Cuisantes Vacances , livre ebook

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2014

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Ce roman est consacré à la fessée entre femmes, à l'odor di femina et aux plaisirs de l'urolagnie.


« Et souplement je la courbai contre ma hanche et lui donnai la fessée. Sous mes fortes claques sa croupe rougit et sécha rapidement. La correction résonnait joyeusement dominant le clapotis des vagues et les mouettes, étonnées, regardaient la jeune femme recevoir la punition réservée aux gamines. A nos pieds s'étendaient des monceaux de varech et parmi celui-ci des algues simulant un martinet, m'emparant d'un de ces fouets naturels, je flagellai le derrière rebondi. Nous étions maintenant allongées sur le chaud granit, le soleil avait bu les gouttelettes recouvrant nos corps et seules nos fourrures restaient encore humides. »

L'idée centrale de cette collection de « petits romans » clandestins des années 60 est de tenter de se défaire d'une image normalisée de l'érotisme. Les textes publiés tenteront simplement de faire le point sur toutes les disciplines, un érotisme jubilatoire et dynamique traduisant une libido sans tabou ni interdit, impudique et libérée.


Roman numérique (eBook à télécharger), 168 pages, couverture en couleurs.

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Date de parution

25 mars 2014

Nombre de lectures

2 401

EAN13

9782866885434

Langue

Français

Du même illustrateur :
Chez le même éditeur, ouvrages disponibles en version numérique (cliquer sur le lien pour atteindre la fiche de l’ouvrage):
MONA STREET volume 1, L’Arrivée de Mona
MONA STREET volume 2, Les Seigneurs de la nuit
MONA STREET volume 3,L’Ingénue (à paraître)
F. Delmore
CUISANTES VACANCES
Collection Le Septième Rayon
DOMINIQUE LEROY ebook
Couverture illustrée par Leone Frollo
Si vous désirez être tenu au courant de nos publications, il vous suffit de nous adresser un courrier électronique à l'adresse suivante : Éditions Dominique Leroy 3, rue Docteur André Ragot, B.P. 313, 89103 Sens, France Tél. : 33 (0)3 86 64 15 24
email :domleroy@enfer.comSite internet :http://dominiqueleroy.izibookstore.com/
Le code de la propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'Article L. 122-5, d'une part que "les copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective" et d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, "toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite" (Article L. 122-4) Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les Articles 425 et suivants du Code Pénal. All rights reserved. No part of this book may be reproduced in any form, by any means, without the prior written consent of the publisher.
© 1975by Éditions Dominique Leroy, Paris, pour l’édition papier.© 2004-2014 by Éditions Dominique Leroy, France, pour l’édition numérique.ISBN (Multiformat) 978-2-86688-543-4 Date de parution : mars 2014
CHAPITRE PREMIER
dois-je ranger ma valise  Où ? demanda Léontine avec un malicieux sourire.  Dans ma chambre, voyons, dis-je non moins amusée. Hier soir nous sommes arrivés à Ille, charmante plage de la côte normande, pour la durée des vacances scolaires et, ce matin, la bonne vide nos malles. Quand je pense à ces deux mois et demi, la joie m'inonde. Que de belles journées en perspective. Âgée de vingt-trois ans et d'origine britannique, je suis, depuis la rentrée d'octobre, la gouvernante de deux fillettes. Je dois cette place à ma nationalité car nous avons la réputation de savoir dresser les enfants, surtout ceux d'un caractère difficile et les parents de mes élèves désiraient une miss énergique. Séjournant l'an passé dans ma ville natale chez des amis à eux, où j'exerçais mes talents et sachant que j'allais me trouver sans emploi par le départ de mes patrons pour l'Afrique du Sud, la maman me demanda si j'accepterais de venir sur le continent.  Ma chère Dorothée, depuis deux semaines je vous observe, vous dirigez de main de maître les trois enfants de la maison, nous ne trouverons pas l'équivalent en France pour mes deux filles: Isabelle et Nathalie, non seulement vous leur inculquerez votre langue mais vous les éduquerez de la bonne façon.
