Le pendu de Fontainebleau , livre ebook

Les Éditions du Net - Stephan Erick

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24 pages

Français

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Extrait

Description

Révélations faîtes au commissariat de Fontainebleau, et divergences de rapport entre les prévenus ! Les ou le coupable courent toujours, ce pendu Norbert se ballottant à une branche à la lisière de cette immense forêt nous fait penser à un suicide, mais serait-ce un homicide volontaire qui nous éconduit sur plusieurs pistes improbables !

Sujets

Crime

Fiction

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Publié par	Les Éditions du Net
Date de parution	06 juillet 2023
Nombre de lectures	0
EAN13	9782312126036
Langue	Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0150€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Le pendu de Fontainebleau
Stephan Erick
Le pendu de Fontainebleau
LES ÉDITIONS DU NET
126, rue du Landy 93400 St Ouen
Du même auteur
L’insoumis
Sous‑jacent
La balle perdue
© Les Éditions du Net, 2023
ISBN : 978-2-312-12603-6
Maintenant, les passes en deux mains et l’allusion à un nouvel univers de ce fait, et qui ne passe plus !
Les deux mondes et l’esprit solitaire errant de vague à l’âme.
L’injonction et l’inertie de cet univers céleste ! Et, que depuis la fin des deux parties !
Le bien et le mal !
L’alter ego des chimères inédites et luxuriantes.
La démocratie en forme de réservoir et l’unique histoire d’un gigolo avec un traversin.
L’après situation, et le pôle économique !
Les dépenses publiques et le portefeuille ministrable.
L’illusion tombait à pic, et le malade devait fuir l’embarras face à ce déferlement de microbes dans l’air ambiant.
La candide stupeur !
La panacée élévatrice !
Le diocèse !
Le futur ne vît le jour qu’après la fin d’une dictature menée à travers certains pays ! Les nations et continents concernés virent une volte-face s’inscrire dans leurs méthodes orthodoxes soient-elles ! Les dictateurs que l’on peut compter sur les doigts d’une main n’arrivèrent jamais à garder et marquer la population au fer rouge, seulement, il y avait l’ordre des milices et des armées, plus la police et les agents secrets qui faisaient tourbillonner les têtes pensantes des pays administrés. En tout état de cause, les revendications proscrites en faisaient foi et cachet gouvernemental ! L’indigence des peuples et celle des populations naquirent sur l’échafaud ! Les morts et blessés par méthodologie qu’exerçaient les bourreaux désignés par l’État de dictature.
Et les gouvernants aux premières loges firent croire en rien à la population que les dés étaient pipés, mais dès lors que les contingents d’hommes et de femmes, enfants et jeunesse périrent dans l’horreur ! Ils se mirent à dissimuler des preuves irréfutables, par exemple : les ordres et obligations mentionnaient dans les rapports venant des hautes sphères de l’État . Ils apparurent sans témoins au tribunal international ! Les dirigeants de ce monde menaient un combat pour la renonciation et le déclin de ces peuples en proie au soulèvement national, voire international, par factions et groupes d’individus qui vivaient tant bien que mal dans la discrétion et l’ombre des noirceurs d’esprit. Connaissez -vous la vérité ? Non , bien sûr !
Voilà, un passage par la case informations secrètes.
Ceci vous fait tourner de l’œil, mais n’ayez crainte, bien des écrits et documents portent un visage maintenant.
Les services secrets en connaissaient beaucoup plus sur les régimes russes et allemands, ainsi que dans d’autres pays pour ne citer que le moins connu (la France), sous-régime des armées et des peuples souverainistes. L’état d’urgence appelle à la guerre froide, et à la victimisation par l’individu.
Nous n’en sommes plus au versement d’une rançon, mais plutôt dans le simulacre ! Ce didactyle ne fût que le songe d’un dicteur ! Les versions n’en étaient pas moins claires.
La principale cause, la politique internationale !
Naguère, nous aurions été dans un collimateur bien plus incertain que maintenant. Les preuves accablent des ministres en place. Certes, je n’évoque et ne prononce aucune sentence à leur encontre ! Les rudimentaires affaires de mœurs dans les classes politiques et polytechniques.
Nous y sommes sur le chemin de la lumière vive.
Revendications d’extrême urgence, les appendices électorales ! Brillamment, depuis des lustres.
Et des décennies, nous activons une bombe à retardement, celle qui pulvérisera l’échiquier politique, comme un fait, ce préambule de Clergé n’exhorte aucunement à la peur.
C’est la République qui noya le nombrilisme de chaque parti et faction en action, les mouvements radicaux se sont fait prendre la main dans le sac.
À droite, comme à Gauche, eux qui d’antan n’avaient jamais été exclus de la course à l’Élysée, et aux principales administrations d’État.
Lorsque durant la campagne qui battait et ratissait les couches de la population française et d’outre-mer, le mandat était joué, il gagnait des points et des voix pour son alchimie vers les portes du pouvoir, après ce jalonnement avec un certain François Hollande, 2012 à 2017, fini.
L’état d’esprit qui flânait au-dessus de leur tête ne représentait pas le mal-être de la société ou des sociétés !
Pourquoi , tout simplement elle était en moins dans l’agenda présidentiel, et ne portait pas non plus les voix et bulletins de vote !
En fait, le noyau dur, c’est le parti du Président, sous forme de jeunesse resplendissante !
La convoitise du pouvoir, et l’apparat du parfait menteur, ou la désinformation cacophonique du principal intéressé, le moins que rien, et parfois le plus que parfait, où règne la division, et l’informalité mensongère, la manipulation, et les discours trompeurs, voire la compromission (conspiration) du gouvernement.
La fracture sociale est toujours ouverte, et les classes sociales se définissant comme touchées de plein fouet par cette surenchère ! Le produit de notre société s’entremêle les pinceaux avec pondération.
Malgré tout, nous puisons déjà dans notre réservoir, les empaffés s’exclament toujours libres de penser ce qu’ils veulent, sans faire de tort à personne, les résistances publiques narguent le pouvoir et sclérosent la nation !
Maintes fois écrié, le subterfuge n’a plus lieu d’être, il est trop absent des contingents d’hommes et de femmes qui tirent sur toute forme de satisfaction gouvernementale.
À savoir, par exemple, l’abrogation de la taxe d’habitation et les économies d’énergie comme le chèque énergie pour les foyers modestes ou pauvres !
Les ristournes sur les taxes locales et les taxes foncières et les fonds de pension !
Les assurances avec garanties hospitalières et en cas de décès aussi ce qu’on appelle le capital-décès !
Ce qui se faufile prudemment vers le futur comme aux États-Unis, c’est le revenu universel !
Les maigres recettes des travailleurs sociaux nous font penser à une évolution de notre société, celle qui est partisane du moindre effort !
Ce qui nous écartèle, c’est la mondialisation des têtes pensantes et des cerveaux diplômés d’État, qui viennent alimenter les entreprises privatisées par l’État, les ingénieurs, les médecins, les journalistes, les traducteurs et tout décline à l’avers du monde !
Pourquoi ? Tout simplement et sûrement que les principales factions gouvernementales ne sont plus à même de créer de l’emploi dans notre pays, et donc partent et s’expatrient le temps d’une vie ou de quelques années, le sacrifice parfois familial et la contagion des langues courantes, comme l’allemand et l’anglais, plus d’autres nécessaires au maintien des emplois clés.
La raison n’était pas encore liée à la politique, mais plutôt à la diversité des propositions d’embauche, ainsi naquît la couche internationale des travailleurs expatriés !

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