Toujours ensemble
365 pages
Français

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Toujours ensemble , livre ebook

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Description

Vanessa fine, dix-huit ans, voit ses parents et son fiancé se faire tuer devant ses yeux. Étant la plus jeune des agents secrets de sa brigade, elle rend les armes après ce terrible accident afin de reprendre une vie normale.

Après quelque mois de tranquillité elle apprend que l'homme qui a tué sa famille s'est installé dans le même coin que celle-ci.

Vanessa devra reprendre du service afin de mettre un terme à cette histoire...

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 30 avril 2015
Nombre de lectures 1
EAN13 9782332916723
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0090€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-91670-9

© Edilivre, 2015
Chapitre 1 Un drame qui n’en finit pas
J’étais très proche de mon frère ainé Steven, quand j’ai eu quinze ans mon frère est parti sans aucune explication avec juste un mot sur mon lit « Désolé », ce fut le choc total pour mes parents et encore plus pour moi, qui ne comprenaient pas comment on pouvait abandonner tout les gens que l’on n’aimait sans rien dire. J’ai vu ma mère pleurer pendant plusieurs semaines, même si celle-ci ne faisait rien paraître vis-à-vis de nous tous, je savais que cela n’avait pas été une partie de plaisir pour elle.
A mes seize ans, j’avais constaté que cela faisait déjà un an que notre frère était parti, je passais le trois quart du temps à canaliser ma colère. Je me défoulais sur un sac de frappe pour que celle-ci finisse par se calmer. Mes journées se passaient à l’identique jusqu’à ce qu’un jour, un homme vienne dans ma salle d’entraînement. Il commençait par me faire un grand discours sur les principes de vie, la rage que j’avais, aurais pu être plus utile ailleurs qu’ici. C’est comme ça que je suis rentré dans les services secrets. J’étais l’une des meilleure à chaque mission que l’on me confiait, j’atteignais mon but à chaque fois, on me félicitait souvent pour mon travail, bien sûr je n’étais pas seul, j’avais un coéquipier qui m’aidait.
Deux ans passèrent, lui et moi étions une équipe de choc, bien évidement nous avons fini par nous rapprocher. Au fur et à mesure on est tombé amoureux et il me demanda en mariage, j’acceptais, nous ne formions plus qu’un.
Un jour, j’ai annoncé la grande nouvelle à mes parents et bien entendu ma mère voulu le connaitre. Elle organisa alors un diner et lorsque David arriva on se mit à table, une conversation en entraînant une autre, nous devions mentir à mes parents car leur dire ce que nous faisions réellement dans la vie n’aurait pas été une chose facile à expliquer. A la moitié du repas le téléphone sonna, c’est mon frère Gregory qui se leva pour répondre et c’est là qu’arriva le drame. Des coups de feu retentirent de nulle part faisant rage à l’intérieur de notre maison, j’ordonnai à mes parents de se coucher tout en essayant d’attraper mon arme. Quand Gregory apparut dans le salon, David intervint pour lui sauver la vie. Quand les coups de feu commencèrent à s’arrêter, je me dirigeai vers la porte d’entrée afin de voir notre agresseur.
Mon arme à la main, j’ouvris la porte, la seule chose qui finit par se faire entendre était le grincement des pneus d’une voiture qui démarrait en trombe. Je me mis à tirer toutes les balles de mon revolver, mais la voiture était déjà loin. Je me précipitais à l’intérieur, ce que je vis n’était qu’horreur, mes parents étaient là et ne bougeaient plus. J’avançais vers eux, les secouaient de toutes mes forces mais rien à faire. Je fis les cents pas pour voir où étaient mon fiancé et mon frère je criais, quand on finit par me répondre :
– J e suis la !!!
C’était Gregory, étouffé par mon fiancé qui s’était jeté sur lui pour le sauver, j’attrapais David qui perdait énormément de sang il tentait de me parler mais en crachait beaucoup trop pour me dire quoique se soit. J’essayais alors, d’arrêter l’hémorragie qui ne se stoppait pas. Il finit par fermer les yeux et je compris qu’il avait donné son dernier souffle, je me mis à pleurer, c’était affreux de ce dire que l’homme que l’on aimait avais fini par s’éteindre dans vos bras. Gregory affolé par ce qui venait d’arriver, regarda autour de lui mais quand il vit nos parents étendu il se mit à courir vers eux, attrapa notre mère qui ne bougeait plus, pris la main de notre père en essayant de les faire réagir :
– P apa, Maman ! Levez vous ! Pitié ouvrez les yeux c’est moi !
Il se mit à hurler, c’était inimaginable de le voir dans un tel état. Il me regarda.
– A ppel les secours !
Je me précipitais vers le téléphone les yeux remplis de larmes, en espérant que tout cela n’était qu’un mauvais rêve. Les secours arrivèrent en quelques minutes, mais il était trop tard pour les sauver. Quand ils parviennent sur place, c’est avec horreur qu’ils découvrent notre salon qui ressemblait à une vraie boucherie. Nous attendions les coronaires qui vinrent récupère nos parents et David. Les larmes et la colère se faisaient entendre, je pris la décision d’aller au Q.G j’espérais que l’on me donnerait un nom sur mon agresseur. Lorsque je suis parti, mon frère a tenu a m’accompagné, il était décidé à ne pas me laisser seul, pour la première fois je me moquais de se que l’on pouvait me dire vis-à-vis des règles qui consistaient à ne jamais impliquer de civil même si celui ci apprenait qui j’étais vraiment. Rien n’avait d’importance mis à part ma vengeance.
