Jade et Caroline
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Description

1Vendredi 3 Mars. Si tu l'avais vu! Mon Dieu un ange! Une pureté descendue du ciel! Heureusement que je mens bien à maman, elle a failli la découvrir ma nouvelle passion amoureuse. Caroline. Si pure, si belle, si...euphorique. Quand je la vois, j'ai tout de suite le sourire. Merci, merci à eux de me l'avoir fais découvrir. Dans ce monde noir je perçois enfin un peu de lumière! Mais il a fallu descendre bien bas pour la trouver ma Caroline. Et je pense que si je veux la revoir j'aurais intérêt à mettre le prix. Prendre l'argent de maman est peut-être trop risqué et j'ai pas envie de me faire taper dessus encore une fois. Déjà que je ne veux pas rentrer chez moi... mais le squat où je suis manque de confort et c'est bien trop sale. Je préfère rentrer. Je trouverais un moyen de revoir Caroline. Adieu ma belle dame habillée de blanc. A bientôt pour un autre rendez-vous au paradis. Le rêve est cher mais il en vaut la peine. Au fait, je ne me suis pas présentée, Je suis Jade. J'ai Bientôt 18ans, dans 2ans en fait. Et dans bientôt, je partirais de chez moi. Vendredi 3 Mars Encore! il m'en faut encore d'elle. Toujours plus, encore plus! Maman me soûle, pourquoi elle n'est pas avec moi Caroline! Supporter cette mère, pourquoi je suis pas orpheline moi. J'aimerais lui mettre dans sa tronche parfois! Ça me démange tellement ! Je n'ai rien droit de faire, alors je m'enfuie en pleine nuit pour aller retrouver mes potes. Mais là ils ont pas été gentil. Ils m'ont menacé.

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Publié le 25 mars 2013
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Langue Français

Extrait

1Vendredi 3 Mars. Si tu l'avais vu! Mon Dieu un ange! Une pureté descendue du ciel! Heureusement que je mens bien à maman, elle a failli la découvrir ma nouvelle passion amoureuse. Caroline. Si pure, si belle, si...euphorique. Quand je la vois, j'ai tout de suite le sourire. Merci, merci à eux de me l'avoir fais découvrir. Dans ce monde noir je perçois enfin un peu de lumière! Mais il a fallu descendre bien bas pour la trouver ma Caroline. Et je pense que si je veux la revoir j'aurais intérêt à mettre le prix. Prendre l'argent de maman est peut-être trop risqué et j'ai pas envie de me faire taper dessus encore une fois. Déjà que je ne veux pas rentrer chez moi... mais le squat où je suis manque de confort et c'est bien trop sale. Je préfère rentrer. Je trouverais un moyen de revoir Caroline. Adieu ma belle dame habillée de blanc. A bientôt pour un autre rendez-vous au paradis. Le rêve est cher mais il en vaut la peine. Au fait, je ne me suis pas présentée, Je suis Jade. J'ai Bientôt 18ans, dans 2ans en fait. Et dans bientôt, je partirais de chez moi.
Vendredi 3 Mars Encore! il m'en faut encore d'elle. Toujours plus, encore plus! Maman me soûle, pourquoi elle n'est pas avec moi Caroline! Supporter cette mère, pourquoi je suis pas orpheline moi. J'aimerais lui mettre dans sa tronche parfois! Ça me démange tellement ! Je n'ai rien droit de faire, alors je m'enfuie en pleine nuit pour aller retrouver mes potes. Mais là ils ont pas été gentil. Ils m'ont menacé. Ils m'ont dit que si je ramenais pas d'argent je ne voyais plus Caroline! Mais comment je vais faire moi? J'ai besoin d'elle et je n'ai pas de sous! Et ils me demandent beaucoup trop. Je ne sais où trouver cet argent. A part peut-être dans le coffre de grand-mère. Oui ça pourrait marcher elle est sourde et aveugle cette vieille carcasse! Voilà je l'ai largent !!!! Samedi 4 Mars Putain il pleut. Fuck. J'ai pas le droit de sortir sous la pluie! Heureusement le coffre de la vieille taupe contenait assez d'argent pour que je puisse ramener Caroline à la maison. Caroline est si bonne. Je me demande de quoi elle est réellement faite. En fait, je ne veux pas savoir. Je veux juste l'avoir. Pour moi, à moi, pour l'éternité. J'ai l'impression de voler dans ma chambre! Que tout bouge sans que je touche les objets! C'est magique! J'adore cette sensation de liberté, de puissance, de jouissance et d'euphorie! Je retrouve en elle cette insouciance que j'avais petite. Oui, maintenant je suis grande. Ce sont mes amis qui me l'on dit! Et là..ouahou!! J'adore, j'aime! J'en veux !!! Encore un rail et je rejoins la SS en bas. La SS ? c'est ma mère. Vivement que je me casse de là. Dimanche 5 Mars J'ai plus Caroline. Y il a un repas de famille à la maison. La taupe est là avec la SS et mes cousins et cousines. J'exige le suicide.
