L’Harmonieuse Symphonie des destins croisés - Tome I
390 pages
Français

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L’Harmonieuse Symphonie des destins croisés - Tome I , livre ebook

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Description

Il a suffi d’une simple étincelle pour allumer le train du destin traînant dans ses wagons, beaucoup d’autres destins. C’est ainsi que la naissance d’Imani et de Mashida a enclenché une chaîne d’autres naissances, fait fusionner d’autres destins et fait émerger d’autres miracles. Au début, ils se croyaient frère et sœur. Puis, un pur hasard est survenu : le père de Mashida leur a dévoilé qu’ils n’avaient aucun lien de consanguinité et qu’ils pouvaient se marier si tel était leur souhait. Dès sa naissance, Mashida a vécu à ses côtés comme une sœur dans leurs deux familles. Sous les applaudissements de son père, se fiancer avec lui pour devenir sa première femme, quoi de plus beau pour cette jeune femme !

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 16 décembre 2019
Nombre de lectures 1
EAN13 9782414346332
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0112€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-34634-9

© Edilivre, 2020
Du même auteur

Du même auteur :
Vous avez dû lire ou parcourir, de mon humble plume, les ouvrages suivants qui d’une façon ou d’une autre vous ont plu, vous ont conquis au point de m’inonder de vos félicitations, parfois de vos critiques ou même, manquant de mots appropriés pour certains, du silence :
• Comment gérer les catastrophes au Zaïre (Presse Universitaire, Paris IV) ;
• L’Ode à la Savane ou les Chants des Manguiers, Edilivre ;
• Les Métamorphoses de Fatuma, une Eve Immaculée, Edilivre ;
• La Métempsychose de Kadogo, l’enfant Sacré de la Guerre, Edilivre ;
• De l’Aurore au Crépuscule de l’Aube, Edilivre.
Dédicace
Devant sept milliards d’humains qui habitent cette terre, je sens mon humilité. Celle-ci va s’accroissant crescendo surtout lorsque je vois que seule une petite nuée aura lu ou aura eu connaissance de cet ouvrage “L’Harmonieuse Symphonie des Destins Croisés”. Et le bonheur pour moi est que je dois donc beaucoup à cette petite minorité attachante, car pour moi elle vaut une chandelle. Aussi suis-je obligé de lui dédicacer ce livre qu’elle osera lire avec sérénité habituelle ou tout simplement poser comme un trésor inaliénable dans une rangée intime de sa bibliothèque.
Je le dédicace aussi à ces amis et connaissances parmi lesquels certains se sont régalés de mes livres précédents, même si d’autres se sont limités à un muet encouragement, une critique heureusement constructive ou un seul soupir en jetant tout simplement un bref coup d’œil sur leurs couvertures sans oser lire une page. Beaucoup cependant, et je les remercie, en ont parcouru toutes les pages, m’ont félicité au point qu’ils en demandent encore de ma plume. J’ose donc espérer que ce livre assouvira encore une fois leur plaisir et étanchera leur soif de me lire.
Ma famille non plus ne sera pas oubliée, mais bien thésaurisée dans cette dédicace. Elle est ce que je suis. Elle est la source de mes pensées, de mes tensions. Même si selon l’adage, nul n’est prophète chez lui, je sais que, même si par humilité elle ne peut me prendre pour un prophète ou sans doute un éclairé, elle est fière de moi, je sais qu’elle m’encourage dans toute mes perspectives, mais je sais aussi qu’il y a certains membres de cette famille qui, enlacés de chaque fois féliciter ma plume, s’en sont gênés parce qu’ils n’ont plus rien à trouver comme onomatopée pour manifester leur admiration. Mais ma famille, beaucoup je l’aime. Ma famille beaucoup elle est fière de ma toute petite plume, fière de mes pensées. Le bonheur se partage avec sa famille, sinon ce n’est qu’une illusion.
Préface
Ce livre, quoique simple, se veut grandiose par son contenu et émouvant par la passion qu’il va susciter dans de nombreux cœurs ayant la sensibilité à l’émotion. Pour des raisons bien techniques et indépendantes de ma volonté, je l’ai divisé en deux tomes. Mais son pouvoir à émouvoir n’en est pas divisé pour autant, il sera à mesure de sa longueur et de ses deux volumes, l’un portant le titre de « Entre doute et confiance et l’autre, « Une Odyssée en Pirogue ». J’ai écrit ce livre avec beaucoup de rudesse et, d’autres diraient, beaucoup d’attention méticuleuse. Beaucoup de gens me le reprocheront, je comprends leur réaction. Mais ne vous en faites pas pour cette âpreté, le livre est en soi nourri de pudeur et d’amour, de souffrance et de joie ; vous y découvrirez des scènes fantastiques, parfois des scènes à vous faire verser des larmes ou tout simplement à vous les essuyer de vos yeux, mais quelques fois, hélas, des scènes à vous faire révolter, des scènes qui vous montreront comment l’homme peut glisser d’un extrême à l’autre, dans la méchanceté comme dans l’amour. J’ai évité volontairement de décrire l’attitude et la démarche intérieure qu’emprunte chaque personnage ; aussi ai-je expressément omis d’indiquer pertinemment les ressorts qui déterminent ses actes les plus intimes, ses faiblesses les plus humaines, donc les plus cachés. Parfois, j’ai consciemment évité même de faire penser en longue traînée ces personnages qui, aux yeux du lecteur, paraîtraient naïfs et tout acquis à leurs causes, parfois prêts à accepter la fatalité : voilà, tel est cet homme, voilà ce qu’a fait cette femme ou