages

Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

A propos
Informations
Extrait

Description

Nous sommes une unité de diversités, nous formons un tout appelé –Humanité.

Non pas que soyons exactement pareils, toutefois au sens profond, nous ne sommes pas si différents. Nos ressemblance se trouvent dans nos différences, car il faut que chacun soit ce qu’il est, ce qu’il doit être, afin que des différences naissent l’harmonie et que de là soit engendré le lien qui nous unit.

Nos différences ne sont qu’extérieures, mais à l’intérieur, nous sommes tous pareils, à l’intérieur, nous sommes lumières...

Sujets

Philosophie et théologie

Religión

Religion

Sacerdoce

Informations

Publié par	Edilivre
Date de parution	30 avril 2020
Nombre de lectures	0
EAN13	9782414447824
Langue	Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright

Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194, avenue du Président Wilson - 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-44781-7

© Edilivre, 2020
Dédicace
A vous que j’ai rencontré et que je n’ai pas revu depuis bien longtemps. A vous que je n’ai encore pas rencontré mais que je rencontrerai. A vous aussi que je ne rencontrerai jamais, pour qui pourtant j’aurai une importante considération et une profonde estime. Ce livre est pour vous – humanité…
Introduction
Nos parents veulent ce qu’il y a de mieux pour nous, mais nous ne sommes pas ce qu’ils ont décidé que nous soyons, nous ne sommes pas ce que nous faisons, nous sommes encore moins ce que le monde a fait de nous, nous ne sommes pas notre couleur de peau, nous ne sommes pas notre niveau d’instruction, nous ne sommes pas nos coutumes ou nos habitudes. Notre perception de qui nous sommes a été influencée et corrompue par tout ce que l’on nous a enseigné dès lors que nous sommes venus au monde.
On nous a enseigné l’individualisme et l’amour personnel par là nous avons appris la division, la haine, le conflit, la guerre. On nous a enseigné qu’il fallait se battre pour obtenir et par là nous avons appris l’arnaque, l’escroquerie, le vol. On nous a enseigné la compétition, par là nous avons appris la jalousie – l’envie, on nous a enseigné que l’on naît seul, par là nous avons appris que nous sommes séparés des autres, nous avons appris que nous sommes différents au sens profond, nous avons appris la comparaison, alors nous en avons ainsi conclu que nous ne sommes pas assez bien, pas assez riche, pas assez beau, pas assez intelligent, pas assez, pas assez…
On nous a enseigné à voir comme le monde (un système de pensées culturel) et nous croyons ce que le monde nous a appris, on nous a appris une vision de nous qui n’est pas naturelle. C’est comme si l’on nous avait administré une pilule qui nous aurait profondément endormis et dans notre profond sommeil, nous avons oublié qui nous étions, nous rêvons alors que nous sommes autre chose que ce que Dieu a fait de nous c’est-à-dire (Merveilleux, Généreux, Chaleureux, Honnêtes, Bienveillants, Amour et dignes d’amour.) Mais les rêves ne peuvent substituer la réalité…
Vous avez sans doute déjà entendu dire, « l’ami d’un voleur est un voleur. » Mais nous sommes bien d’accord que cette expression est dénuée de bon sens et de jugement, car fréquenter un médecin ne fait pas de nous un médecin pour autant. Mais alors, qu’est-ce-qui nous définit ? Nous cherchons la réponse à cette question partout sauf là où il faut, nous croyons prétendument que l’argent, la gloire, la possession d’objets de nos désirs suffiront à nous donner de la valeur, et à définir ce que nous sommes. Or le sens ne réside pas dans les choses sans valeur réelle, s’attacher à elles, c’est chercher le sens où il ne se trouve pas. Chercher en elles (les choses) le sens de qui nous sommes c’est l’utopie, la rêverie, la folie.

