Questions fréquentes au sujet de l’étude d’impact quantitative sur le  risque de marché
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Questions fréquentes au sujet de l’étude d’impact quantitative sur le risque de marché Nous avons reçu plusieurs questions des participants au sujet de l’étude d’impact quantitative sur le risque de marché. Voici des réponses aux questions les plus fréquentes : 1. Les instructions au sujet du calcul des flux de trésorerie pour le coussin du risque de taux d’intérêt indiquent ceci : « Pour les actifs avec des flux de trésorerie non fixes (par exemple, les actions, les biens immobiliers, les instruments dérivés), les assureurs devraient utiliser leurs valeurs au bilan à la durée zéro moins la valeur actualisée des flux de trésorerie fixes de ces actifs, s’il y a lieu. Un flux de trésorerie fixe est un flux de trésorerie dont le montant est garanti contractuellement et dont la valeur ne dépend pas de prix de marché ou de taux d’intérêt futurs. » Est-ce que les actions privilégiées devraient être traitées comme des actifs avec des flux de trésorerie fixes ou non fixes? Est-ce que les flux de trésorerie des actions privilégiées devraient être inclus avec les autres flux de trésorerie? Puisque les flux de trésorerie des actions privilégiées ne sont pas garantis contractuellement, ces éléments d’actif devraient donc être traités comme des actifs avec des flux de trésorerie non fixes. Cependant, étant donné que les actions privilégiées ne subissent pas des fluctuations de valeur marchande aussi extrêmes que celles des actions ordinaires, elles ne sont ...

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Questions fréquentes au sujet de l’étude d’impact quantitative
sur le risque de marché
Nous avons reçu plusieurs questions des participants au sujet de l’étude d’impact
quantitative sur le risque de marché. Voici des réponses aux questions les plus
fréquentes :
1. Les instructions au sujet du calcul des flux de trésorerie pour le coussin du risque de
taux d’intérêt indiquent ceci : « Pour les actifs avec des flux de trésorerie non fixes
(par exemple, les actions, les biens immobiliers, les instruments dérivés), les
assureurs devraient utiliser leurs valeurs au bilan à la durée zéro moins la valeur
actualisée des flux de trésorerie fixes de ces actifs, s’il y a lieu. Un flux de trésorerie
fixe est un flux de trésorerie dont le montant est garanti contractuellement et dont la
valeur ne dépend pas de prix de marché ou de taux d’intérêt futurs. »
Est-ce que les actions privilégiées devraient être traitées comme des actifs avec des
flux de trésorerie fixes ou non fixes? Est-ce que les flux de trésorerie des actions
privilégiées devraient être inclus avec les autres flux de trésorerie?
Puisque les flux de trésorerie des actions privilégiées ne sont pas garantis
contractuellement, ces éléments d’actif devraient donc être traités comme des
actifs avec des flux de trésorerie non fixes. Cependant, étant donné que les
actions privilégiées ne subissent pas des fluctuations de valeur marchande aussi
extrêmes que celles des actions ordinaires, elles ne sont pas incluses dans le
calcul du risque lié aux actions. Les flux de trésorerie des actions privilégiées
devraient être compris avec les autres flux de trésorerie définis comme non fixes.
2. En ce qui concerne l’assurance vie universelle, les instructions indiquent que
« Lorsque les taux ne sont pas garantis au-delà de la période courante du CPG, on
devrait faire l’hypothèse que les fonds du titulaire de police se convertiront après
cette période en fonds à intérêt quotidien dont les taux sont cohérents avec les taux
d’intérêt sans risque du scénario testé. » S’il existe une option de renouvellement
pour la même échéance au taux « d’argent frais », mais avec le taux d’intérêt
minimum garanti courant, est-ce que le renouvellement projeté devrait être pour une
même échéance ou au taux d’intérêt quotidien?
Comme indiqué dans les instructions, la projection devrait être au taux d’intérêt
quotidien, à moins que celui-ci ne soit inférieur au taux garanti. Dans ce dernier
cas, le taux garanti devrait être utilisé. Si les taux garantis ne s’appliquent qu’à
des CPG à terme, alors les taux quotidiens peuvent être utilisés sans minimum.
3. Veuillez expliquer ce que signifie une appréciation de 200 % de l’indice boursier
dans le scénario 2 du calcul du coussin de solvabilité des fonds distincts.
