Le Patriote insoumis
246 pages
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Le Patriote insoumis , livre ebook

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Description

Paul Santoni réside aux îles Fidji et mène une vie harmonieuse entre sa femme Olivia et sa fille Louise. Après l’attentat de Nice pendant la fête du 14 juillet, il revient en France à Marseille. Après la vague d’attentats, il comprend que le monde est à nouveau en guerre. Par patriotisme, Paul rejoint « L’échelon international », une organisation composée de soldats d’élite, qu’il avait quittée pour se marier. Ne pouvant rester insensible aux déséquilibres mondiaux, il décide de reprendre du service.


Nous le suivons donc pendant ses missions à travers le monde : en France bien sûr, mais aussi à Sydney, à New York, en Afrique du Sud, au Canada, en Corée ou en Russie. Il est prêt à tout pour aider sa patrie, même à avoir des morts sur la conscience. Entre deux missions, c’est toujours avec bonheur qu’il retrouve sa famille, indispensable à son équilibre.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 13 juillet 2017
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414081158
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0105€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-08113-4

© Edilivre, 2017
Prelude – Dérivée de l’opus original, « l’Elite corse » – Volume 2
Suite a leur mariage, et residence aux iles Fidji, dix huit mois passerent a ‘Savu Savu’, sur l’ile de Vanua Levu, Pacifique Sud, dans une harmonie la plus totale.
Durant cette periode, Olivia et Paul Santoni, eurent la joie d’avoir une jolie petite fille nommée Louise. Vous ne pouvez-pas vous imaginer l’intense et incroyable bonheur que ce petit bébé leur apporta. Ils étaient comblés d’amour, et vivaient paisiblement, dans ce paradis terrestre du bout du monde.
Chapitre 1 Savu Savu – Les Iles Fidji – Paradis Terrestre du Pacifique Sud
C’était un matin tropical, fleurie, de parfums aphrodisiaques, de fragrance chaudes et epiceés, comme le café et le thé des iles, le Bois de Santal, le Tiaré, et la Vanille sauvage.
Paul dit a Olivia, je vais descendre sur la plage prendre un petit bain matinal, pour me revifier apres cette exellente sortie d’hier soir.
Paul et Olivia avaient êtes invités par des amis a une soirée pour celebrer le quatorze Juillet. Due au decalage horaire, d’une dizaine d’heures, c’était maintenant le quinze Juillet, et huit-heures et demi du matin.
– Je serais de retour dans une vingtaines de minutes.
– Paul et Olivia, ont la plage juste en dessous de leur maison, car leur propriété surplombe la grande ‘Baie de Savu Savu’, sur l’ile de Vanua Levu.
– Ok, repondit Olivia, a plutard mon cheri, n’oublie pas que nous sommes invités a prendre le petit dejeuné vers les neuf-heures, chez nos voisins Mme et Mr Smith.
Apres s’être baigné et rafraichi, Paul remonta le sentier de la plage, donnant sur leur maison. Olivia était la, accolée, contre la balustrade de la veranda, silencieuse, figée, toute refroidie, comme dans une sorte de stupeur paralysante.
– Paul, la voyant dans cet etat, lui dit, qu’est-ce que tu as mon amour, est-ce que tu es malade ? Tu as l’air si vivide, comme si tu avais vu un revenant.
– Paul, dit-elle d’une voix grave, je viens de recevoir une mauvaise nouvelle.
Lorsque tu prenais ton bain, Ben, mon ancien patron du Mossad, a téléphoné et m’a fait savoir une chose terrible. Que je ne sais comment te le dire.
– Mais dis moi, ne me fait pas attendre, je veux savoir.
– Oui, je comprends, Paul, mais cette nouvelle, va te faire beaucoup de peine et je ne veux pas que tu sois contrarié, car je t’aime, et cela me concerne aussi, car j’aime ton pays comme si c’était le mien.
