Le Sauvetage de l'Olympe , livre ebook

Edilivre - J P B

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78 pages

Français

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Extrait

Description

XXe siècle. Les dieux de l'Olympe meurent, oubliés de tous. Seule une symbiose avec Internet pourra les sauver. Forts de cette découverte, deux geeks et un puissant alchimiste décident de secourir les divinités du Panthéon afin de leur assurer la victoire contre les forces du Mal.

Sujets

Nouvelles de genre

Romans de genre

Aventure

Informations

Publié par	Edilivre
Date de parution	26 mars 2014
Nombre de lectures	0
EAN13	9782332705020
Langue	Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright

Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-70500-6

© Edilivre, 2014
Le Sauvetage de l'Olympe

Quelque part dans un univers parallèle, une montagne flottait sur les nuages.
Elle aurait pu être magnifique, mais tout était gris et terne, la lumière ambiante ressemblais au crépuscule, au loin on distinguais quelques formes se déplaçant entre les temples d’un autre âge.
A l’intérieur du plus grand se trouvait un vieil homme assis sur un trône, se tenant la tête avec les mains.
Une personne se présenta devant lui :
– Oh Zeus, je demande une audience !
Zeus releva la tête et regarda Hermès qui se tenait devant lui comme au garde à vous, droit comme un I.
– Je suis débordé, repasse plus tard !
– Nous ne sommes plus débordé depuis très longtemps, j’ai besoin de ton accord pour faire construire une machine a Héphaïstos qui me permettra d’observer les hommes sur terre.
– Tu n’a qu’à consulter les Moires, elle voient tout, connaissent le passé et l’avenir.
– L’avenir est trouble et pour le passé, elles parlent par énigmes, ce qui n’ai pas mieux. Il me faut plus car le temps nous est compté, la lumière de l’Olympe baisse de plus en plus.
– Je sais tout cela, c’est notre fin qui approche.
– Nous n’avons pas exploré toutes les possibilités, c’est dans ce but que j’ai besoin d’Héphaïstos !
– Accordé, fais ce qui te plais.
De retour avec le dieu boiteux il contempla ce qu’il lui avait préparé.
Hermès contemplait un grand cadre noir avec des images qui se déplaçait à l’intérieur, il leva la main pour faire changer les images mais rien ne se passa, claqua des doigts, pas plus de succès. Derrière lui, un rire retentit :
– Tu voulais la science des hommes, fait comme eux, prend la petite boite noire et appuis sur un bouton.
Il trouva l’objet devant l’écran et pressa sur le clavier, les scènes défilaient devant ses yeux : des personnes chantaient, d’autre discutait, des athlètes couraient après une chose étrange qui rebondissait dès qu’il la frappait soit au pied ou à la mains ou encore avec divers bâtons et enfin les plus terrible de toute, des machines tueuses qui déciment soldat et populations.
Après des essais il finis par choisir un orateur qui racontait les événements d’une journée terrestre…
Le commentateur expliquait qu’il y avait eu un vol dans un dépôt d’argent, évidement si les mortel place leurs drachmes tous dans le même lieu c’est plus facile pour les voleurs, et donc un passant dans la rue avait voulu protéger une jeune femme avec un enfant croyant que les bandits allaient les tuer avec leurs armes a projectiles pour pouvoir s’enfuir, or la mort ne fut pas au rendez-vous il se retrouva tout jaune de la tête au pied, les armes ne lançaient que de la peinture.
– C’est lui notre prochain Héros. S’exclama Hermès.
– Qui, ce canard tout jaune ? Prend plutôt un soldat, un combattant, ! critiquas Héphaïstos.
– Des guerriers, on en a eu plein, et regarde ou nous en sommes, lui il est différent, courageux et d’après l’orateur il travaille avec une entité nommé web, qui va nous être utile, localise le.
Franck poussa la porte du bar car il avait envie d’un café.
Il s’assit a une petite table et parcourra la salle du regard.
Au comptoir, les classiques amateurs de bière, au milieu un couple qui bavardait et dans le fond près du billard, une femme, brune, habillé en noir avec des talons aiguille. Elle avait les cheveux très court avec lunettes noire et bien qu’elle était assise, elle devait être très grande et sportive. Elle avait une allure étrange pour ce petit bistrot de quartier, mais après tout, sûrement une une adepte du gotique.
Le téléphone derrière le bar sonna et le patron décrocha :
– Et Franck c’est pour toi, un monsieur Hermès te demande.
– Raccroche. je je le connais pas et puis j ai mon portable si c’était important.
A ce moment la brune était derrière lui et lui empoigna l’épaule :
– vous devriez prendre cet appel.
– aiiiille vous me faites mal !
Le patron du bar dit :
