Notre-Dame-d’AmourJean Aicard1896À Mademoiselle Madeleine AicardMa bonne vieille tante,Pourquoi je vous dédie ce livre ? Parce qu’on y voit passer deux figures qui, je lesais, vous toucheront.C'est, d'abord, dans la chapelle abandonnée, la pauvre statuette de Notre-Dame-d’Amour.C'est, ensuite, la vieille mère du gardian Pastorel.... Ne trouvez-vous pas qu’elleressemble un peu à la vôtre, à ma grand’mère ? Et n’est-ce pas que, pour cela,vous aimerez mon livre ?Votre neveu dévoué,Jean Aicard.I. Notre-Dame-d’AmourII. La tardarasse guette la cailleIII. Le remords de MartégasIV. À qui le cheval ?V. Le sultan et son sérailVI. Le conseil des bêtesVII. La cocarde de ZanetteVIII. RosselineIX. Ce que Zanette ignoreX. Zanette et RosselineXI. DompteurXII. La poursuiteXIII. L’écurie de maître AugiasXIV. Notre-Dame-d’Amour, exaucez-moi !XV. La belle et la bêteXVI. Le chevalierXVII. NoblesseXVIII. Le sédenXIX. À qui le cheval ?XX. Deux bonnes âmesXXI. Le plat de lentillesXXII. ToujoursXXIII. L’amour souffle où il veutXXIV. ParjureXXV. L’abrivadeXXVI. Aux arènesXXVII. Le grand jourXXVIII. Une vendettaXXIX. Notre-Dame-d’AmourNotre-Dame-d’Amour : IZanette, c’était son nom de Jeanne, de Jeannette, comme elle le prononçait en zézayant, lorsqu’elle était toute petite. Tel il lui étaitresté. Ce qui, aussi, lui était resté, c’était sa grâce d’enfance, on ne sait quoi de tout mignon, de plus jeune qu’elle-même. Elle étaitbelle de ses beaux seize ans ...
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