Ceux qui en avaient deux, ceux qui n en avaient pas
126 pages
Français

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Ceux qui en avaient deux, ceux qui n'en avaient pas , livre ebook

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Description

En limitant ses ambitions à la quête du Graal et à la recherche de l’Arche perdue, Indiana Jones laissait vierge un immense champ d’investigation que le professeur Mac Houille n’allait pas tarder à explorer.
Dès sa première expédition - nom de code «à la recherche de la Couille perdue »- il découvre et traduit le texte fondateur de la mise à l’index de la fornication dans l’Occident chrétien. «Ceux qui en avaient deux », frappés de plein fouet dans leurs parties intimes par cet interdit, vont organiser une résistance clandestine que l’histoire officielle a toujours occultée ; mais dont Mac Houille rend compte dans une série de publications dont le présent ouvrage tente de faire la synthèse.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 07 octobre 2013
Nombre de lectures 0
EAN13 9782332569578
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-56955-4

© Edilivre, 2014
Remerciements
Cet essai, doit beaucoup au professeur Mac Houille,
Dont on a reproduit de très larges extraits
De son brillant ouvrage : « le Mémorial des couilles »,
Où, de ceux qui en ont deux, il brosse le portrait.
Il brosse, aussi, celui, de ceux qui n’en ont pas.
On a aussi extrait, du fruit de ses recherches,
La réponse aux questions qu’on ne se posait pas,
Alors qu’on aurait du ; il nous tendit la perche.
Pour toutes ces raisons et bien d’autres encore,
Exprimons à Mac Houille, historien de talent,
Dont l’aide, si précieuse, de surcroît, nous honore,
Notre admiration et nos remerciements.

