Modeste Mignon – suivi d annexes
218 pages
Français

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Modeste Mignon – suivi d'annexes , livre ebook

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Description

Nouvelle édition 2019 sans DRM de Modeste Mignon de Honoré de Balzac augmentée d'annexes (Biographie).

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Informations

Publié par
Nombre de lectures 3
EAN13 9782368410530
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0007€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

ARVENSA ÉDITIONS La référence des éditions numériques des œuvres classiques en langue française
Retrouvez toutes nos publications, actualités et offres privilégiées sur notre site Internet www.arvensa. com
©Tous droits réservés Arvensa® Éditions ISBN : 9782368410530 Illustration de couverture : Soirée mondaine, par Jean Béraud (1849-1935)
NOTE DE L'ÉDITEUR
L’objecf des Édions Arvensa est de vous faire connaître les œuvres des plus grands auteurs de la liérature classique en langue française à un prix abordable, tout en vous fournissant la meilleure expérience de lecture sur votre liseuse. Nos titres sont ainsi relus, corrigés et mis en forme spécifiquement. Cependant, si malgré tout le soin que nous avons apporté à cee édion, vous noez quelques erreurs, nous vous serions très reconnaissants de nous les signaler en écrivant à notre Service Qualité :
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Arvensa Editions
LISTE DES TITRES
ARVENSA ÉDITIONS NOTE DE L'ÉDITEUR
MODESTE MIGNON
LA COMÉDIE HUMAINE ÉTUDES DE MOEURS SCÈNES DE LA VIE PRIVÉE
ANNEXES
HONORÉ DE BALZAC PAR THÉOPHILE GAUTIER M. DE BALZAC, SES OEUVRES ET SON INF LUENCE SUR LA L ITTÉRATURE CONTEMPORAINE REVUE DES ROMANS PAR EUSÈBE GIRAULT DE SAINT-FARGEAU LA MORT DE BALZAC
MODESTE MIGNON (1844) Honoré de Balzac LA COMÉDIE HUMAINE ÉTUDES DE MOEURS SCÈNES DE LA VIE PRIVÉE Retour à la liste des titres Pour toutes remarques ou suggestions : servicequalite@arvensa.com ou rendez-vous sur : www.arvensa.com
AUNE ÉTRANGÈRE
Fille d'une terre esclave, ange par l'amour, démon par la fantaisie, enfant par la foi, vieillard par l'expérience, homme par le cerveau, femme par le cœur, géant par l'espérance, mère par la douleur et poète par tes rêves ; à toi, qui es encore la Beauté, cet ouvrage où ton amour et ta fantaisie, ta foi, ton expérience, ta douleur, ton espoir et tes rêves sont comme les chaînes qui sou+ennent une trame moins brillante que la poésie gardée dans ton âme, et dont les expressions visibles sont comme ces caractères d'un langage perdu qui préoccupent les savants. DE BALZAC.
Vers le milieu du mois d'octobre 1829, monsieur Simon Babylas Latournelle, un notaire, montait du Havre à Ingouville, bras dessus bras dessous avec son fils, et accompagné de sa femme, près de laquelle allait, comme un page, le premier clerc de l'Étude, un pet bossu nommé Jean Butscha. Quand ces quatre personnages, dont deux au moins faisaient ce chemin tous les soirs, arrivèrent au coude de la route qui tourne sur elle-même comme celles que les Italiens appellent descorniches, le notaire examina si personne ne pouvait l'écouter du haut d'une terrasse, en arrière ou en avant d'eux, et il prit le médium de sa voix par excès de précaution. — Exupère, dit-il à son fils, tâche d'exécuter avec intelligence la pete manœuvre que je vais t'indiquer, et sans en rechercher le sens ; mais si tu le devines, je t'ordonne de le jeter dans ce Styx que tout notaire ou tout homme qui se desne à la magistrature doit avoir en lui-même pour les secrets d'autrui. Après avoir présenté tes respects, tes