Pour l amour de Johanna
120 pages
Français

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Pour l'amour de Johanna , livre ebook

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Description

Nora est une jeune fille que la vie a déjà bien mise à l'épreuve. Entre la perte d'un être cher, l'incompréhension et la peur. Elle ne sais plus comment sourire à la vie. Mais la rencontre de Johan un jeune homme pourrait peut être tout changer.

Informations

Publié par
Date de parution 22 mars 2012
Nombre de lectures 0
EAN13 9782312006406
Langue Français

Extrait

Pour l’amour de Johanna
Aurore Seguier
Pour l’amour de Johanna
Le pouvoir de L’amour













Les éditions du net 70, quai Dion Bouton 92800 Puteaux
Je tiens à remercier ma très cher Mélanie, qui m’a soutenue lors de l’écriture de ce livre. Ainsi que Ma belle sœur qui a était l’une des premières à lire mon ouvrage.

Je tiens aussi à remercier Aurélie pour son aide et sa détermination, sans qui ce livre n’aurait pas vu le jour.


























© Les Éditions du Net, 2012 ISBN : 978-2-312-00640-6
Avant-Propos
Cette histoire parle de l’amour qui peut unir un homme et une femme, mais également de l’amour inconditionnel qui unit une mère à son enfant.
De tout ce que nous serions prêts à faire pour cet amour et jusqu’où nous serions prêts a aller pour sauver une personne qui nous est chère.
Introduction
Je me suis toujours demandé si la vie valait vraiment la peine d'être vécue.
Quand dans la vie nous n'avons aucun but, aucune en vie, aucune joie, comment faire pour surmonter la tristesse que l'on éprouve au plus profond de nous?
Comment supporter le bonheur des autres, quand nous sommes malheureux?
Comment faire semblant de rire, de sourire quand on n’en a pas envie ?
Peut-ont faire semblant d’être heureux, serein, sans que personne ne s’en aperçoivent ?
Ces questions je me l'ai suis posé plusieurs milliers de fois dans ma tête.
Depuis 3 ans maintenant, j’erre comme un zombie, j’avais essayé d’oublier, mais tout ce que j’ai pu faire n’a jamais réussi à me faire oublier, ni d’ailleurs à me faire aller mieux…

