Albastion
90 pages
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Albastion , livre ebook

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Description

« Je ne suis d’aucun désir/ Hormis si tu dis « viens » !/ aimer c’est conquérir,/ L’horizon du mutin... ». Au travers de 14 poèmes, Eric Madrange explore toutes les facettes du sentiment amoureux.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 30 mars 2012
Nombre de lectures 0
EAN13 9782748381191
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0060€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Albastion
Mathieu Foric
Publibook

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14, rue des Volontaires
75015 PARIS – France
Tél. : +33 (0)1 53 69 65 55
Challenger



« De ces battures, jusqu’à ces envolées littérales … »
Bel âmi d’outre ailleurs, à Grégory mon écœurante affection. Pour Jef et toi, une foultitude d’élans, forts aigus, à la mesure de vos talents, et aussi accentués que vos êtres… quelques becs à l’absinthe !
Challenger



Du manuel sans préambule Lorsqu’il me touche en littéraire Caresses en braille sur l’opuscule Troubles incipit du saint bréviaire…
Son fier vaisseau, brise onirique M’attire aux sources du sincère Nature humaine et mélodique Glisse en moi la clef du mystère…
Jetée en moi…
Du bois de cèdre aux feuilles d’hysope Bouquet d’émotions sous la serre Ausculte encore, l’aiguille galope Foule animale au monastère…
Décris-moi l’emprise du virtuose Du Mozart plastique, incendiaire Avant qu’la mort nous crache des choses Que maintenant dure l’instant si cher !
Lorsque tu mélanges la plume à l’éther, Dis l’émoi, ces louanges du ciel sous l’enfer…
L’effet sensation du vivant Lorsqu’il m’embrase en Jupiter L’écart voluptueux, ruisselant Aux cruautés de l’éphémère…
Quelle signature sur la préface ! Célébrant les chants du rosaire Au fond de moi sa dédicace A mit l’accent « 10000 » Voltaire…
Tu luis en moi…
Désherber l’ennui, s’évanouir Quand transpire des cœurs la misère Reconnais-toi comme un désir Évite en prime la peur de plaire…
Rejoins le cercle du délire Ouvre la malle d’une nouvelle ère Ivre de vivre au jour le jouir Sur les toiles de ton univers…
Lorsque tu mélanges la plume à l’éther, Dis les mots étranges du ciel sous l’enfer…
L’ouvrage expose de ces richesses Si désarmantes en lapidaires Très intrigué par ces tendresses Histoire d’effleurer l’hémisphère…
Ces mots en bataille minent ma peau Au frémissement du mercenaire En première ligne, monte à l’assaut Et j’entrelis l’extraordinaire…
Tu brûles en moi…
Sillonne l’écumeur du karma Quand tombe le masque de Baudelaire « Trésorifices » à fond de toi Roi fugitif en libre éclair…
Nos âmes habitent en « QHS » Et la gaieté scintille lunaire Au membre émérite de mes liesses Je flâne au lit de ta rivière…
Lorsque tu mélanges la plume à l’éther, Dis l’émoi, l’étrange du ciel sous l’enfer…
Quand le supplice me tentacule Sous les vapeurs d’Apollinaire J’enimagine tes arts sans jules, Fous témoignages sentimentaires…
Ainsi « Vigny, Verdi, Vinci » Aux harmonies particulières Leitmotiv en credo génie Vit l’odyssée sans être amer…
Presqu’île en moi…
Que jaillissent les eaux musicales Des festivals spectaculaires J’ai hâte à mort de ces régal Quand tu crayonnes ces beaux tonnerres…
Du Nirvana les rédactions De ces voyages sur Québec air Des vertus même sans illusions On saurait presque à quoi l’on sert…
Lorsque tu mélanges la plume à l’éther, Dis les mots, les louanges du ciel sous l’enfer…
En couverture du beau néon Jouasse et curieux élémentaire Recueille enfin ces doux frissons Comme un prélude au best-seller…
Au fil des nuits, blanches en surface En résonance, en similaire A la clairière de tes audaces Luit l’étincelle aventurière…
Sésame en moi…
Compagnon des nobles syntaxes Aux exorbitants caractères Et qui loin des austères malaxe L’amabilité légendaire…
Aux raisons blêmes, inséductibles En canonique Cocteau génère A ces blasons suprasensibles La marque de l’imaginaire…
Lorsque se mélange ta plume à l’éther, L’émoi, l’échange du ciel sans l’enfer…
Esclave de rien, sinon du doute Tant le système est mortifère Parchemins nus, je suis les routes Jusqu’au vertige de l’oculaire…
L’âme élégante, tendance ortie Vomit l’humeur automne hiver La cécité sans infamie Hostile aux fiançailles des chimères…
Je t’aime en moi…
A l’épilogue très obstiné Au bar des astres, j’me désaltère Le banana spleen à crever Ces blessures de l’hameau désert…
L’ardeur révèle l’envie d’ailleurs Ces vents violents du téméraire Crois en toi pour tous ces honneurs Car moi je connais tes lumières
La Clause des astres



« Des galaxies d’errances, mais sous l’étoile brille un désir… »
Admirable compagne de ces articulations dites ad litteram , dâme Gabrielle, tu mérites d’authentiques voyages, ondoyants, sensibles et vrais comme ta personne. Dans chacun de tes aérogares, dans chacune de tes malles, tu trouveras mes remerciements passionnés.
La Clause des astres



Cour des « astristes » en constellation des vierges en bastille Les oraisons se lisent en confiance zénithale Ça « désorbite » sans consternation Vénus en pupille Les horizons s’enlisent hors des transes apicales Sois sage, j’y terre l’enfeu des pulsions, nos rages éclatées… Bel, où es-tu ? Ces dés tortueux m’irritent en tout ! Faut laisser s’faire l’enjeu des passions, l’oracle en été Bel, y es-tu ? Cynique hasard des pièges à loups…
Encore une fois, l’amour me fluide entre les doigts Encore une fois, je manque d’amour et manque de toi Encore une fois, l’amour se fluide entre mes doigts Encore une fois, je manque d’amour, je manque de toi
Violer les clauses illusoires, des astres obscurs, fantasques Quand serre la mélancolique, lions-le cœur thermal Voiler la cause et mouvoir « l’encastrée » du zodiaque Soigner les proses lysergiques, crier son thème astral
Coulent les arts tristes, l’immonde intérieur des glaces galactiques Comme éthylique en star des cantiques saturniens Lourd satellite vomit les tiédeurs, chaos liturgique Et vis

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