La Rédaction.
Avertissement au lecteur
Ce recueil se propose de faire la synthèse
Des écrits que Mac Houille rédigea pour sa thèse
Sur le rôle des couilles dans l’Occident chrétien.
Sujet fort délicat, que quelques historiens
Ont parfois abordé, mais de façon partielle
Et sans oser braver la morale officielle,
Catholique et romaine, prêchée par une église
Qui, sur ces historiens, exerçait son emprise.
Empêchés d’isoler le bon grain de l’ivraie,
Car jamais l’officiel ne rime avec le vrai,
Ils se sont contentés de dire, d’un air docte,
Quelques banalités illustrées d’anecdotes.
Mac Houille, au contraire, bousculant les tabous,
A saisi la lorgnette, enfin, par le bon bout,
Elargissant, des couilles, la vision trop étroite
Qu’avaient eue ses collègues. Vision bien trop benoite
Pour rendre vraiment compte de la réalité
De la place des couilles dans notre chrétienté.
De leur histoire longue il offre une vision,
Comme le fit Braudel des civilisations.
Il étudie la vague en négligeant l’écume,
Car, il y a l’apparence… et puis ce que nous fûmes.
à révéler le vrai il s’applique avec rage,
Face à l’adversité qui va faire barrage.
C’est pourquoi, à Mac Houille nous devons rendre hommage
Alors même, qu’aucun de ses nombreux ouvrages
N’eut le moindre succès. En effet, la censure
Alliée au lobby de la littérature
Ont empêché l’auteur-esprit vif, plume leste-
De publier son œuvre, à vrai dire une geste ;
Dont la forme respecte ce genre littéraire,
Qu’ont popularisé troubadours et trouvères.
C’est en alexandrins que Mac Houille s’exprime,
Car la chanson de geste nous berce par son rythme.
Sur le fond, il s’inspire des gestes médiévales
Exaltant les prouesses des hommes en cavale,
Qui se râpent les couilles sur le cuir de leur selle
Pour prouver qu’ils en ont, aux dames jouvencelles.
Deux mille alexandrins pour exalter la gloire
De ceux qui en ont deux, et ont marqué l’histoire ;
Mais aussi les déboires de ceux qui n’en ont pas
Mais, croyant en avoir ont frôlé le trépas.
Enfin, si d’une geste son œuvre à l’apparence,
C’est aussi une thèse. En homme de science
Le professeur Mac Houille entend nous proposer
Une problématique dont on peut supposer
Qu’elle va entrouvrir la pensée hermétique
D’un auteur prisonnier de sa propre logique.
à ce titre, cette œuvre, qui se veut didactique,
Outre qu’elle respecte l’ordre chronologique,
Nous propose, d’emblée, comme travaux pratiques,
De recenser les couilles les plus emblématiques :
Celles, qui ont été de par leur dynamique,
Sans doute, à l’origine d’un tournant historique.
Ses recherches commencent à l’époque biblique
Et s’achèvent en France sous notre République.
En l’espèce, il s’agit de montrer l’existence
D’une paire de couilles qui, par sa préséance,
Modela les valeurs de l’Occident chrétien ;
Et de montrer qu’entre elles se sont noués des liens.
Des liens, non faits de chanvre, encore que… parfois ?
Mais des liens invisibles tressés par une foi,
Elle-même, inspirée des textes hébraïques,
Qui évoquent les mœurs à l’époque biblique.
Epoque bien connue par l’historien Mac Houille,
Qui a participé aux campagnes de fouilles
Qu’on a réalisées aux portes de Qumrân ;
Ville où des cénobites, peu enclins au ramdam,
Seraient à l’origine, d’après ce qu’on colporte,
Des fameux manuscrits, qu’on dit de la mer morte.
Œuvre en piteux état : quinze mille fragments
Evoquant les canons de l’Ancien Testament ;
Mais, nombre de fragments devenus illisibles
Ne peuvent, on le comprend, corroborer la Bible
Qui raconte la vie des peuples hébraïques
Occupant la région à l’époque biblique.
Epoque, on le sait, riche en évènements
Si l’on croit les « on-dit » de l’Ancien Testament ;
Mais aussi les « non-dit », fait observer Mac Houille,
Et ils sont fort nombreux, puisque, malgré les fouilles,
Bien des pièces du puzzle sont déclarées manquantes
Et bien des traductions sont demeurées pendantes.
Mac Houille, cependant, à force de patience,
A su interpréter, du texte, les silences.
Et si le Saint Suaire nous révéla Jésus,
Mac Houille révéla les fragments disparus.
Or, manifestement, les Saintes Ecritures
Avaient été l’objet de fâcheuses ratures.
Et de fait, quand Mac Houille, pour rédiger sa thèse,
Des fragments illisibles, tenta une exégèse,
Surpris, il s’écria « Hô putain ! Bonne mère !
Le vieux Loth, dans sa tombe a du l’avoir amère
En voyant sous quels traits le présente la bible :
Un père incestueux, au sexe irascible ;