devoirs et tes hommages à madame et mademoiselle Mignon, à monsieur et madame Dumay, à monsieur Gobenheim s'il est au Chalet ; quand le silence se sera rétabli, monsieur Dumay te prendra dans un coin ; tu regarderas avec curiosité (je te le permets) mademoiselle Modeste pendant tout le temps qu'il te parlera. Mon digne ami te priera de sorr et d'aller te promener, pour rentrer au bout d'une heure environ, sur les neuf heures, d'un air empressé ; tâche alors d'imiter la respiraon d'un homme essoufflé, puis tu lui diras à l'oreille, tout bas, et néanmoins de manière à ce que mademoiselle Modeste t'entende : —Le jeune homme arrive ! Exupère devait parr le lendemain pour Paris, y commencer son Droit. Ce prochain départ avait décidé Latournelle à proposer à son ami Dumay son fils pour complice de l'importante conspiration que cet ordre peut faire entrevoir. — Est-ce que mademoiselle Modeste serait soupçonnée d'avoir une intrigue ? demanda Butscha d'une voix timide à sa patronne. — Chut ! Butscha, répondit madame Latournelle en reprenant le bras de son mari. Madame Latournelle, fille du greffier du tribunal de première instance se trouve suffisamment autorisée par sa naissance à se dire issue d'unefamille parlementaire. CeÇe prétenon indique déjà pourquoi ceÇe femme, un peu trop couperosée, tâche de se donner la majesté du tribunal dont les jugements sont griffonnés par monsieur son père. Elle prend du tabac, se ent raide comme un pieu, se pose en femme considérable, et ressemble parfaitement à une momie à laquelle le galvanisme aurait rendu la vie pour un instant. Elle essaye de donner des tons aristocraques à sa voix aigre ; mais elle n'y réussit pas plus qu'à couvrir son défaut d'instrucon. Son ulité sociale semble incontestable à voir les bonnets armés de fleurs qu'elle porte, les tours tapés sur ses tempes, et les robes qu'elle choisit. Où les marchands placeraient-ils ces produits, s'il n'existait pas des madame Latournelle ? Tous les ridicules de ceÇe digne femme, essenellement charitable et pieuse, eussent peut-être passé presque inaperçus ; mais la nature, qui plaisante parfois en lâchant de ces créaons faloÇes, l'a douée d'une taille de tambour-major, afin de meÇre en lumière les invenons de cet esprit provincial. Elle n'est jamais sore du Havre, elle croit en l'infaillibilité du Havre, elle achète tout au Havre, elle s'y fait habiller ; elle se ditNormande jusqu'au bout des ongles, elle vénère son père et adore son mari. Le pet Latournelle eut la hardiesse d'épouser ceÇe fille arrivée à l'âge an-matrimonial de trente-trois ans, et sut en avoir un fils. Comme il eut obtenu partout ailleurs les soixante mille francs de dot donnés par le greffier, on aÇribua son intrépidité peu commune au désir d'éviter l'invasion du Minotaure, de laquelle ses moyens personnels l'eussent difficilement garan, s'il avait eu l'imprudence de meÇre le feu chez lui, en y meÇant une jeune et jolie femme. Le notaire avait tout bonnement reconnu les grandes qualités de mademoiselle Agnès (elle se nommait Agnès), et remarqué combien la beauté d'une femme passe promptement pour un mari. Quant à ce jeune homme insignifiant, à qui le greffer imposa son nom normand sur les fonts, madame Latournelle est encore si surprise d'être devenue mère, à trente-cinq ans sept mois, qu'elle se retrouverait des mamelles et du lait pour lui, s'il le fallait, seule hyperbole qui puisse peindre sa folle maternité. — Comme il est beau, mon fils !... disait-elle à sa pete amie Modeste en le lui montrant, sans aucune arrière-pensée, quand elles allaient à la messe et que son bel Eugène marchait en avant.