Samedi 5 Mars Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer. J'ai honte et je n'ose parler. Sauf à toi. Je jouais avec mes cousins en repensant à Caroline. J'avais hâte de la retrouver. Je ne voyais qu'elle, partout! Et là, Joreis mon plus grand cousin de 20ans m'a dit de venir avec lui dans la cabane dehors. Au début je ne voulais pas. Je n'avais pas envie de sortir. Mais il a insisté et m'a agrippé le bras d'une telle force que je ne pouvais pas dire non. Je n'avais pas le choix de toute façon. On est donc parti dans cette cabane à moitié en ruine puisque cela fait longtemps que je n'y joue plus. Il m'a poussé contre la paroi de palettes qui sert de mur. Je me suis prise un clou dans le bras, les larmes coulaient sur mes joues. Chaudes, salées, et remplies d'incompréhension. Joreis commença à se déshabiller rapidement devant moi. Je voyais cette chose énorme entre ses jambes dirigée vers moi, comme s'il me pointait "du doigt" d'un signe accusateur. Il m'agrippa les cheveux, me laissant pas le temps de reprendre mon souffle. M'assainit un coup dans la nuque qui me fit tomber à terre. Presque inconsciente. Ma vue se troublait, mon corps tressaillait pendant qu'il m'arrachait mes vêtements. Je lui balbutia que maman allait m'engueuler si elle voyait l'état de mes vêtements. Mais il s'en foutait. Je me suis retrouvée nue, entourée de clou rouillée, les bras en croix comme à l'heure de mon jugement. Il prit un bout de ficelle et m'attacha solidement entre les palettes pour que je ne puisse bouger et sûrement lui mettre des coups pour me débattre. D'un geste brutal, il écarta mes jambes, senti l'odeur de mon vagin et y mis un doigt férocement. Comme avide de cette entrée alors inconnue pour moi. L'étonnement m'arracha un cri ce qui me valu une baffe. Je me mis à saigner du nez. Le mélange de sang et de larmes vinrent recouvrir mes seins. Cela mis Joreis en pure exaltation. Comme si, j'étais sa Caroline. Pourquoi, pourquoi est-il soudain devenu ainsi? Moi qui m'entendais bien avec lui. Il me mit ma culotte dans la bouche pour m'empêcher d'alerter les parents. La bave retrouva le sang et les larmes. Je ferma les yeux, acceptant malgré moi le sort qui m'étais réserve. Mais je ne fuspas au bout de mes peines. Non, il n'allait pas s'arrêter ainsi. il attrapa mes seins comme de vulgaires oranges, les serrant de plus en plus fort jusqu'à ce qu'ils
deviennent mauve. Le sang ne circulant plus en eux. Ce jour là j'ai grandi. Mais je me suis jurer à Caroline. A jamais et pour l'oubli. Il se remit à me frapper de plus en plus vite. M'insultant de pucelle sans avenir, de pourriture fan de poudre blanche (comment savait-il?), de salope à la jupe courte. Il m'a dit que je serais sa pute si je voulais ma Caroline. Et d'un coup sec, son sexe rencontra le mien. Sans présentation. Sans préambule. Le choc. Mes yeux s'ouvrirent sous la surprise et je le vis, fier et sur moi balançant ses hanches d'avant en arrière de plus en fort en me disant que c'est tout ce que je méritais. "Me faire défoncer la chatte comme la catin que j'allais devenir". J'aurais voulu mourir. Prendre un clou et me l'enfoncer dans le coeur. Me crever les yeux pour ne pas me souvenir. Mais ce serait bien trop facile. Trop simple. La salope de Jade devra attendre avant de rendre son âme au diable. Une fois qu'il eut fini, il se leva, gicla sa substance blanche sur mon visage et parti en rigolant, rhabillé. Propre. Moi gisant sur se sol dégueulasse, attachée, frappée de tous les côtés, bleuit aux seins. Horreur. Même la guerre ne valait pas se carnage. Je suis restée là jusqu'à la tombé de la nuit. Il était venu me détaché avant qu'il ne reparte. Et avec cette promesse: "Jade, tu es à moi petite chienne et ta Caroline si tu l'as veux, il faudra la payer au prix fort. Si tu en parles à quelqu'un, je te saigne comme la truie que tu es.". Que dire, que faire? Fermer sa gueule et grandir. Revoir Caroline au plus vite. Mais pour cela, il faudra encore que je saigne de mon vagin. il m'a déchiré. A jamais. Caroline....j'accepterais tout pour toi. Même d'avoir la tête baissé.
