78
pages
Français
Ebooks
2019
Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus
Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement
Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement
78
pages
Français
Ebook
2019
Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne En savoir plus
Publié par
Date de parution
28 mars 2019
Nombre de lectures
2
EAN13
9782342165616
Langue
Français
Où est l'enfer ? où est le paradis ? Et la vie sur Terre, en quoi se résume-t-elle ? Les concepts mythologiques sur l'existence de plusieurs dieux qui étaient supposés régir la vie en société n'a-t-elle pas été réduite à une croyance en l'unicité. Aujourd'hui plusieurs religions se sont développées à travers le monde et voudraient imposer leur régime de leur ultime précepte qui est l'intégration par la compréhension. Tout le monde dit comprendre tout le monde, quel que soit la cause de l'acte, qu'il soit juste ou mauvais. Pourtant dans l'Antiquité, la damnation, tout comme la bénédiction, ont toujours été rencontrées à travers les âges, et étaient dites les œuvres des dieux. Moi, je dis que si l'homme est à l'image de Dieu, tout en ne niant pas l'existence du démon on peut s'en inspirer pour affirmer que l'homme est à la fois divin, diabolique, saint, angélique et singulier, et qu'il puisse ainsi autant bénir, damner, purifier, ravir et ignorer. Ceci pour émettre l'hypothèse que l'enfer ou le paradis, s'ils existent, n'ont aucune influence sur la vie en société, et prétendre alors que c'est l'intelligence suprême qui se résume en la culture universelle qui est aspirée et exprimée par le genre humain et qui n'a qu'une seule source qui est la génétique qui diffère selon les origines.
Publié par
Date de parution
28 mars 2019
Nombre de lectures
2
EAN13
9782342165616
Langue
Français
Des enfers de Satan au royaume de Zeus
Silla Hadhraz
Société des écrivains
Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Société des écrivains
175, boulevard Anatole France
Bâtiment A, 1er étage
93200 Saint-Denis
Tél. : +33 (0)1 84 74 10 24
Des enfers de Satan au royaume de Zeus
Des enfers de satan au royaume de zeus
De la Mecque à Poitiers :
Les arabes, de par leur guerre sainte, éteignirent les dernières flammes d’Afrique du nord dans l’espoir d’en ériger une qui les porterait à travers le monde antique, médiéval et moderne, ceci pour qu’ainsi ils se fassent reconnaître aux yeux des temps en question pour la postérité de leur instruction religieuse qui les guidèrent jusqu’à Poitiers, où Charles Martel, suzerain d’Aquitaine et de Provence, les repoussa jusqu’en Espagne d’où ils insistèrent pendant une décennie. Ils restèrent cependant pendant huit siècles en Espagne, puis furent chassés par le roi Ferdinand d’Aragon et son épouse la reine Isabelle de Castille, qui elle, à la même période, finança le voyage de Christophe Colomb pour la découverte des Amériques en 1492. Ce fût l’époque qui marqua la fin du moyen âge et qui céda sa place à l’ère de la renaissance inspiré par l’antiquité des arts, des lettres et des sciences entre le XVe et le XVIIe siècle.
Des étudiants musulmans :
La population universitaire algérienne consciente de la stagnation et de la pauvreté de son marché de l’emploi a, à un même jour, dans les grandes villes du pays, manifesté son désarroi suite aux faveurs données par l’état aux étudiants, dont, et la gratuité des inscriptions aux études supérieurs, et l’accès à une bourse d’étude, et des prix dérisoires aux premières nécessités, tel le logement, la restauration et les transports. Ces insurgés, contrés par les forces armées du pays, engendrèrent des pertes humaines et matérielles, n’ont alors obtenu aucun résultat à leur requête dont l’objectif principal visait l’assurance d’un poste rémunéré à la certification de leurs études. L’Algérie va donc accroître son parc de diplômés dont l’avenir commun n’aura que pour seul destin l’oubli et l’indifférence des dirigeants de leur pays.
Les héritiers de la Kahina :
Les descendantes de la Kahina dont les saisons d’Afrique du Nord ont épargné, préservé, et maquillé rivalisent avec les beautés du monde entier. Le blanc de l’hiver, les couleurs chaleureuses de l’automne, les parfums fruités du printemps et les soleils cuisants de l’été ne pouvant engendrer que des hommes et des femmes des plus respectables.
La Kahina, reine des berbères :
Par les temps de guerres, retranchée avec ses guerriers dans les hauts plateaux de l’Atlas durant les années de guerres saintes, j’imagine la reine Kahina, reine des berbères, vêtue d’une côte de mailles qui lui tombe jusqu’aux poignets, à la limites des doigts de la mains et jusqu’aux talons, traînant sur le sol avec un pull à manche courte en toile et un pantalon en toile serré lui moulant les jambes et s’arrêtant à la limite des mollets, et des sandales dont les lanières rappellent l’influence de la présence de provinces romaines en Afrique du nord. De cet éclat de mailles brillerait au sommet de sa coiffe aux cheveux noirs qui lui tombent jusqu’aux épaules, une couronne de bronze sertie de pointes dirigées vers le haut. C’est plus qu’une reine qui gouverne, c’est un modèle de beauté pour son royaume. Et cette reine, si elle vivait de nos temps actuels, elle aurait été ni grosse, ni fine, juste belle dans son vêtement avec la beauté de la jeunesse et la maturité de l’âge adulte.
