177
pages
Français
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2019
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Ebook
2019
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Publié par
Date de parution
15 janvier 2019
Nombre de lectures
4
EAN13
9782368325827
Langue
Français
Einstein disait : « Tout est énergie, un point c’est tout. Correspondez à la fréquence de la réalité que vous désirez et vous ne pourrez qu’obtenir cette réalité. Il ne peut en être autrement. Ce n’est pas de la philosophie. C’est de la physique. »
Beaucoup d’entre nous sont passés par ces périodes de doutes, d’inconfort, ces périodes où l’on se sent comme balloté par la vie, presque en demi-vie, sans aucune maîtrise sur nos destinées.
Ce livre est un condensé de nombreuses solutions qui s’offrent à vous pour créer cette réalité qui vous correspond et qui vous permettra de vivre enfin cette vie que vous ne vous autorisez trop souvent qu’à rêver brièvement. Car c’est en vous que nous trouverons ces réponses, nous allons voir au fil des chapitres comment diriger, modeler et maîtriser votre énergie afin que vous créiez cette réalité à laquelle vous aspirez.
Au fil des pages, à travers des récits et des techniques, vous prendrez la pleine mesure de vos capacités et de ce que vous pouvez réaliser en canalisant votre lumière, votre énergie, vos pensées, votre Qi ou Chi ; le but est de proposer au lecteur la technique qui lui conviendrait le mieux pour révéler et exploiter son potentiel énergétique.
L’Univers est énergie : elle est présente dans les plantes, dans tous les êtres vivants, elle est quantifiable et vous découvrirez également que la source la plus forte d’énergie est en nous même, dans nos têtes ; car la pensée, c’est de l’énergie également. Des scientifiques l’ont prouvé ; parce qu’elle est mesurable : la pensée est une onde énergétique : en maîtrisant ces techniques de Soins Energétiques, vous en maîtriserez la teneur, vous vibrerez à une fréquence qui modèlera par projection le monde et les êtres qui vous entourent.
Publié par
Date de parution
15 janvier 2019
Nombre de lectures
4
EAN13
9782368325827
Langue
Français
Best of des Soins Énergétiques
La SAS 2C4L — NOMBRE7,ainsi que tous les prestataires de production participant à laréalisation de cet ouvrage ne sauraient être tenus pourresponsables de quelque manière que ce soit, du contenu engénéral, de la portée du contenu du texte, ni dela teneur de certains propos en particulier, contenus dans cetouvrage ni dans quelque ouvrage qu'ils produisent à la demandeet pour le compte d'un auteur ou d'un éditeur tiers, qui enendosse la pleine et entière responsabilité
Bertrand Canavy
Bestof des Soins Énergétiques
A PROPOS DE BERTRANDCANAVY
Doctor of Naturopathic Medicine, N.M.D
Praticien de Santé « globe-trotter », Spécialiséen Thérapies Quantiques et Energétiques
D.U Stem Cells and Regenerative Medicine
D.U en Santé, Nutrition et Micro-Nutrition
D.U en Ingénierie et Conseil en Santé et PréventionActive
Coach en Santé certifié CESPA
Rédacteur en chef de La Revue d’Hippocrate
Auteur, Conférencier et Entrepreneur
PRÉSENTATION, EN QUELQUES LIGNES :
Bertrand Canavy est Praticien de Santé, Doctor of NaturopathicMedicine, N.M.D, Auteur et Conférencier. Il œuvre avecpassion depuis plus de 15 ans dans le domaine de la SantéHolistique et l’Éveil de Conscience.
Il a la chance d’être le fondateur de plusieurs Institutsen Soins Quantiques & Ancestraux, dont Hippocrates Thai Institute(Thaïlande), Hippocrates Africa Institute (Côte d’Ivoire),Hippocrates Madagascar Institute (Madagascar), Hippocrates FrenchGuiana Institute (Guyane) et Hippocrates France Institute (France).
Entrepreneur, il contribue à de multiples projets dédiésà tous ceux qui veulent améliorer leur santé…etleur vie.
Il aime bien écrire, Il est aussi l’auteur d’unetrentaine de livres traitant de mieux-être, de développementpersonnel, de spiritualité et de santé holistique.
Il est le Rédacteur en chef de La Revue d’Hippocrate.
Ainsi, grâce à ses activités et notamment sanewsletter « La Lettre Positive de Bertrand Canavy »diffusée à plus d’un million de personnes toutesles semaines, chacun peut trouver des clés afin de mieuxvivre, plus longtemps et en meilleure santé.