Alors, que l’on découvre sur lesdits manuscrits-
Bien qu’ils fussent fort vieux, usés et mal écrits,
Et pour le dire net, quasiment illisibles-
Que Loth, en vérité, fût un père paisible,
Un homme qui luttait pour maîtriser son sexe
Et non un père en rut soumis à ses réflexes ».
On découvre, surpris, comme le fut Mac Houille,
Que pour qu’un tant soit peu dans l’histoire on farfouille
Afin de recenser les maîtres-queue illustres,
On n’en trouve aucun qui de Loth eut le lustre.
En effet Loth l’ancien, le vieux Loth, Loth antique,
A la place d’honneur dans ce panégyrique.
Non point tant, pour avoir, dit-on, séduit ses filles
En leur disant « voyez ! la queue de Loth frétille »
Mais pour, tout au contraire, fait de la chasteté,
Une valeur majeure de notre chrétienté.
Cette image de Loth, que révèle Mac Houille,
D’un homme qui renonce à la moindre papouille,
Aura, beaucoup l’ignore, une grande influence
Sur le comportement de tous les rois de France,
Ainsi que le démontre l’éminent historien,
Décrivant la naissance du royaume chrétien.
Les rois auront, dit-il, la queue entre deux chaises :
S’adonner à la baise ou pratiquer l’ascèse ?
To bite or not to bite ? Voilà la vraie question
Pour qui veut éviter enfer et damnation.
Two bites or not two bites ? En avoir deux ou pas ?
Détermine, en effet, la suite du trépas :
Le bonheur éternel sur un petit nuage,
Ou, de vives douleurs sur un feu qui fait rage.
Dans l’esprit et la forme des gestes médiévales
L’auteur évoque ainsi les lignées familiales
Qui ont su, patiemment, par un jeu d’alliances
Transformer notre Gaule en royaume de France.
Pour ce faire, elles ont, montre fort bien Mac Houille,
Pour protéger le trône sacralisé les couilles,
En décidant qu’afin d’éviter les embrouilles,
Jamais on ne verra le lys filer quenouille.
Mérovingiens, carolingiens et capétiens,
Vont tenter, tour à tour, de desserrer ces liens ;
Mais ce sont les Valois et, surtout, les Bourbons
Qui vont sur ce manège décrocher le pompon.
Ils brisèrent les liens, en respectant les nœuds.
Ce choix, à l’évidence, plutôt libidineux,
Si l’on prend du recul, se révéla fort sage,
Puisqu’il développa l’art du matelotage
Exercé par des filles aux mœurs plutôt volages
Que Mac Houille décrit dans l’un de ses ouvrages.
S’agissant, en l’espèce, du royaume de France,
Bas et Haut Moyen Age, brillante Renaissance,
Grand siècle et Décadence furent, en apparence,
Et officiellement, des siècles d’abstinence
Sur le plan sexuel. Car l’ombre de Loth erre.
Sauf que… secrètement les couilles se libèrent
Du carcan trop étroit de la foi catholique
En jouant sur les mots, les règles sémantiques,
Ou en utilisant bien d’autres subterfuges,
Jusques à devenir, parfois, couilles transfuges
Et encourir, au mieux, l’excommunication
Pour mauvaise réponse à la bonne Question.
Cathares et vaudois, luthériens, calvinistes
Et bien d’autres encore, figurent sur la liste
Etablie, par l’expert en martyrologie,
Pour démontrer combien une idéologie
Dominée par la foi et non par la raison
Sera à l’origine de tristes oraisons.
On y apprend comment le pape Innocent trois
Clôtura la croisade dite des albigeois ;
Ou pourquoi, il vaut mieux, la nuit de la saint Barth,
Rester cloîtré chez soi et fermer son « appart ».
Outre, les grandes gestes des royales familles,
De gestes plus modestes cet ouvrage fourmille.
Cette œuvre, où se mêlent faits réels et fiction,
Des gestes médiévales, poursuit la tradition,
Mais, en l’enrichissant par des chansons nouvelles
Qui traitent de l’énigme qu’est Jeanne la pucelle
Ou bien, qui magnifient la reine de Bourgogne
Jugée, hâtivement, baiseuse sans vergogne ;
Comme le fut, plus tard, la reine de Navarre,
Qui était de ses charmes, a-t-on dit, peu avare.
Sans doute, incomplète serait cette préface
Si nous n’évoquions pas le très long face à face
Entre père Joseph, dit l’éminence grise,
Et le duc de Plessis qui était alors aux prises
Avec des nobliaux qui, avec arrogance,
Se prenaient pour les maîtres du royaume de France.
Nous laissons au lecteur le soin de découvrir
Comment son Eminence a su, sans coup férir,
Calmer cette noblesse, querelleuse et rebelle,
En inventant, pas moins, que la guerre en dentelles.
Il sut, également, mais c’est une autre geste,
Par un propos habile et quelquefois fort leste,
Dire à Louis le Juste, surnommé Louis treize,
Qu’il serait judicieux que la reine il baise ;
Il a même fallu que Riche

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