Les prostituées algériennes et leurs clients :
Certaines villes d’Algérie ont conservés leurs maisons closes alors que depuis les années 90, elles ont été fermées par proclamation de l’état islamique algérien. Dans l’une d’entre elles, à Sétif, était concentré un lot de prostituées qui pratiquaient dans des bâtiments fait de longs balcons et se postaient devant la porte de leurs chambres, fraîchement vêtue, prête à recevoir un potentiel client qui à de quoi payer une modique somme d’argent contre un moment de plaisir de la chair. Des clients, parfois amoureux de ces pratiques sont, avec l’accord de la prostituée, au point d’envisager un mariage. Ce qui sortirait alors la prostituée des maisons closes et la rendrait libre aux vues de l’état algérien.
Les désespérantes tentations :
Croassez, corbeaux de mauvais augures. De vos sources de mensonges, d’enfers et de damnations, sachez, un loup, constamment à l’affût, veille à un sacré sanglier qui, dans son innocence, pâture sa charismatique pitance. Alors, inconscients, impatients, insouciants, gare aux alléchantes et assurément désespérantes tentations, car de sombres, obscurs et indescriptibles chemins de chaotiques et éternelles perditions vous seront.
La phrase :
La phrase, constituée de tout verbe, liée à tout sujet, associée à tout complément, ne devrait avoir une raison d’être que dans une pensée réfléchie.
Le nirvana :
Du sanskrit, langue sacrée du brahmanisme, aujourd’hui du bouddhisme, le nirvana témoigne du concept de la béatitude absolue par l’extinction du désir, et de la réincarnation qui, par autosuggestion, engagerait à la reviviscence de nos ancestrales racines alors affranchies par tous les esprits survivants des apogées du passé, comme par tous les esprits survolant la modernité du présent.
Les reflets de la nation :
La nation, constituée d’un peuple, pour un peuple et par un peuple, s’éveille aux reflets des valeurs et de la prestance de son honorable et diplomatique bourgeoisie, de son enracinée et charismatique noblesse, de sa constellée et universelle élite intellectuelle, et de ses notoires représentants de ses ministères, autant à l’intérieur comme à l’extérieur de ses frontières.
L’omnisciente aspiration, et les existentielles convictions :
Où est la vérité, où est le mensonge,
Dieu, seul, dans son omnisciente aspiration, sait, tandis que l’homme, dans ses univers de ses existentielles convictions, subit.
Les langues effleurées, où la compréhension :
Toutes les langues, dans leurs parsemées immensités, sont toutes d’une même et ancestrale source, elles effleurent toutes une même et ancestrale définition : la compréhension.
De la pensée, par l’expression, au sixième sens :
Toute source d’énergie d’origine extérieure ou non à notre quotidien, et de toute nature, autant animale, végétale, minérale, que humaine, alors constituants vitaux pour la terre et tout l’univers, perceptibles ou non pour l’œil nu, à portée de la main ou à l’autre bout du monde, impliquant la pulsion de sentiments et de ressentiments prédominants la pensée aux reflets d’une expression autant écrite que verbale, dotation originelle de la compréhension de l’éternelle fatalité de la communication, devrait être la quintessence même du sixième sens.
L’œuvre :
La société, telle une chaîne constellée d’une nébuleuse et perpétuelle succession de maillons entrelacés, dans la discontinuité, est poussée par les rouages de l’imposant engrenage des droits, des devoirs et du civisme d’une et une seule marche à suivre. Celle du commencement et de la fin de toute œuvre puisée aux sources d’une réflexion, pour l’évolution de la grandeur d’âme de tout être de toute l’humanité, pour la postérité, et pour l’éternité.
De l’incompréhension à la reconnaissance :
L’incompréhension des sujets inconnus d’un système devrait la présence d’un levier qui doit faire frein à une routine qui subit des variations et, des lors un temps de recul, se remettrait en marche avec une prise de conscience de toute sa mesure, lui apportant alors la reconnaissance, au sein de la société, de sa mentalité et de son intégrité. Pour qu’ainsi, aux sujets naissants, leur soit accordé la liberté d’exposer leurs attributs. Et enfin, l’engrenage de la perpétuelle et nébuleuse boucle des droits, des devoirs, du civisme et de l’humanisme, pourrait nous décharger des inconnus qui nous sont soumis.
La cupidité :
La cupidité, née de la prétention des mondes des arts, des sciences, et des lettres, trahie par l’innocence de l’enfance, cultivée par les générations écartées de la participation au maintien de l’évolution et de l’activité de la communauté, reflète une lucidité, qui, dans la perdition, se retrouve marqué par la dérision.
Le fossoyeur :
De ses anciennes origines chrétiennes, le fossoyeur, de son caveau, emmenera sa race arabe d’Afrique du nord, noire, et d’Orient à leurs sépultures où les mots qui dénotent sans pareils sont oubli et mépris.
Les chrétiens du monde :
Le monde chrétien qui se distingue en son sein par ses richesses, à l’instar des civilisations arabes et autres races de tout continent, profère un statut personnifié par ses acquis intellectuels et matériels au sein de toutes les sociétés de tous les pays, dans toutes les cités et dans toutes les ethnies.
Les affinités chrétiennes :
L’ensemble des sociétés chrétiennes s’engagent aux libertés de toutes les expressions qui encourent à des affinités portant sur des échanges d’idées, et concluant sur des présences charnelles, aussi bien éphémères que durables.
Les pouvoirs de la pensée :
La pensée est voulue aux regards interrogateurs que vous porte le passant, alors assuré du pouvoir qu’il a de percevoir de la surface aux profondeurs de votre être les mérites à posséder des luxes et accessibilités qui pourrait vous obliger à cultiver le savoir et la connaissance des esprits de vos ancêtres survivants dans vos entrailles qui pourraient, de nos jours, contenir l’attention de toute une ville érigée d’édifices et influencée par les progrès des droits de l’homme, des l