En synthèse, il se consacre aujourd’hui principalementaux soins VIP en Institut, à l’enseignement et àl’écriture
.
Chapitre 1 : Les Secrets de l’Énergie
" Mon opinion est qu'il ne faut rien négliger dansun art qui intéresse tout le monde" - Hippocrate
Le monde regorge de guérisseurs de toutes sortes,mi-médecins, mi-médiums, mi-savants. Beaucoup dépassentles conclusions scientifiques et peuvent prétendre à ladéfinition qu'Oscar Wilde donnait du poète :"Celui qui répond à des questions non encoreposées". - Christian H. Godefroy
LePartage
Pourquoim'arrêtez-vous ? demandai-je aux deux policiers entréschez moi à sept heures du matin pour m'intimer l'ordre de lessuivre.
Je ne pouvais mesouvenir d'aucune peccadille susceptible d'attirer l'attention de lapolice. Craintif de nature, indifférent à ce quin'était pas ma vie intérieure, soucieux de ne m'attirerde démêlés avec quiconque, je mettaissoigneusement des oeillères chaque matin.
Ma seule préoccupationétait de satisfaire tout le monde en m'intégrant auschéma que la société m'avait fixé unefois pour toutes.
- Allez-vousm'expliquer ?
- Expliquer ? C'estvous qui vous expliquerez tout à l'heure, quand on vousinterrogera.
- Dites-moi au moins dequoi il s'agit.
Ils haussèrentensemble leurs lourdes épaules :
- Suivez-nous et pasd'histoires.
Nous marchions dans lesrues, paisibles à cette heure, moi entre eux, comme descamarades qui reviendraient d'une nuit bien employée. Jeremarquai, dans le ciel étonnamment clair, des branchesdépouillées qui s'y gravaient en profondeur, surpris dem'attacher aux arbres et à la lumière alors qu'ilsemblait être question de ma liberté. Il fallait réagir.
- Regardez au moins quivous arrêtez, dis-je à mes compagnons. Je suis la crèmedes citoyens, incapable de discuter un règlement.
- Tous des petitssaints, grommela mon bonhomme de droite, et il n'y a pas pire. Aumoins, avec les vrais bandits on sait à quoi s'en tenir.
- T'en fais pas, éructason copain de gauche. Est-ce que le mouton noir sait qu'il est noir ?
J'entendais l'échode ces judicieuses paroles quand nous arrivâmes au but. C'étaitune longue pièce grise tapissée de dossiers. Derrièreun bureau gris, un homme était installé qui me parutincolore.
- Alors me dit-il d'unevoix sifflante, après avoir pris contact avec les deuxpoliciers, il paraît que vous ne savez même pas de quoiil s'agit ?
- Pas du tout, dis-je,mais vous allez me l'apprendre.
- Foutez-le au ballon,ça lui rafraîchira la mémoire.
On me délesta dema cravate, de ma ceinture, de mes lacets et de mes objetspersonnels.
Gestes rudes, paroleshumiliantes, rancœurs glaireuses, fade odeur de crasse dans lerelent d'infamie, la cellule c'était tout cela. "Cela"incompréhensible, inadmissible, méconnaissable dans uneexistence comme la mienne.
Assis àcroupetons sur l'inconfortable tabouret ; on m'avait prévenuqu'il était interdit de s'étendre avant la nuit, latête entre les mains, je m'efforçais de jaugerl'imbécillité de cette affaire et le gâchisqu'elle apporterait à mon emploi du temps.
Calcul facile et vitefait. Après quoi, dans le silence hostile, je voulus penser.Peine perdue.
Que se passait-il ?Je crus que l'exaspération était la grande coupable etme ridait la cervelle. Mais il me fallut déchanter. Si je metrouvais incapable de penser, c'était parce que j'avais prisl'habitude de laisser l'environnement penser à ma place.L'environnement, autrement dit l'événement, les désirset les habitudes. En dehors de ce cercle que restait-il ? Niespace, ni temps, pas même moi. Quelque chose d'autre avaitpensé à ma place.
Curieuse impression. Lemonde se dissolvant contre les murs de ma cellule, je me trouvaistout à coup disponible pour un quelconque devenir.