Alors j’ai arrêté de vivre et j’ai commencé à survivre en devenant aussi solitaire que possible, cela me permettait de ne plus souffrir. J’ai arrêté de rêver et j’ai commencé à pleurer…
J’avais tout fait pour être heureuse mais je me suis aperçu que tout n’était jamais assez, car peu importe ce que j’entreprenais j’étais toujours aussi malheureuse…
Du moins jusqu'à que je le rencontre. Lui. Celui qui a changé ma vie n’a tout jamais, celui pour qui j’allais affronter des choses auxquelles je n’imaginais encore même pas l’existence…
Partie I
Le Pouvoir de l’amour
Chapitre N° 1
Le Départ
Je m’appelle Nora Witts
Aujourd'hui je déménage pour la première fois de mon existence.
C’est ma mère qui en a décidé ainsi. Elle est persuadée que c’est la meilleure des solutions. Pour qui ? Pour elle ou pour moi ?
Il faut dire que je n’ai pas très bien pris la nouvelle, quand elle m’a annoncé il y a quelques mois de ça, que nous allions déménager.
Quitter cette belle maison dans laquelle je vis depuis ma naissance. Quitter cette petite ville dans laquelle j’ai grandi. J’ai essayé à plusieurs reprises de la dissuader de partir, mais il sait avérer que mes efforts n’ont abouti à rien, si ce n’est à la motivée encore plus.
Donc voilà mes affaires sont prêtes depuis quelques jours et je suis seule. Assise dans ma chambre, je l'observe une dernière fois avec cette tristesse au fond de moi. En effet j'étais triste de quitter ma belle chambre, celle-ci même où j'ai vécu depuis ma naissance, celle-ci ou j'ai vu naître ma passion pour le piano. A l'époque j'avais dû supplier ma mère pour qu'elle accepte de m'acheter un piano. Et je n’avais pas mis longtemps à apprendre à y jouer, avec les progrès d’internet, je pouvais facilement surfer sur des sites et apprendre à jouer du piano.
Gratuitement et sans professeurs. Il faut dire que moi et les professeurs quelle que soit la matière, ça passe très mal.
Dans cette chambre j’étais comme dans une bulle, un monde a part ou j’étais la seule à entrer, comme dans un cocon ou rien ni personne ne pouvais m’atteindre.
Je m'y sentais apaiser, sereine et moi-même. Les murs étaient tellement épais que je pouvais jouer au piano toute la nuit sans que ma mère ne m'entende. Dans mes moments de tristesse, je pouvais pleurer et crier sous mes oreillers sans alerter ma mère. Ce qui arrivait pratiquement tous les soirs depuis la mort de mon père.
Au fur est à mesure des mois je l'avais personnalisé a ma façon, je l’avais peinte en violet clair et collé sur les murs, des stickers noirs en forme de notes de musique.
Cela m’avait pris plusieurs mois pour la mettre à mon goût.
J’ai vécu toute ma vie à los Angeles, je connais les moindres coins de rue par cœur.
Ma mère et moi vivions dans une maison sur les hauteurs de Beverly Hill. Une très belle maison avec piscine. Rien que ma chambre comportait un dressing de la taille de celle-ci, et une salle de bain privé.
Je vivais assez Aisément, pour dire ma mère était la plus riche du quartier. Pourtant l’agent m’importait peu. Je ne portais aucun vêtement de marque, je n’affichais pas la richesse de ma mère et je ne possédais même pas de voiture, ce qui faisait de moi une jeune fille étrange. Quand tous les jeunes de mon âge rêvent de sortie, de voiture, de conquêtes, de shopping, moi je ne rêvais que d’une chose « revenir en arrière » quand mon père était encore en vie.
Souvent j’entendais les voisins discuter sur mon sort. « Je trouve cette petite très bizarre » disait ma voisine la plus proche. Et il est vrai qu’elle avait raison, j’étais bizarre, mais je ne savais pas en quoi j’étais bizarre. Hors mi le fait que je ne me sentais pas à l’aise dans ce monde, hors mi le fait qu’à mon âge je n’ai encore jamais connu de relation vraiment sérieuse. J’étais en effet bizarre, même moi je le savais. Je m’en étais rendu compte à plusieurs reprises, j’étais toujours mis a l’écart, je ne me rendais jamais aux soirées organisé par les étudiants et quand je sortais de chez moi c’étais pour aller promener seule. Même la personne la plus nulle de tout le lycée avait au moins un ami. En revanche pas moi, moi j’étais celle qui n’avais pas d’ami, celle dont tout le monde se moquer, « la solitaire ».
Durant toutes ses années passer dans le même lycée, j’avais enduré les rumeurs, certaine racontée que j’étais homosexuel, d’autres que j’étais mourante, d’autre encore que j’étais une sorcière, j’avais enduré l’humiliation de ne jamais être invité à n’importe quel bal, et j’avais survécu à tout ça en sachant qu’un jour je prendrais ma revanche sur tout ceci. Bref Je venais de finir mes études et j’allais entamer des études supérieures. Peut-être que cette fois ce serait différent. Quoi que …J’ai deux passions dans la vie jouée du piano et lire. Quand je jouer je me sens vivante, j’oublie tous mes problèmes d’adolescentes, parfois même j’oubliais qui je suis. Et dans la lecture parfois je me retrouve. Tous les samedis, je me rends à la plage de santa Monica. Le sable y couvre la plus grande partie de la plage. J’aime marcher pieds nus dans le sable et sentir la brise de vent dans mes cheveux. Ecouter le bruit des vagues et le chant des oiseaux.
J’ai quelques petites habitudes qui me plaisent énormément et c’était pourquoi je suis triste de partir. J’avais aussi l’impression qu’en partant de Los Angeles j’abandonner mon père, car je ne pourrais plus allez le voir au cimetière. Et je ne voulais pas l’abandonner, si j’aurais pu mourir a sa place, je l’aurais fait par amour pour lui….
Alors partir de là, me laissa un haut-le-cœur.
Mais je n'ai que 18 ans et je n'ai pas le choix, je dois suivre l'adulte et ici l'adulte c’est ma mère.
Productrice pour une grande chaise de télévision elle avait accepté une mission durant laquelle elle devait remonter l’audimat d’une chaise du même groupe, qui du coup nous délocalisé et nous amener tout droit vers New York...
J'aurais dû être contente c'est vrai car c'est tout de même NY, avec ces grands magasins, ces grandes rues, ces immeubles à perte de vue et ces immenses parcs.
Pourtant je ne sais trop pourquoi je ne voulais pas partir. J’étais bien à los Angeles, même si je n'avais pas d'amis, et que dans mon établissement j’étais consid&

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