CUISANTESVACANCES? demandai-je fortementâge ont-elles  Quel émue. Dix ans et onze ans ce mois-ci. Les avez-vous élevées sévèrement ? mais à présent il leur faut une Naturellement, gouvernante et vos méthodes ne s'appliquent guère en France, à mon grand regret, car pour ma part jusqu'à dix-sept ans une de vos compatriotes me dirigea et je m'en trouvais très bien. Elle vous gouverna durant tout ce temps ? Oui, répliqua mon interlocutrice en rougissant. Nous étions seules, la jeune femme ayant profité d'une sortie de son mari avec ses hôtes pour m'inviter dans sa chambre et me parler à cœur ouvert ; connaissant le but de la promenade je savais que nous disposions de tout l'après-midi. Et maintenant ? dis-je. Malgré ma jeunesse je dominais nettement mon vis-à-vis, sous mon regard qui la fouillait jusqu'à l'âme je la voyais redevenir une petite gamine. mari s'en charge, avoua-t-elle dans un Mon souffle.  Il a diablement raison, les filles doivent sentir une autorité susceptible de redresser leurs étourderies, vous avez eu la légèreté de rester avec moi, je pense que vous vous doutez de ce qui vous attend, après avoir apprécié ma maîtrise vous allez en ressentir personnellement la rigueur, mais je gage que vous la désiriez. N'est-ce pas, petite Française effrontée ? Bien sûr, le contraire m'aurait désappointée. venez dans ma chambre, nous y serons Alors, mieux pour bavarder. Docilement, Edith, ainsi se prénommait-elle, me suivit.
CUISANTESVACANCESinformé votre mari de la suite de Avez-vous notre conversation ?  Nullement, je lui ai simplement dit que je désirais vous convaincre de nous suivre à Paris. Et vous lui raconterez ? Il y a des choses qu'une femme n'avoue pas à son époux, quel motif invoquerais-je pour lui expliquer ma mésaventure, je ne peux tout de même pas lui dire que j'en avais terriblement envie et ce depuis le premier jour où je vous ai vue à l'œuvre. Oh! cette fois-là ! Il s'agissait de Dolly, jamais le souvenir ne s'effacera de ma mémoire et malheureusement ça se passait dans la matinée et pour comble de malchance John avait emmené Daniel à la pêche, je ne pouvais m'adresser à mon hôtesse, il me fallut attendre jusqu'au soir. Vous avez réellement attendu ? répliqua-t-elle en rougissant comme une Non, pivoine, aussi prétextai-je un achat de souvenirs à effectuer en ville. et menteuse ! Vous préfériez la Vicieuse solitude, hein ! Avouez ! On ne peut rien cacher à une gouvernante. non, ma chérie, rien, ni au propre ni au Eh figuré et sur l'heure vous allez me découvrir ce que vous cachez si jalousement. implora-t-elle, d'une voix chargée Dorothée, de passion. Bien que jouant mon rôle d'éducatrice je pouvais me permettre avec Édith des gestes impossibles avec mes élèves. Je l'enlaçai et ma bouche chercha la sienne. Quelques minutes nous nous oubliâmes dans un long baiser. Je pressai ses lèvres fraîches et humides contre les miennes, je les ouvris et ma langue les traversa. J'aspirai son souffle.
CUISANTESVACANCES Que tu embrasses bien, remarqua Edith à l'issue de notre baiser. Serrée contre elle, nos seins s'écrasant, je la regardai. Ses grands yeux noisette reflétaient un immense bonheur, ses pommettes rosissaient tranchant sur le reste de son visage ambré et ses lourds cheveux noirs ramenés en chignon sur sa nuque affinaient ses traits. La tenant par la taille j'amenai sa hanche contre mon ventre. Elle frémit, devinant où je voulais en venir. La gorge sèche, je posai ma main dans le creux de sa robe et remontai jusqu'au pubis. Sous la soie légère je distinguai la copieuse toison. Je m'enfonçai entre ses cuisses qu'elle desserra pour les refermer sur mon poignet lorsque j'atteignis le petit espace les séparant. Dorothée, murmurait-elle