LES FELICIEN 4

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HISTOIRES D,AUTREFOIS
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30 octobre 2011

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47

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Français

LES FELICIEN 4
IL était , l;ainé, et j,étais le cadet, à l,école il était le premier,
moi le dernier, il attirait les regards, moi les rires
douteux
IL était la fierté des parents, j,étais la honte, il était beau, et
j,étais laid
Lorsque la nature commet une telle erreur, Dieu devrait nous
garder toujours petits, pour ne pas souffrir de la
difference
Premier , dernier, beau, où laid, alors ne voudrait plus rien
dire. Et puis qu,elle importance cela pourrait avoir,
pour jouer aux billes, où à chat perché?
Un enfant laid! joue t-il moins bien au ballon, qu,un enfant
favorisé par la nature ?
Non bien sûr, la laideur n,est pas une maladie, seulement une
blessure, dont on ne guérit jamais
Car, lorsqu,on grandit, et que sur la pointe des pieds, on se
regarde dans le miroir des grands, on se retrouve
face à face avec l,autre soi-même
l héritier, d,une disgrace, que l,on reçoit en pleine figure, on
comprend alors, que la laideur, c,est comme un
reproche dans les yeux des autres
La jalousie, dans mon coeur s,installa , elle poussa en moi
comme de la mauvaise herbe dans un champs de
blé, envahissant mes pensées,
troublant mon esprit, torturant mon âme
Le long calvaire allait commencer. C,est alors, que je me mis
a faire des rêves bizzares, souvant la nuit, je
m,approchais du vieux puits, en me
penchant au dessus, pour en regarder la profondeur, je
perdais l,équilibre, et tombais au fond, j,essayais
de crier, en vain, aucun son ne sortait de
ma bouche. Je me réveillais en sueur, tremblant comme une
feuille, j,étais terrorisé, je m,efforçais, de garder les
yeux grands ouverts, repoussant
de toutes mes forces le sommeil, ce rêve m,éffrayais
Trés vite, je me mis à épier , Pierre, j,enviais sa beauté, et
aussi son intelligence .Bientôt, je m,aperçu de,
l,intèrêt, que lui portaient, le pére et la
mére, leurs regards complices, m,obsédaient
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