La fabuleuse histoire de la fellation
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Description

La fellation méritait bien un livre narrant son histoire, à travers les siècles et les continents. On en parle, on en plaisante, la plupart du temps sous des noms d'emprunt : pipe, turlutte, gâterie, etc. Les ouvrages qui en expliquent les rouages sont toujours de francs succès de librairies. Il était temps qu'un professeur de lettres passionné en propose une étude documentée, sans pour autant tomber dans un registre savant ou pédant, simplement, en cherchant à mettre en lumière cette pratique à l'aune de sa perception hier et aujourd'hui, son histoire, ses techniques, ses variantes, sa philosophie.





Informations

Publié par
Date de parution 20 février 2014
Nombre de lectures 379
EAN13 9782364904323
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0049€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Cover

Thierry Leguay

La Fabuleuse Histoire
de la fellation

La fellation méritait bien un livre narrant son histoire, à travers les siècles et les continents. On en parle, on en plaisante, la plupart du temps sous des noms d’emprunt : pipe, turlutte, gâterie, etc. Les ouvrages qui en expliquent les rouages sont toujours de francs succès de librairies. Il était temps qu’un professeur de lettres passionné en propose une étude documentée, sans pour autant tomber dans un registre savant ou pédant, simplement, en cherchant à mettre en lumière cette pratique à l’aune de sa perception hier et aujourd’hui, son histoire, ses techniques, ses variantes, sa philosophie.

Thierry Leguay est professeur de lettres au Mans et auteur de nombreux ouvrages sur la littérature : Dictionnaire insolite des mots oubliés, avec Alain Duchesne (Larousse, 2013) ; La Petite brocante des mots (Points Seuil, 2010) ; L’Obsolète : dictionnaire des mots perdus, (Larousse, 1988).

à Pierre et François

Tous les baisers ne donnent pas la joie que donne la sucette. Non, non, loin de là !

On ne peut pas décrire la sensation de bien-être qui vous parcourt tout le corps lorsqu’on suce quelque chose ; c’est un sentiment extraordinaire. C’est indiciblement beau : on ne sent aucune douleur, aucun mal, et l’on est comme transporté dans un autre monde.

 

Une jeune fille, citée par Freud, dans Trois essais sur la théorie de la sexualité

MANIÈRES DE DIRE

« Pudictionnaires »

Ouvrons l’édition 1967 du Petit Robert, à la page 693. Entre « fellah » et « félon »… rien. On y trouve pourtant le mot « felouque », d’un usage peu fréquent ! et une grande colonne consacrée à la « femme ».

Les investigations dans des dictionnaires célèbres (le Littré, le Larousse en huit volumes (1897-1904) ne sont pas plus fructueuses…

Il faudra attendre l’édition 1984 du Petit Robert, pour y voir figurer ce mot :

 

Fellationn f. (attesté XXe s. ; lat. fellatio, de fellare, « sucer, téter »). Acte sexuel consistant à exciter les parties génitales masculines par des caresses buccales. (Cf vulg. Sucer, faire une pipe). – Par ext. Tout attouchement buccal des parties génitales. V. Cunnilinctus.

 

 

Et, dans la deuxième édition du Grand Robert de la langue française, en 1985, l’article « Fellation » était illustré par deux exemples littéraires, de Romain Gary et J.M.G. Le Clézio.

Le mot était par ailleurs entré dans le Petit Larousse illustré en 1981, avec une brève définition : Excitation buccale du sexe de l’homme.

(Observons que le mot qui suit est FELLE, ou FÈLE : Canne creuse pour souffler le verre en fusion !) Le Grand Larousse universel (en 1983) propose une définition légèrement différente : Acte sexuel consistant en une stimulation buccolinguale de la verge.