— Il vous ressemble, répondait Modeste Mignon comme elle eût dit : Quel vilain temps ! La silhoueÇe de ce personnage, très accessoire, paraîtra nécessaire en disant que madame Latournelle était depuis environ trois ans le chaperon de la jeune fille à laquelle le notaire et Dumay son ami voulaient tendre un de ces pièges appeléssouricières dans la Physiologie du Mariage. Quant à Latournelle, figurez-vous un bon pet homme, aussi rusé que la probité la plus pure le permet, et que tout étranger prendrait pour un fripon à voir l'étrange physionomie à laquelle le Havre s'est habitué. Une vue, dite tendre, force le digne notaire à porter des luneÇes vertes pour conserver ses yeux, constamment rouges. Chaque arcade sourcilière, ornée d'un duvet assez rare, dépasse d'une ligne environ l'écaille brune du verre en en doublant en quelque sorte le cercle. Si vous n'avez pas observé déjà sur la figure de quelque passant l'effet produit par ces deux circonférences superposées et séparées par un vide, vous ne sauriez imaginer combien un pareil visage vous intrigue ; surtout quand ce visage, pâle et creusé, se termine en pointé comme celui de Méphistophélès que les peintres ont copié sur le masque des chats, car telle est la ressemblance offerte par Babylas Latournelle. Au-dessus de ces atroces luneÇes vertes s'élève un crâne dénudé, d'autant plus arficieux que la perruque, eu apparence douée de mouvement, a l'indiscréon de laisser passer des cheveux blancs de tous côtés, et coupe toujours le front inégalement. En voyant cet esmable Normand, vêtu de noir comme un coléoptère, monté sur ses deux jambes comme sur deux épingles, et le sachant le plus honnête homme du monde, on cherche, sans la trouver, la raison de ces contresens physiognomiques. Jean Butscha, pauvre enfant naturel abandonné, de qui le greffier Labrosse et sa fille avaient pris soin, devenu premier clerc à force de travail, logé, nourri chez son patron qui lui donne neuf cents francs d'appointements, sans aucun semblant de jeunesse, presque nain, faisait de Modeste une idole : il eût donné sa vie pour elle. Ce pauvre être, dont les yeux semblables à deux lumières de canon sont pressés entre des paupières épaisses, marqué de la pete-vérole, écrasé par une chevelure crépue, embarrassé de ses mains énormes, vivait sous les regards de la pié depuis l'âge de sept ans : ceci ne peut-il pas vous l'expliquer tout ener ? Silencieux, recueilli, d'une conduite exemplaire, religieux, il voyageait dans l'immense étendue du pays appelé, sur la carte de Tendre, Amour-sans-espoir, les steppes arides et sublimes du Désir. Modeste avait surnommé ce grotesque premier clerc le nain mystérieux. Ce sobriquet fit lire à Butscha le roman de Walter ScoÇ, et il dit à Modeste : — Voulez-vous, pour le jour du danger, une rose de votre nain mystérieux ? Modeste refoula soudain l'âme de son adorateur dans sa cabane de boue, par un de ces regards terribles que les jeunes filles jeÇent aux hommes qui ne leur plaisent pas. Butscha se surnommait lui-même leclerc obscur, sans savoir que ce calembour remonte à l'origine des panonceaux ; mais il n'était, de même que sa patronne, jamais sorti du Havre. Peut-être est-il nécessaire, dans l'intérêt de ceux qui ne connaissent pas le Havre, d'en dire un mot en expliquant où se rendait la famille Latournelle, car le premier clerc y est évidemment inféodé. Ingouville est au Havre ce que Montmartre est à Paris, une haute colline au pied de laquelle la ville s'étale, à ceÇe différence près que la mer et la Seine entourent la ville et la colline, que le Havre se voit fatalement circonscrit par d'étroites forficaons, et qu'enfin l'embouchure du fleuve, le port, les bassins, présentent un spectacle tout autre que celui des cinquante mille maisons de Paris. Au bas de Montmartre, un océan d'ardoises montre ses lames bleues figées ; à Ingouville, on voit comme des toits mobiles agités par les vents. CeÇe éminence, qui, depuis Rouen jusqu'à la mer, côtoie le fleuve en laissant une marge plus ou moins resserrée entre elle et les eaux, mais qui certes conent des trésors de piÇoresque avec ses villes, ses gorges, ses vallons, ses prairies, acquit une immense valeur à Ingouville depuis 1816, époque à laquelle commença la prospérité du Havre. CeÇe commune devint l'Auteuil, le Ville-d'Avray, le Montmorency des commerçants qui se bârent des villas, étagées sur cet amphithéâtre pour y respirer l'air de la mer parfumé par les fleurs de leurs somptueux jardins. Ces hardis spéculateurs s'y reposent des fatigues de leurs comptoirs et de l'atmosphère de leurs maisons serrées les unes contre les autres, sans
