Mon Obsession: Mon Tourmenteur : tome 2
224 pages
Français

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Mon Obsession: Mon Tourmenteur : tome 2 , livre ebook

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Description

Je l’ai enlevée dans la nuit. Je l’ai emprisonnée car je ne peux pas vivre sans elle. Cette femme est mon amour, mon addiction, mon obsession.



Je ferai n’importe quoi pour garder Sara près de moi.

Informations

Publié par
Date de parution 18 juin 2019
Nombre de lectures 726
EAN13 9781631423345
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0020€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Mon Obsession
Mon Tourmenteur : tome 2


par Anna Zaires

♠ Mozaika Publications ♠
Table des matières



Partie I


Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Chapitre 14

Chapitre 15

Chapitre 16

Chapitre 17

Chapitre 18

Chapitre 19

Chapitre 20

Partie II


Chapitre 21

Chapitre 22

Chapitre 23

Chapitre 24

Chapitre 25

Chapitre 26

Chapitre 27

Chapitre 28

Chapitre 29

Partie III


Chapitre 30

Chapitre 31

Chapitre 32

Chapitre 33

Chapitre 34

Chapitre 35

Chapitre 36

Partie IV


Chapitre 37

Chapitre 38

Chapitre 39

Chapitre 40

Chapitre 41

Chapitre 42

Chapitre 43

Chapitre 44

Chapitre 45

Chapitre 46

Chapitre 47

Chapitre 48

Chapitre 49

Chapitre 50

Chapitre 51

Chapitre 52

Chapitre 53

Chapitre 54


Extrait de L’Enlèvement

Extrait de Capture-Moi

Extrait de La captive des Krinars

À propos de l’auteur
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les incidents sont le produit de l’imagination de l’auteur ou employés de manière fictive, et toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou mortes, des sociétés, des événements ou des lieux ne serait qu’une coïncidence.

Dépôt légal © 2018 Anna Zaires & Dima Zales
https://www.annazaires.com/book-series/francais/

Tous droits réservés.

Sauf dans le cadre d’une critique, aucune partie de ce livre ne peut être reproduite, scannée ou distribuée sous quelque forme que ce soit, imprimée ou électronique, sans permission.