 

Moins pudibonds, d’autres dictionnaires avaient bien avant cela présenté le mot. Ainsi le fameux Gaffiot, dont la première édition date de 1934 et qui a nourri des générations de jeunes latinistes. On pouvait y lire les entrées suivantes :

 

fellator, oris, m. et -trix, icis, f. (fello), celui, celle qui suce : MARTIAL 14, 74.

fello, avi, are, tr., sucer, téter.

irrumo (inr-), avi, atum, are, tr. ; aliquem, mettre dans la bouche de qqn, donner à téter à qqn [sens priapéen] : CATULLE 16, 1 ; MARTIAL 4, 50. (Catulle et Martial sont des auteurs d’épigrammes souvent très corsées.)

Observons que les Romains ne connaissaient pas le mot fellatio, si souvent employé dans des manuels de sexologie. Et, petite curiosité lexicographique, le mot fellatrice est attesté pour la première fois chez Balzac, dans La Physiologie du mariage, en 1829 : la Fellatrice, fertile en coquetteries qui trompent le désir pour en prolonger les brûlants accès.

Toutes ces informations étaient certes insuffisantes, mais elles pouvaient suffire à mettre l’eau… à la bouche !

Plus tard, c’est Pierre Guiraud qui, dans son Dictionnaire érotique (1978), rapporte la définition du docteur Valensin (en 1967) : Stimulation buccolinguale de l’organe mâle. Rien de bien affriolant là-dedans !

Plus satisfaisante était celle des surréalistes, dans le Lexique succinct de l’érotisme (1959) : Caresses accomplies sur le sexe viril par les lèvres et la langue. La fellation peut être une préparation à l’acte ou se substituer à lui.

On pouvait au moins comprendre que la fellation n’était pas toujours qu’un préliminaire…

 

Les lexicographes se sont donc montrés peu prolixes à ce propos.

Est-ce à dire que cette pratique universelle (ou presque) resterait marginale ? Ou plutôt, que ces relations du pénis avec la bouche (noble organe de la parole) rendraient muet ?

 

Ce livre est donc né d’un étonnement. Dieu sait que les ouvrages consacrés à la masturbation, au coït génital ou au sadomasochisme ne manquent pas. Mais, sur la fellation, presque rien. Les rayons des bibliothèques et des librairies (même spécialisées) demeurent étrangement vides.

Comme si l’on ne savait pas trop quoi faire d’un plaisir qui s’éloigne de la norme, sans pour autant constituer une perversion, un acte foncièrement délictueux…

 

Annie aime les sucettes

 

Lorsque le sucre d’orge

Parfumé à l’anis

Coule dans la gorge d’Annie

Elle est au paradis

 

En 1966, France Gall, âgée de 19 ans, chante ces paroles de Serge Gainsbourg. Plus tard, elle dira qu’elle n’avait pas du tout perçu à l’époque les allusions grivoises de cette chanson… Celles qui, à coup sûr, ont fait son succès. Tout ça pourtant était très clair ; ainsi chez Guillaume Apollinaire (dans Les Onze Mille Verges) :Tous deux suçaient goulûment leurs sucres d’orge respectifs et soupesaient avec volupté des rouleaux qui n’avaient rien à voir avec ceux des phonographes. Et sous la plume d’Alphonse Boudard : Ici, à la faveur de l’obscurité, elles arrivent à se relever une petite thune – cinq francs à la sucette, elles trouvent encore des amateurs.

 

Un an plus tard, Gainsbourg écrit pour Régine Ouvre la bouche, ferme les yeux :

 

Crois-moi, y’a rien d’plus indigeste

Q’les baïonnettes et les pruneaux

Ouvr’la bouche, ferme les yeux

Tu verras, ça gliss’ra mieux

 

Des paroles au moins aussi ambiguës que celles des Sucettes, mais qui feront moins de bruit…

