Fairyland : mission vérité
276 pages
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Fairyland : mission vérité , livre ebook

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Description

1980, il a disparu après avoir mené une vie malfaisante. Disparu ? Vraiment ? Alors, pourquoi cette fumée noire est-elle sortie de son corps ? A-t-il payé pour ses crimes ?

2010, Élisabeth se pose des questions. C’est quoi encore que ces bruits ? Et pourquoi sa fille est-elle bizarre, parfois ?

Elle finit par aller trouver François, un docteur avec qui elle travaille, et lui demande conseil.

Ce qu'elle ne sait pas encore, c'est que cette simple rencontre va la transporter dans un monde dont elle n'a encore aucune connaissance, mais dont elle fait partie depuis sa naissance.

Que va-t-elle décider ? Accepter son destin et la vérité, ou suivre simplement la voie qu'elle croyait dressée pour elle ?...

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 21 avril 2017
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414043590
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0075€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-04357-6

© Edilivre, 2017
Préface
Il était une fois…
Vous connaissez tous cette expression qui commence toute histoire imaginaire.
Ici vous n’aurez pas ce genre de début d’histoire mais vous en aurez, j’espère, pour votre imagination tout au long du livre.
Les fées et les mages ont toujours existé, dans nos rêves, notre imagination, nos vies en général.
Ces forces qui sont autour de nous, on ne les nomme pas toujours fées ou mages mais par d’autres noms, chacun selon ses croyances, sa vie, son vécu. Mais la magie existe, si si !!
Ne vous est-il jamais arrivé de vous dire : « mince, j’ai bien failli tomber » alors que vous vous rattrapiez à la dernière seconde, comme par chance ou encore « quelle veine ! Si je m’attendais… C’est mon vœu le plus cher qui se réalise ».
Ces dons, ces chances, ces protections, que vous vivez quotidiennement, ne viennent pas toutes seules. Elles sont le résultat d’une demande et d’une réponse, même inconscientes.
Nos incroyances et les œillères que nous nous sommes mises ne nous protègent, en fait, que des choses que nous ne voulons pas voir mais pas des dangers réels.
Croyez à la magie et aux personnages féeriques car eux croient en vous et vous protègent.
Notre scepticisme les fait s’éteindre et disparaître. Alors qu’attendez-vous pour les faire vivre ?
Ouvrez ce livre et faites-les exister !
Bon voyage au pays féerique !
Dédicace

