Limites et échec de la médecine occidentale
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Description

Le monde moderne de par son mode de vie a reçu l'empreinte de l'hygiène et de la médecine ainsi que des principes résultant des découvertes de l'industrie pharmaceutique chimique, de Pasteur, de Flemming, etc. Ces produits sont certes d'un apport utile pour garantir le confort anatomique et physiologique de l'organisme humain, mais il faut raisonnablement les considérer aujourd'hui comme un triomphe d'une humanité à l'incessante poursuite d'une santé durable. La physiologie et l'anatomie n'étant pas les seules composantes de l'être humain, la santé ne saurait en aucun cas être considérée, prise en charge ou ajustée, comme une simple machine industrielle ou être comparée à un plan d'ajustement structurel ou de relance économique pour assurer la croissance et la survie d'un peuple. C'est la colonne vertébrale de la thèse de l'auteur Gervais Mvogo dans son ouvrage Limites et échecs de la médecine occidentale. Théorie de la guérison. Le sujet de réflexion fascine dans son ancrage de parallélisme des sources ontologiques de la nature humaine, s'appuyant ainsi sur Dieu. Le titre ouvre le débat sur la démarche, la pratique, l'émergence et la radiance des firmes et des intelligences artificielles de l'industrie pharmaceutique, véritable politique de la médecine occidentale.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 28 décembre 2018
Nombre de lectures 5
EAN13 9782342164756
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Limites et échec de la médecine occidentale
Stanislas Gervais Mvogo
Connaissances & Savoirs

Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Connaissances & Savoirs
175, boulevard Anatole France
Bâtiment A, 1er étage
93200 Saint-Denis
Tél. : +33 (0)1 84 74 10 24
Limites et échec de la médecine occidentale
 
C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités,
Qui guérit toutes tes maladies …
… Qui te fait rajeunir comme l’aigle.
Car il sait de quoi nous sommes formés…
Bible, Psaumes 103 : 3, 5, 14
Dédicaces
Au Dieu Tout-Puissant le Père de Jésus-Christ et notre Père,
 
À tous les Médecins et les autres professionnels de la santé
 
Et
 
À vous, malades qui êtes à la quête d’une vie longue et saine au moyen de la guérison, ce livre est aussi à vous.
 
Que chacun puisse par la grâce de Dieu recouvrer sa santé par ces quelques principes de guérison pour une vie joyeuse et abondante à tous égards.
Remerciements
Je remercie premièrement le Père Tout-Puissant pour Sa Parole révélée source de toute guérison.
 
Je remercie ma chère et tendre épouse, ma bien-aimée MVOGO Elisabeth ,
Mes parents et beaux-parents, mes enfants, mes frères et sœurs et tous mes amis.
Vous êtes par vos soins ma guérison et ma santé de tous les temps.
 
Je remercie Madame le Professeur ABENA ONDOA née OBAMA Marie Thérèse et tout le corps enseignant de la FMSB de l’Université de Yaoundé I, pour la formation et l’encadrement que j’ai reçus de vous.
À vous tous, mes camarades Médecins de la 30 è promotion de la FMSB de l’UY I pour le partage et les échanges scientifiques au cours de notre cursus médical, soyez chacun remercié.
Ce livre est à vous.
 
Merci aux frères NGAFOMO Louis Hervé, AKOA FOUMAN Jean François et NNANGOMO MAH Didier Engelbert, pour les idées et corrections que vous avez apportées à la finalisation de cet ouvrage.
Que Dieu vous bénisse
 