– Et les tourtereaux doucement.
Sans se retourner la brune lui répondit d’aller se faire voir !
Il sortit de derrière son bar et arriva en trombe à coté de Franck et la miss impolie.
Alors elle enleva ses lunettes et deux yeux rouge flamboyant apparurent, le bloquant nette dans une attitude béate comme hypnotiser, elle en profita pour lui planter son talon aiguille dans sa basket avec un craquement d’os.
Franck se leva d’un bond car elle l’avait relâché sa prise et il put s’enfuir par la porte. Arrivé dans la rue il courue 20 mètre et se mit a marché et se dit qu’avec ses talon aiguille elle ne pourrait pas le poursuive, il se retourna et elle était en train de le rattraper en faisant des enjambées immense. Franck eu juste le temps de sauter dans un bus qui redémarrait, il composta son ticket et regardait par la vitre arrière du bus et ne va vit plus, il soupira et repensa au patron du bar qu’il avait laissé planté la bas pour fuir… Ses pensées furent interrompu par ouverture des portes devant l’arrêt de bus, elle était là : ni essoufflé ni en colère juste la a attendre. Franck descendit à court d’idée, le bus repartit ils étaient seul sur le trottoir : le téléphone de la cabine public a côté de l’arrêt de bus sonna, elle enleva ses lunettes faisant apparaître ses yeux rouge et dit :
– vous devriez décrocher Hermès veut vous parler….
Franck décrocha le téléphone et écouta :
– salutation je suis le dieu Hermès messager des dieu de l’olympe, gardien de la médecine et j’ai besoin de vous.
Franck regarda les yeux rouge qui le fixait, respira un grand bol d’air et dit :
– Pour toi et ta dingue de copine je te conseille un psi et un bon ophtalmo.
Il lâcha le combiné et partie en courant mais c’était raté elle était déjà derrière lui, le prit par la nuque et le lança pardessus la haie de séparation d’un petit parc et atterrit dans une fontaine. Elle le leva par le cou d’une seule main jusqu’à que ses pieds ne touche plus l’eau, fi un pas pour s écarté du rebord mouillé et dit :
– Je suis cerbère gardien des enfers de Hadès en mission pour aider Hermès et craint ma puissance.
Franck toujours suspendu, senti l’air devenir plus chaud il vit les deux yeux à travers les lunettes de soleil devenir rouge flamboyant et se dit que finir brûler au milieu d’un parc par un démon de l’enfer ou asphyxier par cette main surhumaine qui le tien c’est vraiment nul comme cette journée, et puis il ou elle le posa a terre et la température redevint normal et il était complètement sec comme si on l’avait passer au sèche-linge mais sans le secouer.
– Supposons que vous êtes le chien a trois tête et que vous travaillez pour le dieu Hermès, pourquoi ne vient-il pas en personne me parler ?
– Il lui est interdit de venir sur terre, il ne peut qu’envoyer des message sous une forme ou une autre, regarde…
Franck regarda dans la direction qu’elle (ou il ) lui désigna et ne vit rien de divin et puis d’un coup remarqua que le panneau publicitaire venait de se transformer en “just do it en Hermès” et plus loin « manger le nouveau mac Hermès » et sur la vitrine d’une boulangerie « baguette hermès ultra légère » et le portable de Franck se mit à sonner et sur l’écran afficha HERMES.
– heu….. allô ?
– Salutation insaisissable et rapide Franck, comment allez-vous ?
– Heu….. bien.
– Je me réjouis de pouvoir enfin vous parler, si j’avais su que votre boite a discourt vous appartenais je l’aurai fait quémandé plutôt mais grâce a cet infatigable cerbère nous voilà prêt à une quête digne d Eraklès.
– Ma boite a discourt c’est un téléphone et qui vous a parlé de moi ?
– Je vous ai vu sur le tableau qui bouge tout seul et qui montre le monde.
– Hein vous regarder la télé ? Ah oui vous m’avez vue hier au journal tv du soir.
– Oui que de message qui circule dans ce monde, mais l essentielle reste les compétions de champion et du théâtre jour et nuit votre monde n’a pas évoluer sur ce plan.
– Question de point de vu, mais que me voulez-vous ?
– j’ai vu que vous travaillez dans un temple qui communique avec cette entité que vous appelez Internet.
– Je travaille dans une entreprise qui héberge des sites sur internet et si vous regardez déjà la tv le web est aussi a votre porté vous n’avez pas besoin de moi.
– L’olympe est en train de s’éteindre et j’ai besoin de crée une entité de recherche comparable a votre dieu Voogle !
– Le moteur de recherche Voogle n’est pas un dieu c’est un site qui stocke et cherche des informations…
– C’est l’équivalent d’un dieu, il est partout et nulle part, il voit tout, sait tout, éternelle et la population croit en lui pour donner des réponses.
– Bon laissons de côté théologique de Voogle...