Édition adaptée pour une lecture confortable sur les petits écrans : Texte aéré (interligne de 1.5), police de caractères "Bahnschrift".LIVRE I. DU BONHEURCHAPITRE I.Du bonheur. Des causes du bonheur ; ces causes sont, ou la nature, ou l'éducation, ou la pratique et l'expérience ; elles peuvent être aussi, ou la faveur spéciale des Dieux, ou le hasard. - Le bonheur se compose surtout de trois éléments, la raison, la vertu, et le plaisir.CHAPITRE II.Des moyens de se procurer le bonheur. Il faut se proposer un but spécial dans la vie, et ordonner toutes ses actions sur ce plan.- Il ne faut pas confondre le bonheur avec ses conditions indispensables.CHAPITRE III.Des théories antérieures. Il ne faut pas tenir compte des opinions du vulgaire ; il ne faut étudier que celles des sages. — Il est plus conforme à la raison et plus digne de Dieu de croire que le bonheur dépend des efforts de l'homme, plutôt que de croire qu'il est le résultat du hasard ou de la nature.CHAPITRE IV.Définition du bonheur. Des divers genres de vie où la question du bonheur n'est point impliquée. — il y a trois genres de vie que l'on embrasse quand on est maître de choisir à son gré : la vie politique, la vie philosophique et la vie de plaisir, de jouissances. -- Réponse et opinion d'Anaxagore sur le bonheur.LIVRE II. DE LA VERTUCHAPITRE PREMIER. Considérations psychologiques; idée générale de la vertu; la vertu est l'œuvre propre de l'âme. Définition dernière du bonheur; justification de cette définition. — Deux parties distinctes dans l'âme : l'une douée de raison, et l'autre pouvant obéir à la raison. — Distinction analogue des vertus, en vertus intellectuelles et vertus morales. — Définition de la vertu.CHAPITRE II. De la vertu morale : c'est un résultat de l'habitude, dont les êtres animés sont seuls capables. — Des passions; des facultés qu'elles supposent, et des manières d'être qu'elles causent.CHAPITRE III. Du rôle des milieux en toutes choses, La vertu morale est un milieu. — Table de quelques vertus et des deux vices extrêmes, Explication de cette table; analyse de quelques caractères. — Il y a des passions et des vices où il n'y a point à distinguer le plus et le moins, et qui sont blâmables par eux seuls.CHAPITRE IV. Des deux parties de l'âme, et de la division correspondante des vertus, en vertus intellectuelles et vertus morales.
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