J'avais donc cheminéjusqu'à ce jour dans un couloir étroit qui me rassuraitparce que je m'appuyais tantôt à un mur tantôt àl'autre. Ces murailles je les concevais comme des soutiens. Et mevoilà soudain transporté sur une surface plane etobscure, comme un aveugle qui n'a jamais imaginé le vasteciel.
Les heures sechevauchant à toute lenteur me laissaient désemparé.Je les réduisais à une hypertrophie du présent.
Enfin, vers le soir, laporte s'ouvrit, violemment lancée par un gardien. Je bondis.Je ne supportais plus l'isolement.
- Bougez pas !dit-il. C'est pas pour vous. Laissez passer.
Deux autres gardiensentrèrent, traînant par les bras un homme évanoui,si grand et si fort qu'ils eurent de la peine à le hisser surle bat-flanc face au mien.
- Il s'est drôlementfait arranger, dit le gardien-chef. On le laisse là,provisoire. Surveillez-le. S'il passe l'arme à gauche,appelez ! Vous n'aurez qu'à cogner à la porte.
La porte refermée,comme un peu de lumière filtrait par le guichet, rejoignant laclarté de la lucarne, j'en profitai pour examiner le blessé.Son visage tuméfié devait être beau. Le sangcoulait encore d'une arcade sourcilière ouverte et desnarines. Au coin des lèvres une mousse rosâtre faisaitde petites bulles.
Il demeuraitinconscient, peut-être dans le coma. Je lui donnais entrevingt-cinq et trente ans car ses cheveux blonds se dressaient drus etabondants sur un front bas. Les paupières enfléesfaisaient auvent au-dessus des yeux fermés et des crispationsnerveuses déformaient ce visage comme des tics. Il y avait dela boue sur ses vêtements déchirés par endroits,et jusque sur son visage. D'où je conclus qu'il sortait d'unerixe de la rue. Il devait souffrir intensément car, dans soninconscience, il criait et gémissait sans arrêt.
Il mit près d'uneheure à reprendre connaissance. Ses yeux ne s'ouvraienttoujours pas. Toutefois ses lèvres remuèrent sansparvenir à articuler une parole. Je me penchai sur lui,anxieux, essayant de comprendre, quand il se mit à hurlercomme un torturé en lançant sa tête de droite àgauche comme pour se l'arracher du cou. Je lui pris la tête àdeux mains pour la maintenir en place mais il hurla encore plus fort.Quand je le lâchai, mes mains étaient poisséesd'un sang épais.
Sa souffrance étaittelle que j'en perdais le sens. Alors je me mis à cogner detoutes mes forces contre la porte, avec mes poings d'abord, puis avecle tabouret, pour appeler le gardien.
Personne ne venait. Ilfallait pourtant soulager ce malheureux. On ne pouvait pas luilaisser passer la nuit ainsi. Ses hurlements s'enfonçaientdans ma poitrine.
Alors je rapprochai montabouret de son grabat, à toucher son corps de mes genoux,fixant intensément le beau visage ensanglanté. Ilfaisait nuit à présent, si bien que, pour retrouver cevisage, je devais le recréer dans mon imagination tel qu'ilm'était apparu tout à l'heure. La pitié que j'enéprouvais m'unissait à cet être à la façond'un câble. Et je m'aperçus qu'un nuage noir, plusténébreux que l'obscurité, montait de lui. Cetteopacité devenait tangible : c'était sa souffrancequi se matérialisait et m'atteignait.
Je frais par respireravec peine dans ce brouillard écrasant. Malgré letragique de l'instant, j'eus la sensation très douce d'un"déjà vécu". J'avais déjàconnu cette identification avec la souffrance d'un autre être.Mais alors, terrassé par ma douleur personnelle, j'avais étédeux fois vaincu. Tandis qu'à présent je voyaisl'ennemi.
Un ennemi, on le combat.De quoi était-il fait, celui-ci ? Autant demander de quoiétait formée la souffrance qui faisait panteler l'hommedevant moi.
Une souffrance, on lesait, est particulière à chacun de nous comme sonvisage. Seulement, le visage, ce n'est pas la forme qui lecaractérise mais l'expression. Par là je pouvais doncarriver à une précision.
Ce qui caractérisaitla souffrance de ce blessé, c'était qu'elle l'avaitvidé de son individualité. Arrêt total d'unepensée qui ne se manifestait plus que par la douleur. A moinsque ce ne fût une douleur particulière.
Je fus tenté,puisque cette douleur était le résultat de coups et debless