Publié par Mozaika Publications, une marque de Mozaika LLC.
www.mozaikallc.com

Traduction : Laure Valentin

Couverture : Najla Qamber Designs
najlaqamberdesigns.com

e-ISBN : 978-1-63142-334-5
ISBN : 978-1-63142-335-2
Partie I
1

P eter
— Ils gagnent du terrain, dit Ilya tandis que le hurlement des sirènes et le grondement des pâles d’hélicoptère se font entendre, de plus en plus fort.
La lumière des voitures, de l’autre côté de l’autoroute, se reflète sur son crâne rasé, créant l’illusion que les tatouages de sa tête dansent, lorsqu’il jette un œil avec inquiétude dans le rétroviseur, en fronçant les sourcils.
— D’accord.
Sans prêter attention à l’adrénaline qui déferle dans mes veines, je resserre le bras autour de Sara afin d’éviter que sa tête ne glisse sur mon épaule. Au même moment, Ilya fait une embardée pour doubler une voiture plus lente. Je m’attendais à ces représailles – on n’enlève pas sans conséquence une femme surveillée par le FBI –, mais maintenant que nous y sommes, je me fais du souci.
Mes trois coéquipiers et moi, nous pouvons parfaitement nous livrer à une course poursuite aussi rapide, mais je ne peux pas mettre ainsi Sara en danger.
Ma décision est prise.
— Ralentis, dis-je à Ilya. Qu’ils nous rattrapent.
Anton se retourne sur le siège passager. Son visage barbu exprime l’incrédulité la plus totale et il agrippe son M16.
— Tu es fou ?
— Nous ne pouvons pas les conduire jusqu’à l’aéroport, souligne Yan, le frère jumeau d’Ilya.
Assis de l’autre côté de Sara, il semble avoir compris mon plan, car il est déjà en train de fouiller dans le grand sac marin que nous avons fourré sous la banquette arrière de notre 4x4.
— Tu crois que les fédéraux savent qu’on la tient ? demande Anton en posant les yeux sur la femme inconsciente affalée contre moi.
J’éprouve un élan de jalousie irrationnelle en voyant son regard noir balayer le visage de Sara, s’attardant plus longuement que nécessaire sur ses lèvres roses charnues.
— Sans doute. Ces types qui la surveillaient sont stupides, mais pas totalement débiles, répond Yan en se redressant, un lance-grenades dans les mains.
À la différence de son frère, il a opté pour une coupe de cheveux classique et une tenue de ville impeccablement repassée – son déguisement de banquier, comme l’appelle Ilya. En général, Yan donne l’impression de ne pas savoir se servir d’une clé à molette, et encore moins d’une arme, et pourtant c’est l’un des individus les plus dangereux que je connaisse – comme le reste de mon équipe.
Si nos clients nous paient des millions, ce n’est pas pour rien, et ça n’a rien à voir avec nos choix vestimentaires.
— J’espère que tu as raison, lance Ilya en resserrant sa poigne autour du volant tout en jetant un nouveau coup d’œil dans le rétroviseur.
Seuls quatre véhicules nous séparent encore des deux 4x4 noirs du gouvernement et des trois voitures de patrouille. Les gyrophares bleus et rouges clignotent tandis qu’ils dépassent les véhicules plus lents.
— Les flics américains sont des tendres. Ils ne prendront pas le risque de nous tirer dessus s’ils savent que nous l’avons.
— Et ils n’ouvriront pas le feu en pleine autoroute, ajoute Yan en enfonçant le bouton pour baisser sa vitre. Trop de civils autour.
— Attends une minute, lui dis-je lorsqu’il s’approche de la vitre, son lance-grenades à la main. L’hélico doit être le plus bas possible au-dessus de nous. Ilya, ralentis un peu et insère-toi sur la voie de droite. Nous prenons la prochaine sortie.
Ilya obéit et nous bifurquons sur la voie lente, notre vitesse retombant sous la limite autorisée. Une Toyota Camry grise nous double à vive allure sur la gauche et je ramène Sara contre moi tout en demandant à Yan de se tenir prêt. Le vacarme de l’hélicoptère est assourdissant – à présent, il est presque suspendu au-dessus de nos têtes –, mais j’attends encore.
Quelques instants plus tard, je l’aperçois.
Le panneau qui annonce la prochaine sortie dans cinq cents mètres.
— Maintenant ! je m’écrie.
Aussitôt, Yan entre en action. Il sort la tête et le torse par la vitre en brandissant son lance-grenades.
Boum ! On dirait que le feu d’artifice le plus impressionnant du monde vient d’éclater au-dessus de nous. Les freins crissent tout autour, mais nous avons déjà emprunté la bretelle et Ilya quitte l’autoroute au moment où l’enfer se déchaîne. Sur les deux voies, les voitures se percutent dans un fracas de tôle froissée, tandis que l’hélicoptère explose en une boule de métal flamboyante.
— Putain ! se récrie Anton en regardant le chaos que nous venons de semer.
Il pleut des morceaux d’hélico en flammes, un énorme camion des magasins Walmart est en train de se renverser, et pas moins d’une dizaine de voitures se sont déjà percutées, tandis que chaque seconde, de nouveaux accidentés viennent grossir le carambolage. Les 4x4 du gouvernement font partie des victimes et les véhicules de patrouille sont pris au piège derrière eux. Maintenant, nos poursuivants n’ont aucun moyen de nous prendre en chasse, et même si je déplore les civils blessés, je sais que c’est notre seule échappatoire.
Le temps qu’ils se rassemblent et envoient d’autres flics à nos trousses, nous serons déjà loin.
Personne ne m’enlèvera Sara.
Elle m’a choisi, et elle reste à moi.



Nous atteignons sans encombre le passage souterrain où nous avons laissé l’autre véhicule. Une fois l’échange effectué, nous respirons plus librement. Je ne doute pas que les fédéraux réussiront à nous localiser, mais à ce moment-là, nous serons déjà en sécurité dans les airs.
Nous sommes presque arrivés à l’aéroport quand Sara pousse un gémissement. Elle remue à côté de moi, ses paupières frémissent et elle ouvre les yeux.
L’effet du somnifère que je lui ai administré est passé.
— Là, là, dis-je d’une voix apaisante en déposant des baisers sur son front tandis qu’elle essaie de se débarrasser de la couverture qui la protège jusqu’au cou. Tout va bien, ptichka. Je suis là, et tout se passe bien. Tiens, bois ça.
De ma main libre, je débouche une bouteille en plastique remplie d’eau et la porte à ses lèvres pour lui permettre d’absorber un peu de liquid

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