voilà, leur face cachée est nimbée de pureté ou soupçonnée de mal être. Je me suis empêché de reproduire des caricatures, ne me concentrant seulement que sur la vérité crue. Le reste ne risquerait qu’à vous induire, y compris moi, en erreur ou à vous écarter de la logique attendue, voire des sentiers battus. Une approche aussi stricte, ou mieux aussi superficielle en apparence, en apparence seulement, car en réalité nous dévoile d’emblée le contenu de leur âme, devrait logiquement exclure toute perception profonde et personnelle des tous ces êtres et en eux tout cheminement spirituel aléatoire. En quelque sorte chacun d’eux est régi par son propre destin d’abord, puis par celui des autres. Ce qui permet à chacun d’eux de croiser le Destin de l’un et finalement de fusionner selon le cas avec le Destin de l’autre. Chaque destin tourne d’abord autour de lui-même pour conquérir son bonheur, puis autour de l’autre telle la terre tournant autour du soleil et amenant à faire resplendir le rôle vital de chacune de ces planètes. Ils ne devraient pas avoir de substance préconçue, de substrat téléguidé ou forgé de toute pièce, mais seulement une densité humaine riche et pleine de vérité. Or, et c’est là le mystère, comme ils tendent à fusionner l’un avec l’autre, ils vivent et évoluent tous en complémentarité étonnante avec une intensité et une intégrité merveilleuse, avec leur poids de chair qui parfois souffre, avec les mouvements du cœur qui parfois battent vite et avec les reflets de l’âme qui sûrement diffusent quelquefois la souffrance. Ainsi abordé, perpétuellement chaque personnage, représenté ici par le Yang serait à la recherche de son Ying. C’est pourquoi, je me suis borné à ne reproduire sur eux que des contours simples, repérables de loin, à répéter des paroles conciliantes et à travers cette indulgence spontanée ; ainsi la symbiose, par le miracle des destins conjugués par ce duel Yang-Ying se fait-elle spontanément. Toutes ces créatures ont donc été tirées du néant où elles étaient condamnées dans une solitude accablante couplée parfois à une souffrance morale et physique criante où elles étaient plongées corps et âme avant que le personnage principal ne vînt à elles ou qu’il eût pensé à elles, soudain, une à une, ces créatures, ces créatures purement humaines, se voient exister avec leurs corps, leurs faiblesses et leurs forces de caractère. Chacune sent désormais le souffle et la présence de l’autre. Chacune peut alors tendre la main à l’autre ou se pencher sur l’épaule de l’autre. Le sang le plus réel, les attraits les plus forts les animent.
Tout ce que donc je ne me suis pas soucié de mettre sur la table de la lecture, c’est à vous, les lecteurs de ce livre, de le deviner : vous le repérerez donc, vous l’entendrez, vous en prendrez une certitude intuitive et ainsi vous achèverez parfaitement le travail de cette œuvre que j’ai, malgré son volume, à moitié élaborée, vous en compléterez le canevas et du coup vous en remplirez la trame. En fait très souvent le silence d’un mot, d’une phrase, suivi souvent d’un long soupir nous conduit à combler les vides et le blanc imposés au dessin ou à un écrit, un autre écrit complétant le premier. Je crois donc que le livre, une fois lu, relu peut-être, puis fermé, ces personnages passeront en vous, pas seulement avec leurs visages, leurs rires, leurs pleurs, car des pleurs il y en a eus, leurs gémissements, mais aussi avec leur identité la plus secrète, leur plus abyssale vérité. Vous comprendrez ainsi que certains de personnages ont dû au jour le jour déposer leur bilan de souffrance, de viol répété, leur bilan d’otage ou d’esclave sexuelle au point que désespérés pour ne plus avoir leurs geôliers cruels sur les talons, ils se sont décidés de se barricader derrière le silence, dans la résignation. Ils ont même appris à marcher en renards, en tigresses, en danseurs, en foudre, selon l’opportunité. Parfois même ils se consolaient se disant : vous me gardez en otage, bonne à satisfaire vos ignobles appétences, soit, tant qu’il le faudra je me montrerai docile, je marcherai en rond, au pas, je vous permettrai tout ce que vous voulez faire avec mon corps, mais sachez bien que ce corps souillé n’est plus le mien. Alors ne vous étonnez pas que lorsque vous me touchez je ne sens pas votre main effleurer mon corps, ni vos caresses puantes saisir mon cœur. A la saison sèche prochaine, vous serez forcées de me le rendre propre, on n’empêche pas la saison sèche de revenir changer le cours de la saison de pluies.
Puis cette belle nature qui ne peut parler ! Comment peut-elle nous transmettre ou partager avec nous sa richesse, sa beauté, sa toute-puissance sinon en la caressant de nos yeux ? Comment cette savane natale peut-elle nous dévoiler son âme, sinon en l’embrassant de nos yeux, en reniflant ses arômes suaves, en goûtant quelques-unes de ses richesses pratiquement infinies ? Cette savane sauvage et accueillante à la fois, ce fleuve majestueux qu’est ce Lualaba tant méconnu sont les sujets de plusieurs rêves, les plus humbles, les plus tendres qui secoueront toujours nos cœurs. Le grand vent alizéen, la grande plaine de Lualaba, la grande pluie tropicale, les grandes tristesses devant le rapt, le viol, les tortures circulent autours de tous ces personnages tantôt comme une condamnation, tantôt comme une élévation et sans doute une béatit

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