– Qu’est-ce qui est arrivé, dis moi ? Ton pays a subit une attaque terroriste d’une tres grande envergure. Ou ça, dit-il ?
– A Nice, après le feu d’artifice du quatorze Juillet, votre fete nationale. Un Tunisien, âgé de trente et un an, a foncé sur la foule a toute vitesse en roulant avec un camion de dix-neuf tonnes, fauchant et tuant quatre-vingt-cinq personnes, hommes femmes et enfants, sans compter des dizaines de blessésgraves.
Paul, ne savait plus quoi dire, il était la, stupefait, triste, et a la fois egard.
– Olivia s’approcha de Paul et l’embrassa tendrement, tout en lui disant, qu’elle aussi était tres touchée par cette horrible nouvelle.
– Ce n’est pas possible, non, ce n’est pas possible, dit-il ! Paul serra Olivia, de toutes ses forces et pleura sur ses epaules.
– Mon pauvre Paul, mon cheri, je suis avec toi, je partage avec toi ton immense chagrin, car je suis moi aussi tres attristée.
Qu’est-ce que l’on peut faire, dit-il ! Je ne comprends pas pourquoi, ‘l’Echelon’, (son ex-organisation), ne m’a pas contacté.
– D’apres Ben, ils ont preferés que tu le saches indirectement, car ils ne pouvaient pas te l’annoncer directement, sachant que tu es maintenant retiré et en-dehors du theatre d’activités sur le terrain.
– Tous tes anciens colleagues sont très attristés, et ne savaient pas comment te l’apprendre et ont contactés mon ancien patron, pour qu’il me le dise.
– Je comprends dit Paul, c’est tres douloureux, et recommenca a sangloter.
– Olivia, l’embrassa, de tout son cœur, et dit. Si tu veux aller faire un tour en France, tu peux, car je sais ce que tu resents et je connais tes convictions a l’egard de ton pays. Je le ferais moi aussi, si c’était arrivé a mon pays. Entre temps, dans l’attente, je m’occuperais de Louise et de notre maison.
– Merci, dit Paul, oui, c’est ce que je dois faire, car c’est mon pays, ma patrie, mes compatriotes. Deplus, je sais que je peux compter sur toi Olivia, car tu es ma femme et mon soutien. Tu es la meilleure femme au monde, et je suis heureux de t’avoir a mes côtés. Merci mon cheri, c’est tres gentil de ta part, dit-elle.
Le lendemain matin, Olivia accompagna Paul, au petit aeroport de ‘Savu Savu’, pour son depart sur la France.
– Elle l’embrassa bien fort et lui dit, Ne t’en fait pas pour moi, je sais ce que j’ai a faire, deplus Louise me tiendra compagnie, donc fait un bon voyage et a bientot.
– Paul l’embrassa tendrement, tout en lui disant qu’il l’aimait de tout son cœur, ainsi que Louise, et monta tristement dans l’avion.
Chapitre 2 Marseille – Provence – Ville de la Bonne Mere
De retour a Marseille, apres un voyage de longue durée, Paul alla directement a son appartement au Square Protis, au quartier du Panier. Bien que fatigué par ce long vol, et decalage horaire, Paul ne pouvait pas se reposer, tant il était si triste. Il se fit un bon café noir, et telephona a son ancien patron Bernard.
– Allô Bernard, c’est moi Paul.
– Ah, mon pauvre Paul, si tu savais, nous aussi nous sommes tristes. Je ne t’ai pas appelé, car je ne voulais point te deranger, te sachant retiré et vivant un autre mode de vie, beaucoup plus paisible que le notre, je n’avais pas le courage, ni la force de te le dire. J’espere que tu comprends.
– Oui, je suis avec toi et sur la même longueur d’ondes, donc ne t’en fais pas. Ce que je voudrais, c’est de te revoir et te parler.
– Pas de problemes, tu es chez toi maintenant, dit Bernard ?
– Oui, je prends une douche et je suis a toi. Alors, je te dis dans une heure, ça te va.
– Ok, c’est bon, donc a plus, dit Paul.
