Sous l'emprise de mon père , livre ebook

Ernestine Mbakou - HEYITAN Eunice

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316 pages

Français

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Extrait

Description

Depuis son enfance, Kendra a toujours apprécié la protection inconditionnelle de son père. C'était sa façon de montrer son amour à sa fille. Être sa préférée n'avait jamais posé de problème à Kendra, jusqu'à ce qu'elle atteigne l'âge adulte. Elle a ressenti le besoin de prendre son envol et de trouver sa propre liberté. Malheureusement, elle s'est retrouvée emprisonnée dans un labyrinthe dont seul son père détenait la clé. Pourra-t-elle sortir de cette prison dans laquelle elle se trouve ?

Sujets

amour

Obsession

Vengeance

Trahison

Mensonge

Informations

Publié par	Ernestine Mbakou
Date de parution	01 mars 2024
Nombre de lectures	198
Langue	Français
Poids de l'ouvrage	1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0500€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Eunice HEYITAN SOUS L’EMPRISE DE MON PERE

Roman

AMEN EDITION

Titre de l’édition originaleSous l’emprise de mon père.Nouvelle édition. Produite au Bénin, Mars 2024. Distribuée dans tout le monde, à travers les sites internet et Facebook par l’Association MEN.https://www.youscribe.com/association-men/Couverture: MEN Creative. ISBN : Copyright © 2024, by Association MEN. Tous droits réservés.

Merci à vous ces lecteurs, fans, abonnés qui me témoignez votre soutien chaquejour. Mercipour tout ceque vous m’avez apporté. Vous êtes formidables.

Kendra Wilkinson Originaire du Bénin, j'ai grandi près de mon père et sa femme jusqu'à l'âge pubère. Après l'obtention de mon baccalau-réat, je voyage aux États-Unis pour mes études universitaires. Huit longues années après, je suis sur le départ pour mon pays. La distance n'a jamais empêché mon père d'avoir un œil sur moi. À un faux pas, je reçois toujours son appel et j'en prends l'habi-tude. Il est plus qu'un père. C'est le meilleur père qu'on l'on pourrait rêver d'avoir. Il est parfois possessif mais il m'aime et je le sais. C'est un grand entrepreneur à Porto-Novo. La capitale économique et politique du Bénin. C'est l'un des meilleurs ex-portateurs de graviers. C'est un homme redouté et respecté au Bénin et dans la ville de Porto-Novo. Malgré mes vingt-quatre piges, mon père me traite tou-jours comme la petite fille qu'il avait dans ses bras le jour de ma naissance. Il a planifié ma vie sans que jen’aieun mot à dire. À mon âge, j'ai toujours peur de me montrer avec un homme pour ne pas être confronté à sa colère.

J'essaie de le cerner par moment. Je pense que c'est sa manière de montrer à ma mère qu'il prend bien soin de moi. En parlant d'elle, je ne l'ai jamais connu. Juste quelques photos que mon père m'avait montrées. Je peux dire que je suis son portrait. Elle est morte quelques minutes après ma naissance et mon père a été ma seule famille avant qu'il n'épouse sa femme qui lui a donné trois filles. Malgré qu'il ait une autre famille, son amour à mon égard n'a jamais changé. On pourrait dire qu'il m'aime plus que ses autres enfants. Je viens de descendre à l'aéroport international cardinal Bernar-din GANTIN de Cotonou. Une vague de chaleur m'accueille à ma descente de l'avion. Mon pays m'a énormément manqué. Après mon départ pour les États-Unis, je viens enfin de fouler les pieds sur le territoire béninois. Après tout un long pro-tocole j'ai pu enfin sortir rejoindre mon père quim’attendait.Je vais me jeter dans ses bras. Il m'a tellement manqué mon père. Papa : La fille préférée de son papa. Tu as vraiment grandi ma princesse. Je t'ai à peine reconnu me taquine-t-il.

Moi : Tu exagères père. Je n'ai absolument pas changé. J'enlève le gros pull que je tiens dans les bras. Il prend mes valises pour la voiture. Je le suis en observant l'entourage. Les choses ont complètement changé. Après deux heures de cir-culation causée par les embouteillages, on a pu atteindre la mai-son. Elle à été refaite. Elle est encore plus belle que celle de mon enfance. Il a tout donné pour cette maison. Après avoir immobi-lisé la voiture, le gardien fait sortir mes valises. Accroché au bras de mon père, on se dirige vers le salon lorsque sa femme et ses filles nous rejoignent. Elles ont vraiment grandi et leur mère n'a pas du tout changé. Elle est encore plus belle malgré toutes ses années. Mes sœurs étaient encore petites lorsque j'ai quitté le pays. Elles sont aussi grandes que moi main-tenant. Moi : Tu n'as pas vieilli Marianne. Tu es très resplendis-

sante. Marianne : Je te retourne le compliment. Elle me sourit.