Dorothée, doucement. Je ressortis ma main et l'abaissant sur l'ourlet de sa jupe, relevai celle-ci avec la combinaison. J'aperçus ses longues cuisses bronzées gainées de nylon abricot, une affriolante culotte blanche, volupté de dentelle et dont la minceur me révélait la noirceur du buisson couvrant son bas-ventre. Passant un doigt sous le bord du vêtement intime, je frôlai son sexe, brûlant. Encore, encore, c'est bon ! vicieuse, réglons d'abord nos comptes Petite avant de polissonner. Oh, oui ; dispose de moi selon ton plaisir. Charmante invitation, je rabaissai ses robes et l'entraînai vers un fauteuil bas utilisé pour mes élèves. Je m'assis et, d'elle-même, Edith s'allongea à plat ventre en travers de mes genoux. Je la laissai
CUISANTESVACANCESainsi quelques instants savourer l'humiliation de sa position. Édith, personne ne risque de nous surprendre, aussi vais-je pouvoir te corriger sévèrement. D'abord à la main, ensuite aux verges et pour finir au martinet. Mon menu te convient ? ma chérie, mais commence vite j'en Oh, oui ! ai trop envie. impatiente, ignores-tu que l'attente Petite pimente le châtiment ? La jeune femme ne répliqua pas mais elle se tortilla honteusement semblant vouloir m'inciter par les contorsions de sa lune à entamer la punition. J'avoue qu'il me tardait de la satisfaire aussi, m'emparant de sa robe, je la relevai très haut sur son dos, la combinaison suivit le même chemin et ainsi parut l'insolent fessier enveloppé dans une gentille culotte de nylon le moulant à ravir. Édith possède un derrière digne de la Vénus callipyge, d'une convexité émouvante, séparé en deux masses égales par une raie profonde. Sur la plage je l'avais déjà contemplé dans un maillot en détaillant les rondeurs et ne le protégeant guère plus que la culotte le couvrant actuellement. A sa vue, souvent la main me démangea mais cette fois je l'avais entièrement à ma merci. Un jour, tandis que les autres se baignaient encore, elle se dorait au soleil, couchée sur le ventre. Le maillot rouge clair tranchait sur sa peau halée. Elle me demanda d'enduire son dos et ses jambes d'huile solaire ; je la sentais vibrer sous mes attouchements, lorsque je passai aux cuisses elle les écarta largement afin que je protège aussi l'intérieur. De l'entrejambe exigu du maillot s'échappaient quelques poils d'un noir de jais.
CUISANTESVACANCES Si nous étions seules je me bronzerais entièrement. Laissez-moi faire. Et saisissant son maillot je le roulai dans sa raie dégageant les deux fesses moins ambrées que le reste de son corps, continuant mon geste je tordis l'étoffe et démasquai alors l'entrecuisse velu. Imprégnant ma paume d'huile je bassinai les deux globes charnus, je notai ainsi la forme si élastique de son arrière-train lequel frémit et se couvrit de chair de poule. Vous êtes émotive ! faudrait que je sois de bois pour ne pas Il réagir sous vos chatouilles, répliqua-t-elle en tournant son regard vers moi. Ses yeux luisaient de désir, J'accentuai mes pressions et par jeu lui tapotai un peu le verso. Tout son corps ondula, elle enfouit sa tête entre les bras et si son mari n'était remonté vers nous je crois que ce jour-là je l'aurais fessée. Donc, je connaissais parfaitement l'envers de sa personne mais à cette minute je disposais de cette grande jeune femme, je la courbais sous ma loi et je me proposais de lui infliger une sévère correction. Plaçant mon avant-bras sur ses reins je saisis la ceinture de sa culotte et la tirais vers le haut afin de bien sculpter la croupe arrogante. Craintivement les fesses se crispèrent et délicieusement je les claquai. Durant plus d'un quart d'heure je frappai sans relâche et de plus en plus fort. Ce laps de temps écoulé je désirai intégralement nu le derrière de ma victime lentement je la déculottai découvrant peu à peu la raie séparant les deux rondeurs. Une légère rougeur teintait l'épiderme. Je me contentai de baisser le cache-
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