Introduction
Tous les sondages du XXe et XXIe siècles de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) révèlent que 75 % de la population mondiale vit en état de sous santé ; 20 % de la population est diagnostiquée et seulement 5 % de cette population jouit d’une santé parfaite. On peut donc clairement comprendre que des gens, sans être malades cliniquement, ne sont pas en bonne santé non plus. La santé pour tout dire n’est pas seulement l’absence de la maladie . Par ignorance, le monde moderne axé essentiellement sur le corps et l’évolution de la science, fait savoir depuis lors jusqu’à présent qu’il existe deux sortes de santé :
La santé naturelle provenant de la résistance des cellules du corps aux attaques extérieures des microorganismes et des maladies non microbiennes et dégénératives et la santé chimique ou artificielle qui repose sur la prévention par les vaccins, des soins curatifs à l’hôpital, des restrictions alimentaires des régimes connus en diététique, des soins curatifs à base de produits de l’industrie pharmaceutique chimique et la chirurgie.
Or le dessein de Dieu à l’origine n’a jamais été que l’homme poursuive son évolution sur terre grâce aux produits autres que les éléments naturels. La santé de l’homme était tributaire de la nature des aliments qu’il consommait. Malheureusement, cette conception de la santé de nos jours rencontre de graves controverses et une forte opposition entre la médecine dite moderne d’essence surtout occidentale et les autres formes de médecines existantes. La médecine occidentale, qui domine notre civilisation humaine, tend sans cesse à la production d’une santé de plus en plus rassurante, mais artificielle qui modifie parfois par ses actes la physiologie et l’anatomie humaines. Son but est d’intervenir dans la fonction cellulaire, tissulaire et organique grâce aux substances chimiques de l’industrie pharmaceutique et aux techniques chirurgicales modernes qui seraient plus adaptées aux besoins. De ce fait, son rôle reste essentiellement focalisé sur la stimulation et le remplacement des fonctions insuffisantes des organes, afin d’augmenter la résistance de l’organisme aux infections et d’accélérer la réaction des cellules de défense face aux agents pathogènes. La médecine dite moderne et l’industrie pharmaceutique chimique laissent l’occasion à la science de considérer le corps humain non comme un tout, mais comme une simple machine mal construite par le Créateur et dont le fonctionnement doit être garanti par le renforcement de certains organes par des produits chimiques et par le remplacement des organes usés ou malades par d’autres naturels ou artificiels (organes de substitution) en pratiquant des ablations désastreuses des organes affectés au moyen de la chirurgie au travers des greffes. Cette orientation scientifique a permis de développer une longue liste de prix Nobel dès 1901, reflétant bien le progrès extraordinaire de la recherche fondamentale en physiologie, en biologie ou en génétique. Ces travaux permirent aussi de développer une médecine expérimentale qui a remporté un bon nombre de succès malgré les résultats décevants au plan thérapeutique. Sans prétendre balayer d’un revers de la main toute l’activité médicale, malgré ses limites et ses échecs, il faut donner à César ce qui est à César :
Sans les découvertes des microorganismes, de l’insuline, de la pénicilline, des groupes sanguins, etc., l’humanité aurait connu de grandes difficultés à combattre certaines épidémies, à résoudre certains problèmes héréditaires et transfusionnels, à réguler la glycémie chez les diabétiques, etc.
Donc nous ne serions peut-être pas tous là pour en parler aujourd’hui. En effet depuis notre conception dans le sein de notre mère, nous avons presque tous été un jour ou l’autre sauvés par cette médecine ne serait-ce que par un vaccin pour prévenir une épidémie, ou pris en charge au bloc opératoire pour une intervention chirurgicale d’urgence.
Le titre de ce livre est pleinement justifié par la crise que traverse la médecine occidentale depuis des décennies. Ses limites et ses échecs sont devenus de plus en plus évidents, aussi bien dans la prise en charge et la guérison des maladies organiques, que dans le contrôle toxicologique des produits pharmaceutiques et de la maladie mentale. La médecine se trouve confrontée à un double défi de ce fait : connaître l’homme dans son intégralité ; et le restaurer dans son intégrité tridimensionnelle . Or la complexité incompréhensible de l’être humain vient de ce que le corps est constitué d’une homogénéité anatomique et physiologique. Il y a de ce fait une inégalité étrange entre les sciences de la matière inerte et celle de l’être humain ; comparée aux autres sciences comme la mécanique ; l’astronomie ; la physique qui ont à leur base des concepts susceptibles de s’exprimer de façon concise et élégante en langage mathématique. Il n’en est pas de même de la médecine qui semble être perdue dans une jungle inextricable au milieu des phénomènes anatomiques et physiologiques et la résurgence de pathologies innombrables, changeantes et variantes d’un individu à l’autre. La médecine est accablée par des faits qu’elle n’arrive pas à décrire, mais qu’elle n’est pas capable de définir par une formule algébrique pour garantir la guérison à tous ses malades et pour toujours.
Le monde moderne de par son mode de vie a reçu l’empreinte de l’hygiène et de la médecine et des principes résultant des découvertes de l’industrie pharmaceutique chimique, de Pasteur , de Flemming , etc. Ces produits sont certes d’un apport utile pour garantir le confort anatomique et physiologique de l’organisme humain. Toutefois, il faut peu à peu les considérer aujourd’hui comme un triomphe d’une humanité à la poursuite sans cesse de la santé. La physiologie et l’anatomie n’étant pas les seules composantes de l’être humain, la santé ne saurait en aucun cas être considérée, prise en charge ou ajustée, comme une simple machine industrielle ou être comparée à un plan d’ajustement structurel ou de relance économique pour assurer la croissance et la survie d’un peuple. Certes les progrès de la chimie, grâce à l’industrie pharmaceutique, la construction des hôpitaux, la conception et la mise en service des technologies médicales aident la médecine moderne à s’orienter vers une voie de plus en plus sûre pour le commun des mortels. Mais pour être sincère, la médecine n’atteindra tout son progrès que lorsqu’elle trouvera le moyen de conserver jusqu’à la fin les activités organiques et mentales de l’être humain. Or la longévité n’est désirable que si elle prolonge la jeunesse et non pas la vieillesse. Il est donc impératif de reconsidérer l’homme dans son entièreté et savoir qu’une action thérapeutique fût-elle efficace ne saurait régler l’énigme de la guérison, la santé et la longévité sans prendre en compte l’âme et l’esprit.
La santé artificielle de tout temps n’a jamais suffi à l’homme :
Les visites médicales ; les examens de laboratoire ; l’imagerie ; et les soins médicaux en réalité sont gênants, pénibles, coûteux, parfois peu efficaces et insuffisants pour répondre entièrement au problème de santé de l’homme.
C’est pourquoi même lorsqu’un individu semble en bonne santé après un suivi médical, il lui faut toujours de petits soins et de petites réparations pour jouir pleinement de la vie au quotidien.
Donc d’après ce qui précède, si l’on se focalise sur la définition de l’OMS qui définit la santé “comme un état complet de bien-être physique, mental et social ne consistant pas seulement en une absence de la maladie ou d’infirmité” , il ressortira que cette définition est incomplète car l’homme est un être tridimensionnel, vivant dans un environneme

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