Plus encore que pour d’autres pratiques sexuelles, il semble impossible, dans le discours courant, de parler sans faux-fuyant de la fellation. Ce mot lui-même semble réservé à un usage quasi technique, à tel point que l’Occident a inventé le mot fellatio, inconnu donc des anciens Romains… « Con » ou « queue » sont facilement employés par des amants, « pipe » moins couramment sans doute. Ça fait « pute ». Le bisou coquin ou la petite gâterie seraient parmi les seules périphrases employables…

Le lexique de la fellation est d’ailleurs assez pauvre. Dans son Dictionnaire érotique, Pierre Guiraud relève 48 mots ou expressions relatifs à ce plaisir (et autant pour le cunnilinctus), contre 135 pour la sodomie… alors que celle-ci est nettement moins pratiquée, comme l’indiquent toutes les enquêtes.

Ce sont donc, entre autres : se la faire allonger, avaler la fumée (la pilule), aspirer, boire au goulot, se faire croquer, dévorer, gamahucher, prendre en gargue, gober le merlan, se laver les dents, manger, prendre en poire, pomper (le dard, le gland, le nœud), faire un pompier, prendre la pipe, souffler dans la canne (dans le mirliton, dans la peau d’anguille, dans le poireau, dans le tube, dans le ventre), sucer, tailler une plume, téléphoner dans le ventre, téter le flageolet (une perche)…

Des mots qui s’ordonnent autour de trois images de base : aspirer, souffler, manger. Notons en passant que l’image liée au souffle est pour le moins curieuse… On la retrouve en anglais, avec l’expression argotique to give a blow job (« tailler une pipe »), littéralement : s’appliquer à souffler.

 

Arrêtons-nous un instant sur une insulte aussi connue qu’étrange : Fume, c’est du belge !

Fume renvoie ici à l’image grivoise d’« avaler la fumée ». Et le belge, c’est le tabac belge, réputé pour faire de bonnes cigarettes (des « pipes », en langage familier). Jacques Cellard précise : Exclusivement employée au singulier, le tutoiement accentuant le mépris, l’expression est en fait une invitation brutale lancée à l’insulté d’avoir à s’abaisser à une complaisance obscène au profit de l’insulteur. L’insulte n’a évidemment toute sa force qu’adressée à un homme dont on met en doute la virilité. Adressée à une femme, elle peut prendre un caractère simplement plaisant.

 

La seule expression admise de la fellation serait donc l’indirect, la métaphore plus ou moins salace. Mais les quelques mots utilisables sont aussitôt entachés de sens obscènes. À tel point qu’ils deviennent difficilement employables. « Pipe », « pompier », « sucer », « avaler », dans une conversation même anodine, font rapidement sourire… Ils deviennent plus crus que le mot « baise » lui-même !

Hommage à San-Antonio

Pierre Guiraud avait donc relevé une cinquantaine de mots se rapportant à la fellation. Une liste assez maigre, eu égard aux centaines d’ouvrages qu’il avait consultés.

Il aurait pu y rajouter les formules suivantes : la chaloupée sur le Savoyard, tutoyer le pontife, le shampooing à la salive, faire une politesse à monsieur, elle n’est pas recalée à l’oral…

Ou encore celles que relève Jean-Claude Carrière, dans son savoureux Les Mots et la chose : se faire éponger, nettoyer, jouer du trombone, blanchir le tuyau de pipe, gouglouter le seigneur, ripoliner le candélabre, brouter la tige, scalper le mohican, mousser le créateur, siroter l’apéritif, boire au goulot, humer le cyclope…

 

Il est surprenant que Pierre Guiraud soit à peine allé voir du côté du plus grand inventeur de mots de notre littérature contemporaine : -Frédéric Dard, alias San-Antonio.

Depuis le premier volume signé de ce pseudonyme, Laissez tomber la fille (1950), jusqu’aux Soupers du Prince (1992), cet auteur a proposé pas moins d’une centaine d’expressions pour désigner cette pratique !