L’interprétation de ce scénario devrait être que, si la valeur de l’indice est de
100 $ à la date d’évaluation, il doit augmenter jusqu’à 200 $ sur une période de
44 mois, puis chuter à 75 $ le 45
e
mois. Nous espérons que ceci clarifie les
calculs devant être faits par les assureurs.
4. Dans les instructions concernant les risques des fonds distincts pour les protections
PDMG, il est indiqué ceci :
Calculer les paiements devant être déboursés par le fonds général de la
compagnie à la première date à laquelle un achat de rente peut être fait.
Ne devrait-on pas lire « jusqu'à la première date à laquelle un achat de rente peut se
produire »?
Vous avez raison, cela devrait se lire « jusqu'à » et non « à ».
5. En ce qui concerne les polices avec participation, sur la page sommaire, il est écrit
que nous devons inscrire la réduction maximale de la valeur actualisée des
participations futures qui est raisonnable selon toutes circonstances. Très peu
d'indications sont données autour de cette réduction. La VA des participations varie
en fonction du scénario, mais cela ne semble pas être envisagé. Pourriez-vous
fournir des éclaircissements ou un exemple?
La réduction maximale serait la VA maximale des réductions en fonction de
n'importe quel scénario.
6. Au bas de la feuille des flux de trésorerie de l'actif et du passif, il ya une cellule pour
la VA des MÉD aux taux sans risque. Les flux de trésorerie des MÉD ne sont pas
facilement disponibles.
Les actuaires désignés sont tenus de fournir au BSIF des informations sur les VA
des MÉD dans le Rapport de l'actuaire désigné. Vous pouvez estimer les VA des
MÉD basées sur les taux sans risque à partir de la VA en fonction des taux du
portefeuille. La VA des MÉD aux taux sans risque devrait exclure la composante
C3, mais pas la C1.
7. Pour les taux à 30 ans et +, il est écrit que nous devons utiliser les taux fixes
mentionnés (par exemple, 6 % pour la base). Est-ce que cela signifie que la courbe
des rendements se déplace immédiatement à 6 % fixe après t = 30 ans (ceci
implique que la courbe des taux à terme (« forward ») = courbe des taux au
comptant (« spot »))?
La courbe de rendement s'arrête à 30 et ne dépend pas du 6 % après 30 ans. Le
6 % s'applique sans aucune référence à la courbe de rendement.
8. Vous avez inclus des orientations explicites sur les flux de trésorerie des VU.
Pouvez-vous clarifier vos attentes pour les autres flux de trésorerie des produits qui
peuvent varier selon le scénario d'intérêt tels que l'IRP, l'inflation des frais, les
primes sur les produits ajustables et les garanties d'intérêt minimum?.
Les FT devraient être cohérents selon les scénarios.
9. Pour le risque de change, il n'est pas clair s’il faut faire une VA aux taux sans risque
ou à d’autres taux. Par exemple, la valeur au bilan de l'actif peut égaler la valeur du
passif (les deux dans la même monnaie non canadienne). Est-ce que ça signifie que
les valeurs à indiquer sont zéro? Par exemple, des actifs ainsi que des flux de
trésorerie des actifs sont liés aux MÉD sur le C3, mais aucun flux de trésorerie du
passif. Veuillez préciser ce que vous aviez prévu.
Vous devez utiliser la VA aux taux sans risque. Vous devez utiliser tous les FT
des actifs et du passif.
10.
Le calcul des valeurs de taux d'intérêt pour la détermination du risque de taux
d'intérêt peut aboutir à un résultat contre-intuitif dans certaines situations. Le résultat
de la formule T2 pour le choc à la baisse donne un nombre négatif. Cela implique
que ce qui est censé être un choc à la baisse se traduit par un choc à la hausse.
Plutôt que de laisser cela se produire, notre approche en attendant de nouvelles
orientations, sera soit 1) de permettre un choc à la baisse maximal, c'est-à-dire
d’appliquer un plancher de zéro au taux « choqué », ou 2) d’appliquer un plancher
de zéro à T2. Nous apprécierions que vous nous indiquiez quelle approche est
raisonnable ou si le BSIF préférerait que l'on autorise le calcul de T2 à produire un
nombre négatif résultant donc à un choc à la hausse alors qu’un choc à la baisse est
attendue.
Si le calcul du choc à la baisse produit un taux d'intérêt négatif, le taux devrait
être fixé à zéro.
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