Notre nous réel ne nous a jamais quitté, il nous a seulement été caché, il n’a jamais disparu, il existe en nous, profondément enfoui dans notre esprit, par-delà ce que nos yeux voient, par-delà ce que le monde nous a enseigné. Peu importe ce que nous avons appris, la vérité sur qui nous sommes est restée inchangée.
La vérité sur qui nous sommes est établie par Dieu, et elle est entièrement vraie, c’est à nous de décider si nous voulons y croire ou non. Pour nous souvenir de qui nous sommes nous avons besoin de nous rappeler de Dieu, et cela consiste simplement à changer cette manière de voir à laquelle nous avons été habitués, à lâcher prise de qui nous pensons être, lâcher prise de qui nous ne sommes pas afin d’embrasser le nous véritable.

Nous sommes comme les étoiles dans le ciel. Nous avons été créés aussi brillant que les étoiles, remplis d’une pure lumière, cette lumière dont nous sommes porteurs, est en nous, non pour être gardée mais afin de la faire resplendir à tous les endroits où il nous a été assigné de briller. Comme le soleil brille pour éclairer la terre le jour, et la lune pour éclairer la nuit…

Notre lumière pourtant inextinguible est rendue livide par tout ce que l’on a appris du monde, la haine, les guerres, les échecs, la mort, le deuil, le chagrin… Mais tous ces sombres moments de l’effroyable nuit de la vie, qui sonnent minuit sur l’horloge de nos vies, nous indiquent Qu’il est temps de rallumer les étoiles…
L’authentique histoire de Stella.
Stella, adolescente de 14 ans, a de petits problèmes personnels. Elle n’a jamais connu son père, et a jusqu’ici toujours vécu avec ses grands-parents au sein de la grande maison familiale, où sa mère avait elle-même aussi vécu. Ses jeunes oncles et ses tantes y vivaient aussi et menaient des vies plutôt mouvementées, ils passaient le clair de leur temps en dehors de la maison.

La mère de Stella, Eva, n’y vivait plus, mais même lorsqu’elle y était, sa présence était aussi silencieuse que son absence, étant toujours en déplacement, elle ne voyait pas beaucoup sa fille, et en raison de son instabilité, elle l’avait confiée à ses parents. Les rares fois où elle voyait sa fille, c’était lors des rentrées scolaires, et à Noël pour lui apporter des cadeaux.

Stella souffrait énormément de l’absence de ses deux parents, et le vivait très mal. Sa mère lui avait raconté que son père avait décidé de partir lorsqu’elle avait à peine deux ans. Pour une raison qu’elle ignore, chaque fois qu’elle avait la présence d’esprit de demander pourquoi, personne ne lui donnait de réponse…

Manquant d’affection, Stella reposait tout espoir de trouver l’affection d’une mère aimante et attachante auprès de sa jeune tante. Mais hélas, sa tante était probablement trop jeune pour endosser une telle responsabilité, elle n’avait pas le temps de jouer la maman de substitution, faudrait pas lui en vouloir, elle avait l’âge des sorties nocturnes pour des Road-trip (virées) entre copines …

Heureusement que Stella pouvait compter sur sa grand-mère, mère de 4jeunes femmes, Estelle, avait beaucoup d’expérience et surtout, énormément d’amour à donner.

Adolescente très peu bavarde, lugubre, tourmentée et renfermée. A tous ceux qui ne cherchaient pas à voir au-delà de l’armure, du masque et même de la tristesse qui se lisait sur son visage, ceux qui se détournaient sans même chercher à comprendre, à eux elle n’inspirait que pitié. Stella vivait dans un univers bien à elle et préférait la compagnie de ses bouquins à la camaraderie des copains.
Mais les rares personnes qui prenaient la peine de lui faire la conversation avaient ce privilège de découvrir que, c’était une jeune fille brillante, exceptionnellement intelligente, aux yeux de qui, le monde était un endroit incompréhensible et donc apeurant…

Sa grand-mère Estelle était de ces personnes. Dans sa famille, c’était la seule personne de qui Stella se sentait proche, la seule avec qui elle était souriante et bavarde. Estelle était celle qui l’admirait sans la juger, sa présence lui faisait se sentir en sécurité et le monde lui paraissait comme moins apeurant.
Mais Stella savait, Stella sait que sa grand-mère ne la comprenait pas, elle lui attribuait tout de même le mérite d’être la seule qui essayait. Les autres étaient bien trop occupés à mener leurs vies pour prendre soin d’une adolescente aussi difficile que Stella.

...