A mes enfants,
faites que la magie et le rêve fassent toujours partie de votre vie
1980
Chapitre 1 Marie
Il était un peu plus de 15 heures lorsque Marie pénétra dans le grand bâtiment gris qui surplombait la ville.
La société la plus en vogue du moment réclamait les services de la boite pour laquelle elle travaillait et elle avait été choisie pour représenter son employeur auprès de ce gros client.
Le soleil brillait dans le ciel bleu azur en ce mercredi du mois de mars 1980 et la chaleur était douce et agréable.
Marie poussa la porte à battants qui donnait sur un vaste hall dont la décoration avait été choisie avec soin.
On devinait la richesse à travers ces tapis, les bureaux et les autres cadres et peintures aux murs qui emplissaient la pièce.
« – Bonjour, je suis Marie Delvallée » se présenta Marie à la réceptionniste qui se trouvait derrière le comptoir en bois qui trônait en plein milieu du grand hall. « – Je suis déléguée commerciale et j’ai rendez-vous avec monsieur Giovanni Ivanesco » termina-t’elle.
« – Bonjour Madame Delvallée. En effet, on m’a prévenue de votre arrivée et je dois vous prévenir que Monsieur Ivanesco a dû d’absenter. Son associé, Monsieur Schultz va vous recevoir à sa place, si vous n’y voyez pas d’inconvénient. Vous pouvez patienter dans la salle d’attente. Il viendra vous chercher » dit la secrétaire en pointant du doigt la petite salle attenante qui se trouvait juste derrière elle.
Marie se dirigea vers celle-ci et alla s’asseoir dans un coin, sur une des chaises d’écoliers qui étaient placées contre les murs. Elle était seule. Comme des revues diverses trônaient sur une petite table noire, elle tendit la main vers l’une d’entre elle mais un bruit de porte qu’on claque violemment la fit sursauter. Elle leva la tête en direction du bruit.
Elle vit un homme jeune, physiquement sportif et habillé de manière stricte dans un costume beige qui faisait ressortir un teint halé. « Un italien ? » se demanda Marie. « Si c’est Monsieur Schultz, il a plutôt un nom à consonance allemande… ».
L’homme s’était dirigé vers la secrétaire d’un pas décidé et assuré. Il lui parlait avec autorité mais Marie était trop loin pour entendre distinctement ce qui était dit. La jeune femme fit un signe de tête en direction de Marie et celle-ci comprit qu’on parlait d’elle.
« C’est, donc, bien Monsieur Schultz » pensa Marie et comme elle vit qu’il se dirigeait vers elle, se leva et se dirigea vers lui en lui tendant la main quand elle ne fut plus qu’à un mètre de lui.
« – Madame Delvallée ? Bonjour ! Je suis Monsieur Schultz. Ma secrétaire vous a expliqué que Monsieur Ivanesco ne sait pas vous recevoir ».
« – Oui, bien entendu ».
L’homme au costume beige avait prononcé ces mots sur un ton des plus aimable voire mélodieux « Un ton travaillé de circonstance afin de mettre la personne en confiance » pensa Marie.
« – Monsieur Ivanesco a, malheureusement, dû s’absenter pour se rendre en urgence sur un chantier mais n’ayant pas voulu annuler le rendez-vous, il m’a demandé de le remplacer. J’espère que vous n’y voyez pas d’inconvénient ? ».
« – Pas de problème Monsieur Schultz » répondit Marie d’un ton qu’elle voulu calme et détendu. Il se déplaça légèrement sur le coté et montra la porte qu’il avait claquée quelques instants auparavant. Il la suivit et elle entra dans le bureau qui était des plus luxueux, sièges en cuir, bureau en bois laqué, marbre…
De plus, aucun grain de poussière ne venait ternir les quelques décorations qui se trouvaient sur le bureau, les étagères ou appuis de fenêtres. Tout le matériel de bureau était impeccablement rangé dans un ordre des plus méticuleux.
« – le ménage doit presque être fait deux fois par jour pour avoir un ordre pareil ou alors on a fait le ménage juste avant que j’arrive afin que tout soit propre… Ou pour cacher le moindre détail qui pourrait me faire changer d’avis. Voudrait-on me cacher quelque chose ? » pensa Marie. Mais elle se dit aussitôt que ce devrait encore être cette stupide déformation professionnelle.
Monsieur Schultz referma la porte derrière lui et se dirigea vers le vaste bureau en bois. Il lui présenta le siège en face de lui et s’installa de l’autre coté.
« – Vous venez donc de la société PAMS n’est-ce pas ? » commença Monsieur Schultz. « Vous n’êtes certainement pas sans savoir que nous cherchons pour notre société de construction des nouveautés dans le matériel afin de garantir toujours plus de sécurité à nos ouvriers. Et je dois dire que l’offre que nous avons trouvée dans votre publicité a attiré notre attention ».
Monsieur Schultz parlait avec véhémence et d’une voix posée, travaillée, de circonstance. Mais Marie avait l’habitude dans son travail de rencontrer de nombreux clients. Elle avait appris à faire abstraction de l’inutile et de se focaliser sur l’essentiel.
Elle ferma donc son esprit à toute cette petite mise en scène et n’écouta que le principal.
« – Oh ! mais je suis d’une négligence sans pareille. Je ne vous ai même pas proposé quelque chose à boire. Café ? Thé ? Soda ? » Marie répondit promptement à la question :
« – Merci et ne vous en faites pas vous n’êtes pas impoli. Mais j’avoue qu’un thé sucré me ferait du bien ».
Monsieur Schultz se leva et se dirigea vers la petite desserte qui se trouvait sur la gauche. Il entreprit de préparer une tasse de thé et s’arrêta dans son geste et se retourna vers Marie.
« – Je suis désolé, mais l’eau chaude se trouve dans la cuisine, je vais, de ce pas, en chercher. Mettez-vous à l’aise ». Dit-il en se hâtant vers la porte, la tasse en main.
Marie, une fois restée seule, se permit de mettre son don en exergue et scruta les moindres recoins de la pièce à la recherche d’une force maléfique, d’un piège ou d’une caméra qui pourrait lui nuire. Mais elle ne trouva rien, pas un once de force négative.
« – Pourquoi je me sens alors comme si quelque chose clochait ? » se demanda t’elle. Elle essaya de se rassurer en se disant que la fatigue devait y être pour beaucoup.
Elle revint à la réalité au moment ou Monsieur Schultz ouvrait la porte avec une tasse de thé fumante à la main. Il la déposa devant elle. Il avait accompagné le thé de petits biscuits au beurre qui avait l’air délicieux.
Tout en sirotant son thé, elle se mit à lui expliquer les nouveautés mises sur le marché en s’aidant d’un catalogue qu’elle avait sorti de sa petite mallette.
La réunion entre les deux professionnels se termina aux environs de 16h30. Elle regarda sa montre et Monsieur Schultz qui avait vu le mouvement déclara :
« – Il est déjà tard, vous avez certainement des enfants à aller chercher à la garderie ou à l’école. Nous allons donc en rester là pour aujourd’hui. De toute façon je pense que nous avons fait le tour ».
« – Tout à fait » répondit Marie en souriant « Merci de m’avoir reçue Monsieur Schultz ».
« – J’en parle avec Monsieur Ivanesco dès demain matin et nous vous ferons parvenir une commande dans les prochains jours ».
Il se leva et Marie l’imita. Il se serrèrent la main et Marie se tourna vers la porte afin de prendre congé de son hôte.
Elle sortit du bureau d’un pas assuré. Elle ne voulait que ni Monsieur Schultz ni la secrétaire pensent qu’elle pourrait être contrariée par l’absence de Monsieur Ivanesco mais pourtant elle l’était. Et de plus, elle ressentait toujours comme une impression négative, comme si on essayait de lui faire du mal.
« – Voilà que tu recommences » se dit-elle « Sois plus confiante… Mais je suis sûre de louper quelque chose… Mais quoi ? En parler au Grand Mage ? Le déranger pour ça alors qu’il a d’autres tracas ? Lui, qui est avec cette affaire de mage maléfique sur le dos… Ils sont toujours à sa recherche… Non sincèrement. Je suis Grande Fée, je dois régler ce souci toute seule ».
Toute à ses pensées, elle arriva à sa voiture sans même s’en rendre compte. Elle s’y engouffra rapidement.
« Elisabeth est difficile pour le moment, elle grandit et les nuits sont courtes. Ce doit être ça. Son père partit, ce n’est pas une tâche facile de gérer quasi seule un enfant en bas âge » pensa Marie et elle se mit à penser plus fort à sa petite fille de presque 2 ans qui se trouvait chez sa mère, Josiane. Elisabeth adorait sa grand-mère et c

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