Vingt minutes plus tard…
Je poussais la porte, un de mes amis et collègue me demanda ce que je faisais au Q.G après le drame que je venais de vivre. Je compris que tout le monde était au courant, alors j’ordonnais que l’on m’appel le chef. Mon collègue me regarda et commença à vouloir me résonner.
– S ’il te plait Vanessa, tu devrais rentrer chez toi, tu n’es pas dans ton état normal.
– C ’est une blague, j’espère que tu te rends compte de ce qui nous arrive.
Gregory le regarda méchamment tout en lui criant dessus.
– J e vous ordonne d’appeler le chef !
Mon collègue le regarda avec interrogation, se fut la première fois que je voyais mon frère aussi effrayant. Le faite que mon collègue répondit à mon frère m’étonna, me trompa et m’horrifia.
– Désole Greg même étant un agent supérieur tu peux…
Il fut coupé par le chef qui lui demanda de se taire, je ne prêtais même pas attention à la voix derrière moi. Ce qui se répétait dans ma tête, c’était ces mots « Agent supérieur » pendant qu’ils se parlaient la colère monta en moi.
– T u es un agent depuis combien de temps ?
Toutes les têtes se retournèrent vers moi.
– C e n’est pas le moment.
– Q uand ?
– S ’il te plait !
– Non ! Ce n’est même pas la peine d’y penser répond moi maintenant.
Il me regarde sans dire un mot… Puis se lança.
– C ela fait longtemps que je suis agent secret, je l’étais avant même que tu le sois.
– T u te fous de moi ! Aller dit-le ! Maman et Papa sont mort se soir, ainsi que David ! Toi tu es un agent ? Et pourtant c’est David qui t’a sauvé.
Il me regarda, tout en voulant me prendre dans ses bras, je le rejetais.
– N on ! Pas de ça avec moi.
– P ardonne-moi.
La colère me prit.
– A rrête, sa suffit entre toi et l’autre connard qui n’assume pas ses responsabilités, je craque ! Ils sont morts et toi tu n’es qu’un menteur.
Mon chef intervient. – Vanessa, arrête ce n’est pas le moment de t’en prendre à lui.
– E t vous ! Vous attendiez quoi pour me le dire.
– J e lui ai promis de ne rien te dire, Je ne compromettrais jamais ma parole.
– V otre parole ! Voulez vous que je vous dise où vous pouvez vous la mettre ?
Greg repris la parole.
– S a suffit ! Je n’avais pas mon arme sur moi, elle se trouvait dans ma chambre.
– E t pour toi cela te semble une excuse valable ?
Cela ne s’arrêtait plus, ils étaient contre moi.
– A rrête ! Ce n’est pas la faute de ton frère si ils sont morts.
– C ’est vrai, mais un bon agent a toujours sont arme sur lui.
– E coute ! Il doit se prépare c’est vrai mais…
Je regardais mon chef comme un inconnu.
– I l doit se préparer à quoi ? Perdre sa famille, ses amis, à revenir au travail comme ci de rien n’était, Désolé mais je dois dire que votre façon de faire est nul.
– J e n’ai jamais dit cela.
– A lors il se prépare à quoi ? À mourir, vous êtes toujours là a nous enseigner à survivre, mais la douleur vous ne nous l’avez pas apprise à la surmonter.
Je viens de perdre mes parents, David est mort dans mes bras ce soir et je n’ai que dix-huit ans. C’est trop jeune, le pire est que c’est notre faute à tous.
On se prépare à être fort, courageux, comme de bons petits soldats, On nous a appris toutes les façons possibles pour sauver des personnes, à en emprisonner d’autres, mais on ne nous a jamais enseigné à réagir lorsque l’on perd des proches.
– A lors allez-y, Préparé moi, vous étés très fort, toujours le nez dans vos dossiers assis derrière votre bureau, mais comment réagiriez vous si part vengeance votre femme ou vos enfants étaient touchés à cause de personnes que vous n’aviez pas pu arrêter.
– Q ui te dit que c’est de ta faute, arrête de culpabiliser.
– J e sais qui est-ce, j’ai vu leur plaque c’est le gang « bimotrice ». Vous savez celui que vous pensiez avoir sous contrôle mais qui ne l’ai pas tant que ça.
Après un long silence.
– A i-je tort ?
– V anessa je suis désolé.
– E ncore des excuses, vous ne savez faire que ça.
Après un nouveau silence, je finis par me calmer tous en regardant autour de moi, je compris que ma crise avait servi de spectacle à tout le monde, je regardai mon chef tout en déposant mon arme.
– Q u’est ce que tu fais ?
– J e démissionne, je renonce, je vous rends mon insigne.
– N e fait pas ça !
Je lui tournais le dos et parti sans dire un mot. Alors que je marchais, je tombais sur le père et le frère de David. Je n’arrivais même pas à les regarder dans les yeux. Quand il me vit continuer mon chemin, son frère qui était un de mes plus fidele ami m’attrapa la main, il me prit dans ses bras les yeux plein de larme et me dit ; – Ne renonce pas. Je compris que l’heure des adieux avait sonné, il me lâcha, je partie sans me retourner. Quand j’arrivais chez moi, je retirais ma robe recouverte de sang et pris une douche. Je continuais de pleuré après avoir passé plus d’une heure sous l’eau, je sortis et descendis au salon. L’allume un feu tout en faisant un

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