espace, souvent sans cour, comme les font et l'accroissement de la populaon du Havre, et la ligne inflexible de ses remparts, et l'agrandissement des bassins. En effet, quelle tristesse au cœur du Havre et quelle joie à Ingouville ! La loi du développement social a fait éclore comme un champignon le faubourg de Graville, aujourd'hui plus considérable que le Havre, et qui s'étend au bas de la côte comme un serpent. A sa crête, Ingouville n'a qu'une rue ; et, comme dans toutes ces posions, les maisons qui regardent la Seine ont nécessairement un immense avantage sur celles de l'autre côté du chemin auxquelles elles masquent ceÇe vue, mais qui se dressent, comme des spectateurs, sur la pointe des pieds, afin de voir par-dessus les toits. Néanmoins il existe là, comme partout, des servitudes. Quelques maisons assises au sommet occupent une posion supérieure ou jouissent d'un droit de vue qui oblige le voisin à tenir ses construcons à une hauteur voulue. Puis la roche capricieuse est creusée par des chemins qui rendent son amphithéâtre pracable ; et, par ces échappées, quelques propriétés peuvent apercevoir ou la ville, ou le fleuve, ou la mer. Sans être coupée à pic, la colline finit assez brusquement en falaise. Au bout de la rue qui serpente au sommet, on aperçoit les gorges où sont situées quelques villages, Sainte-Adresse, deux ou trois saints-je-ne-sais-qui, et les criques où mugit l'océan. Ce côté presque désert d'Ingouville forme un contraste frappant avec les belles villas qui regardent la vallée de la Seine. Craint-on les coups de vent pour la végétaon ? les négociants reculent-ils devant les dépenses qu'exigent ces terrains en pente ?... Quoiqu'il en soit, le touriste des bateaux à vapeur est tout étonné de trouver la côte nue et ravinée à l'ouest d'Ingouville, un pauvre en haillons à côté d'un riche somptueusement vêtu, parfumé. En 1829, une des dernières maisons du côté de la mer, et qui se trouve sans doute au milieu de l'Ingouville d'aujourd'hui, s'appelait et s'appelle peut-être encorele Chalet. Ce fut primivement une habitaon de concierge avec son jardinet en avant. Le propriétaire de la villa dont elle dépendait, maison à parc, à jardins, à volière, à serre, à prairies, eut la fantaisie de meÇre ceÇe maisonneÇe en harmonie avec les somptuosités de sa demeure, et la fit reconstruire sur le modèle d'uncottage. Il sépara ce coÇage de son boulingrin orné de fleurs, de plates-bandes, la terrasse de sa villa, par une muraille basse le long de laquelle il planta une haie pour la cacher. Derrière le coÇage, nommé, malgré tous ses efforts, le Chalet, s'étendent les potagers et les vergers. Ce Chalet, sans vaches ni laiterie, a pour toute clôture sur le chemin un palis dont les charniers ne se voient plus sous une haie luxuriante. De l'autre côté du chemin, la maison d'en face, soumise à une servitude, offre un palis et une haie semblables qui laissent la vue du Havre au Chalet. CeÇe maisonneÇe faisait le désespoir de monsieur Vilquin, propriétaire de la villa. Voici pourquoi. Le créateur de ce séjour dont les détails disent énergiquement :Cy reluisent des millions !si bien étendu son parc vers la campagne que pour ne pas avoir ses jardiniers, n'avait disait-il, dans ses poches. Une fois fini, le Chalet ne pouvait plus être habité que par un ami. Monsieur Mignon, le précédent propriétaire, aimait beaucoup son caissier, et ceÇe histoire prouvera que Dumay le lui rendait bien, il lui offrit donc ceÇe habitaon. A cheval sur la forme, Dumay fit signer à son patron un bail de douze ans à trois cents francs de loyer, et monsieur Mignon le signa voloners en disant : — Mon cher Dumay, songes-y ? tu t'engages à vivre douze ans chez moi. Par des événements qui vont être racontés, les propriétés de monsieur Mignon, autrefois le plus riche négociant du Havre, furent vendues à Vilquin, l'un de ses antagonistes sur la place. Dans la joie de s'emparer de la célèbre villa Mignon, l'acquéreur oublia de demander la résiliaon de ce bail. Dumay, pour ne pas faire manquer la vente, aurait alors signé tout ce que Vilquin eût exigé ; mais, une fois la vente consommée, il nt à son bail comme à une vengeance. Il resta dans la poche de Vilquin, au cœur de la famille Vilquin, observant Vilquin, gênant Vilquin, enfin le taon des Vilquin. Tous les mans, à sa fenêtre, Vilquin éprouvait un mouvement de contrariété violente en apercevant ce bijou de construcon, ce Chalet qui coûta soixante mille francs, et qui scinlle comme un rubis au soleil. Comparaison presque juste ! L'architecte a bâ ce coÇage en briques du plus beau rouge rejointoyées en blanc. Les fenêtres sont peintes en vert vif, et les bois en brun rant sur le jaune. Le toit s'avance de plusieurs pieds.
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