 

Acharner le chipolata, allumer un calumet, apprécier la tige, arracher le copeau, aspirer le glandulaire, avoir la bouche amidonnée au sirop de burette, babiner le bolet, biberonner la bistoune, briquer le chinois à l’encaustique de glandes, le calumet de l’happé, chopiner le gouvernail de profondeur, cigariller, clapoter le zigomar, une clarinette baveuse, confectionner un calumet, un coup de polische aimable sur le mignon casque suisse du p’tit camarade de tronchage, se croire à Saint-Claude, décapsuler le lutin folâtre, dévaler le thermomètre à moustaches, dévisser le capuchon à la pointe Bic, entonner le chant des partisanes (le chant des partisans au cor des Alpes, le chant des Pyramides), étancher le bigorneau, se faire bipolariser la guimauve, faire des gammes au fifre baveur, se faire mâcher, se faire mâchouiller le bricolet, filer Coquette dans le clape, une flûte baveuse, geysérer dans la gargante, gloutonner le membre (le Nestor, le polduk, le trésor), gougnoter le gouzigouzou, une goinfrette, gouziller le périscope à turgescence indo-européenne, harmoniquer le couscoussier, jouer de la flûte enchanteresse (traversière, du Bach au fifre à moustaches), se jouer ramona au cou d’oie sans plumes, lichouiller une tête de zob, mâcher la membrane, mâchouiller le gnocchi, mastiquer le biberon, une pipanche, pratiquer le fourreau à 37 degrés, primesauter l’engourdisseur à fourreau, scalper le minaret, un solo de clarinette (à coulisse, à crinière), sonner de l’olifant, souffler l’hallali dans les cornets à piston de ces messieurs, faire sucette, une taille express, tailler un calumet (une calmante, un roseau), tétiner le gland (le gros père, le joufflu, Popaul, la prostate), tirer sur le bambou, un turlu, turluter la guiguite (le bigorneau, le chinois, le chipolata, le Nestor, le salami), le turlututu, tutoyer le joufflu (le pollux), voluptiser l’au sud de la Loire, zorber le grec !

 

Un penchant compréhensible chez un auteur qui se nomme Dard !

 

Observons que San-Antonio n’est pas si macho qu’on voudrait le dire : les expressions se rapportant au cunnilinctus sont au moins aussi nombreuses !

 

En février 1999 paraissait le 172e San-Antonio, dont le titre était un hommage indirect à Magritte – Ceci est bien une pipe ! – artiste auquel d’ailleurs il dédiait son récit. On pouvait y lire ces lignes éclairantes :

La belle âme m’avertit, non sans confusion, qu’un empêchement de nature ne lui permettait pas de souscrire à mes désirs, du moins sous la forme classique.

Elle me consentit alors une fellation de dédommagement qui manquait de fougue (les Ibériques comptent parmi les peuples les moins inspirés par cette discipline). Je me laissai donc essorer en homme attendant de cette pipe pleine d’inappétence davantage de paix corporelle que de jouissance véritable.

Et, un peu plus tard :

Elle est déjà loin, la pipe maussade de notre soubrette. Rien de plus affligeant qu’une fellation de misère. Baiser sans entrain est à la rigueur supportable. Mais une turlute du bout des lèvres me semble intolérable car c’est cette pratique qui donne la pleine mesure de la passion.

Histoires drôles et contrepets

Souvent lourdes, voire grossières, les histoires drôles et les devinettes ont généralement un contenu sexuel. C’est là en effet un moyen facile d’exprimer des obsessions essentielles, puisque celui qui la raconte ne parle jamais de lui.

Nombre d’entre elles concernent les « putes » (ou les femmes faciles) et la « pipe », les unes étant d’ordinaire associées à l’autre. Ce qui est compréhensible, puisque ces très courts récits mettent en scène généralement une vision très conventionnelle de la sexualité (celle de l’imaginaire mâle), suivant laquelle existeraient deux types de femmes : l’épouse et la putain.

