Le pianocktail suivi de Histoires de chats , livre ebook

Edilivre - Myriam Esser-Simons

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56 pages

Français

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Description

Cet ouvrage comprend deux nouvelles liées l’une à l’autre. Le pianocktail se rapporte à un piano original, inventé par Maurice Lechantre, en référence à celui imaginé par Boris Vian dans L’écume des jours. C’était au sortir de la guerre et le pianocktail de Maurice ne produisait que des boissons frugales, s’accordant parfaitement avec les fugues de Jean-Sébastien Bach, qu’il interprétait sur son clavier.

Par la suite, le pianocktail fut placé dans la « Salle humide » d’une loge maçonnique, où il pouvait être utilisé comme instrument de musique lors des agapes.

Cette pièce, destinée à la bonne chère, deviendrait un piano-bar. On y jouerait des concertos de Mozart, musicien et franc-maçon.

Histoires de chats clôt ce livre empreint de magie et de surnaturel.

Sujets

Actualité

Fiction

Littérature

Informations

Publié par	Edilivre
Date de parution	01 octobre 2020
Nombre de lectures	0
EAN13	9782414490769
Langue	Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

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Couverture
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Cet ouvrage a été composér Edilivre
194, avenue du Président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-49115-5

© Edilivre, 2020
Des mêmes auteur et coauteur
Aux éditions Edilivre
« Balade Culinaire à travers les siècles illustrée de nombreuses recettes, Depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours » (en sept tomes et seize volumes) :
Tome I Quelques notions générales ; les sauces ; les potages ; les hors-d’œuvre
Tome II (première partie) Les entrées
Tome II (deuxième partie) Les entrées (suite)
Tome II (troisième partie) Les œufs
Tome III (première partie) Les poissons d’eau douce
Tome III (deuxième partie) Les poissons de mer
Tome III (troisième partie) Les crustacés et les coquillages
Tome IV (première partie) Les viandes de boucherie
Tome IV (seconde partie) Les pâtés, les volailles et les gibiers
Tome V (première partie) Les légumes ou aliments assimilés
Tome V (deuxième partie) Les légumes ou aliments assimilés (suite)
Tome V (troisième partie) Les salades
Tome VI (première partie) Le riz et les pâtes alimentaires
Tome VI (deuxième partie) Les entremets sucrés et les desserts
Tome VI (troisième partie) L’accompagnement du five o’clock tea ; les liqueurs et autres boissons d’après repas
Tome VII Les confitures ; les conserves ; menus légers et menus de fête ; conclusion ; références bibliographiques et sources informatiques
Avant-propos
J’ai écrit la première partie de ce livre, intitulée « Le pianocktail », en référence à l’instrument qu’avait imaginé Boris Vian, dans son ouvrage « L’écume des jours ».
En cette année 2020, partout en France, on devait commémorer le centenaire de la naissance de cet écrivain de génie. Mais le confinement forcé, dû au virus covid-19, n’était pas vraiment propice à de telles festivités.
Ce livre est en partie autobiographique.
J’ai, en effet, vécu dans un milieu d’artistes.
Mon père, Fernand Esser, alias Fernand Schirren, était musicien et compositeur.
En outre, il était professeur de rythme à Mudra, école créée par Maurice Béjart, et fut l’auteur de l’ouvrage « Le rythme primordial et souverain ».
Il aurait eu 100 ans en 2020, lui aussi.
Il était lui-même le fils du peintre fauve Ferdinand Schirren.
Quant à ma mère, Jeannine Cornez, elle était peintre et sculpteur.
La seconde partie du livre, elle, consacrée aux chats, est la création de mon époux, Joël Simons.
Bien que passionné par le monde gréco-romain, il est aussi féru de la gent féline.
Myriam Esser-Simons

Aquarelle de Jeannine Cornez représentant Fernand Schirren au piano
Première partie Le pianocktail
Enfance et adolescence de Jeannine
Jeannine avait trois ans et demi, quand elle entendait sortir du piano-bar les amis de ses parents.
Maurice Lechantre, son père, les accueillait dans son salon, qu’il qualifiait par métonymie de « piano-bar », puisqu’un piano trônait dans la pièce et qu’il y jouait des partitions classiques bien plus profondes, selon lui, que la frivolité des airs de jazz ou d’autres musiques d’ambiance.
Il avait inventé cet instrument original, qu’il appelait « pianocktail », en référence à celui qu’avait imaginé Boris Vian dans « L’écume des jours ».
Cependant, vu la grande pauvreté qui régnait encore, dans la famille Lechantre, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, le « pianocktail » de Maurice ne pouvait produire ni alcools ni liqueurs ni autres douceurs mais de l’eau et des tisanes ou, les jours de fête, de la grenadine et différentes sortes de thés.
Les fugues de Jean-Sébastien Bach, qu’interprétait Maurice, s’accordaient parfaitement avec ces boissons frugales.
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