The Greek question - article ; n°4 ; vol.40, pg 751-762
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Cahiers du monde russe : Russie, Empire russe, Union soviétique, États indépendants - Année 1999 - Volume 40 - Numéro 4 - Pages 751-762
George F. Jewsbury. The Greek question : The view from Odessa 1815-1822. Coming as they did in 1821, when Tsar Alexander I simultaneously led the European Congress system against liberal and national uprisings and maintained the traditional pressure on the Ottoman Empire, the Northern and Southern Greek revolutions presented a grave challenge to Russia. In the first three months of that year, the focal point of that challenge was in Odessa, led by its Governor-General, the French émigré L. A. Langeron. Because of St. Petersburg's slowness in communicating the explicit changes in its foreign policy down the chain of command, Langeron pursued the traditional practice of supporting the Greeks in Odessa and their activities in the Black Sea region until the end of March. Prince Alexander Ypsilanti took advantage of this to use Russia as a staging ground for the Greek rising in the Danubian Principalities. After being roundly criticized by the Tsar and his Foreign Minister, Nesselrode, Langeron stopped support for the Greeks and began to follow closely the actions of the British in the region, which he considered hostile to Russia. He kept an especially wary eye on the British consul in Odessa and the ambassador in Constantinople.
George F. Jewsbury. La question grecque vue depuis Odessa, 1815-1822. Les révolutions des régions du nord et du sud de la Grèce qui éclatèrent en 1821, alors qu'Alexandre Ier poussait le Congrès européen à s'opposer aux soulèvements progressistes et nationalistes et continuait à exercer sa pression sur l'Empire Ottoman, furent une véritable gageure pour la Russie. Au cours des trois premiers mois de cette année-là, le foyer des troubles se trouvait à Odessa dont le gouverneur général était l'émigré français. L. A. Langeron. En raison de la lenteur de la transmission depuis Saint-Pétersbourg des indications quant aux changements décidés en politique extérieure. Langeron poursuivit la tradition russe de soutien aux Grecs d'Odessa et à leurs activités dans la région de la mer Noire jusquà la fin du mois de mars. Le prince Alexandre Ypsilanti en profita pour utiliser la Russie comme point de départ du soulèvement grec dans les principautés du Danube. Après s'être fait sévèrement critiquer par le tsar et son ministre des Affaires étrangères, Nesselrode, Langeron mit fin à son soutien des Grecs et entama une surveillance des activités britanniques dans la région — activités qu'il pensait hostiles à la Russie. Il surveilla plus particulièrement le consul britannique d'Odessa et l'ambassadeur de Constantinople.
12 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1999
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