Certaines sont tout de même plaisantes.

 

Qu’est-ce qui est tout bleu, petit et qui crache des copeaux ?

– Une Schtroumpfette qui vient de tailler une pipe à Pinocchio !

 

– Dans quel bois taille-t-on les meilleures pipes ?

Dans le bois de Boulogne.

 

Deux spermatozoïdes se rencontrent :

Y’a encore loin jusqu’à l’ovule ?

– T’as encore des heures de route. Tu en es qu’aux amygdales !

 

Qu’est-ce qu’une femme sympathique ?

Une femme qui suce.

Une femme très sympathique ?

Qui suce et qui avale.

Une femme très très sympathique ?

Qui suce, qui avale et qui se barre.

 

Les suivantes proviennent d’un livre de Virginie Lafleur, Petites blagues entre amis :

 

Pourquoi les blondes ne mangent-elles pas de bananes ?

Elles ne trouvent pas la fermeture Éclair.

 

Comment sait-on si une blonde est passée dans le frigo ?

Il suffit de voir s’il y a du rouge à lèvres sur le concombre.

Quel est le point commun entre un homme et des spaghettis ?

Les deux frétillent quand on les mange. L’ennui, c’est que la sauce est prête quand on a fini.

 

(Notons en passant cette image épaisse et obscure de la « blonde », qui serait aussi bête que lascive…)

 

Les femmes (se) racontent-elles couramment ce genre de choses ? Nous pouvons en douter…

 

En finale, après ces histoires pas toujours très drôles, rapportons-en trois, nettement meilleures. La première est une anecdote racontée par Gérard Zwang :

À l’écrit du concours de l’internat des hôpitaux de Paris de 1954,la question d’anatomie – Urètre masculin – posa un problème ardu à bien des candidates mal (r)enseignées ; l’une chuchota à sa voisine : « Donne-moi des tuyaux sur le gland Tu ne l’as jamais regardé quand tu fais des pipes ? – Non, je les fais toujours dans le noir. »

Ou encore cette boutade : Considérer l’avortement comme un geste criminel revient, si l’on pousse plus loin la réflexion, à considérer une branlette comme un génocide et la fellation comme de l’anthropophagie !

Enfin, ce mot de Clemenceau, après la mort du président Félix Faure, en 1899, dans les bras d’une maîtresse : Il s’était cru César, et il est mort Pompée !

Mais le plus subtil et le plus savoureux reste sans doute le contrepet, auquel Luc Étienne a donné ses lettres de noblesse. En voici quelques-uns, publiés par Joël Martin, dans L’Art de décaler les sons (Joël Martin est responsable de « L’album de la comtesse », dans Le Canard enchaîné).

 

Monsieur le curé, est-ce là, les félicitations ?

 

Oui, elles font gaver les Blancs qu’elles consomment !

 

Faut-il sceller le trou avant la fondation ?

 

La stomatologue a fait un dentier au pompiste.

 

Cette jolie fille habite Laval.

 

Elles sont mordantes, les pipelettes de Pau !

 

Les linges sèchent en mouillant les cordes.

 

L’abbesse subit l’ascète.

 

Le soldat harki vida ses douilles, cédant à la tentation des fellouzes.

 

Tout le monde n’apprécie pas vos motivations, Eiffel : il faut être mordu pour faire ainsi la Tour !

La gardienne du campus dessine.

 

La patiente a-t-elle su tousser ?

Les luxations répétées mènent à la fêlure.

 

Ah, madame l’abbesse ! Je voudrais tant connaître votre ciel à fond !

 

La généticienne pratique des mutations félines.

 

Le potache voudrait enfin connaître l’effet de la translation.

 

Enfin, l’on connaît les ambiguïtés provoquées par l’emploi de certains verbes à l’imparfait du subjonctif. Dans Pour tout l’or des mots, Claude Gagnière rapporte cette anecdote :

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