Une heure apres, Bernard et Paul, s’embrasserent dans une etreinte d’amitié, comme deux guerriers au retour d’un front de bataille.
– Ça me fais vraiment plaisir de te revoir Bernard, dit Paul.
– Moi aussi mon cher ami, dit-il.
Qu’est-ce qui ce passe en ce moment, c’est de la folie, je n’en crois pas mes yeux, dit Paul.
– Oui, tu as parfaitement raison, nous vivons dans un monde a l’envers, dit Bernard.
– Qu’allez-vous faire pour remedier a ce probleme ? Pour le moment, nous ne savons pas ou taper de la tete. « L’Echelon International » est entré dans sa plus grande crise depuis sa fondation, dit Bernard.
Nous avons echafaudés un projet systematique d’eradication. C’est a dire que nous allons envoyer des equipes specialiseés dans toute l’Europe, et un peu partout dans le monde, surtout sur les points chauds, comme le Moyen-Orient, et aussi en Afrique. Nos equipes ont été formeés et entraineés specialement et precisement, pour ces missions de liquidations rapides.
En fait, ce sont des ‘Commandos Noirs, des Ninjas’ de notre temps, adaptés a cette guerre de l’ombre, de vrais specialistes, des professionnels sans etiquettes, etant autonomes et self-decideurs, avec a l’appui carte blanche de l’Europe, pret a tout, et a tout faire sur le terrain.
Des guerriers, fer de lance, sans frontières, auto-gerés par eux-memes, dans une guerre ouverte, vaste sans limite et indefinie.
Je vais te dire reelement ou nous en sommes ici chez-nous dans notre pays. Nous craignons et pensons que des groupuscules terroristes djihadistes ce sont deja infiltrés sur notre territoire en arrivant comme pseudos-refugiés.
Cela doit-être la même chose dans nos pays voisins d’Europe. Ils sont ici pour essayer de destabiliser notre economie, nos interets, la securité, la stabilité, la paix et notre moral en attaquant des cibles faciles, comme nos terrasses de Restaurants, de Cafés, nos Cinemas, nos lieux de Concerts, nos Musés, nos stades, et tous nos lieux publics et de rendez-vous, la ou nos concitoyens ont l’habitude de se se relaxer, de manger, de boire, de faire la fete, et de discuter-entre amis et entre-familles.
Nous savons aussi que ces groupes peuvent être aidés’ sur notre sol par des cellules internes radicalisées, ayant du materiel a leur disposition comme des grenades artisanales faites avec des boules de petanques bourrées d’explosifs.
Ces boules peuvent projeter des eclats de metals jusqu’a deux cent metres et peuvent tuer sur un rayon de cinquante metres.
Si ce n’etait que ça, ils ont peut-être, mais nous ne sommes pas sur, des grenades de type futuristique qui peuvent disperser des gaz toxiques et chimiques, ainsi qu’a base de neurotoxines.
Certaines de ces grenades ont la forme de ‘Freesby’, qui peuvent faire des degats sur plus de vingt metres. Elles se lancent comme des ‘Freesby’, ayant leur contour caoutchoutées, qui les permettent de rebondir d’une table d’un restaurant a l’autre.
Ce n’est pas tout, ils peuvent avoir des drones chargés d’explosifs, jusqu’a pres de deux kg ou trois kg, ou même quelques centilitres de nitroglycerine qui peuvent en explosant, ravager un grand espace, et tuer une centaine de personnes.
Sans compter le reste comme des bombes faites avec des cocottes minutes bourrées de roulement a billes et de clous, comme celles de « Boston et de New York ».
– Tu te rends compte que nous nous trouvons en face de difficultés sans limites, nous ne savons pas ou taper de la tete. Nous devons être sans cesse et sans arret de l’avant sur ces chiens de l’enfer.
– Ils ont aussi a leur disposition un arsenal dangereux comme les Kalashnikov

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