Lundi 6 Mars Caroline Ô Caroline! Comme tu me manques ma belle poudre blanche! toi qui m'amène à Morphée! Si pur dans sa façon d'être. Ailes d'une nuit qui m'emportent loin de ce monde noir. Caroline! Sais-tu que ma mère a encore bu... Mon père m'a frappé à cause de ça. Comme si c'était ma faute. Reviens moi pour me faire oublier! La scène était vraiment horrible. La voir souffrir ainsi devant son verre, me regardant rampant par terre pour essayer de fuir. Et elle, immobile, scotché par sa boisson. L'alcool est pourri. Je te préfère de loin! Mon père, ce cher géniteur qui ne mérite pas son nom m'a giflé jusqu'au sang. Roulant par terre, écrasée par ses mains qui changeaient la couleur de ma peau comme des magiciennes. Muette. Lâche. voilà ce que je suis Caroline. Une petite fille lâche. Je dois supporter les coups, le cutter sur mon bras qui peu à peu grave les mots "fille indigne". Je devrais être là pour elle? Pour cette mère qui ne fais que boire et cuver? Sans un mot. Je ne me souviens même pas de la dernière fois où elle m'a pris dans ses bras quand j'ai eu peur le soir. Je saigne. je ne sais plus quoi faire de ce sang. Où le mettre tellement il tombe de moi. Je devrais encore une fois tout laver. Cacher la marque du fer à repasser dans mon dos. Couvrir mes bras et mon cou des marques de strangulation. Un jour, il me tuera. Ô Caroline que ton odeur putride me manque! Mais ce soir je m'en vais te chercher. Écartant les cuisses comme une catin fermant sa grande gueule. Tête baissée avec la queue dans la bouche. A quatre pattes pour souffrir encore plus. Mais si c'est cela le prix, je l'accepte. On me baise pour que je me paie mon rail. Ô Caroline! Encore un trait, juste un seul! Offre moi tes rêves dans une ligne de poudre. 1g = une sodomisation. 2g = sodomisation + queue dans la bouche. Une tournante me vaudrait 5g de toi. Et ce soir, je suis prête à tout. Prête à me faire embrocher, attachée, fouettée, étranglée juste pour cette neige que tu es, Caroline. Un trait de paradis éphémère, un papillon dans la narine. Consomme mon cerveau comme je te respire. Empare toi de moi à jamais. Mourir de toi est un beau feu d'artifice. Prends tout. Mes organes, mes seins, ma bouche, mon cul, ma langue sur un gland humide, ma chatte déchirée par trois queues en même temps, mes mains attachées par le barbelé, ma peau brûlée pour amuser la galerie. Ma seule envie, mon seul fantasme, c'est toi. je me fiche de leurs vidéos, de leurs jeux. Je te veux ma chère et tendre Caroline. Ce soir, je leur montrerais mon cul. Qu'ils y aillent à trois, c'est bien le dernier de mes soucis tant qu'ils me donnent ce que je veux. Toi. Toute entière. J'en suis avide. Je bave rien qu'à l'idée de te revoir. Caroline, Je t'aime. J'aime te sentir pénétrer dans mon corps, accapare toi de moi au plus profond de mon subconscient. Je suis toi, tu es moi. Ensemble nous sommes parfaites.
Mardi 7 Mars Une chose incroyable vient d'arriver. Je suis interdis de vois mes parents. Je crois que c'est ma faute. Je n'ai pas bien mis mes pansements pour aller en sport ce matin et la prof a tout vu. Papa va essayer de me retrouver pour me tuer. J'ai peur. Je ne sais même pas où je suis ici. Il y a deux enfants blondinets et pathétiques, un père à moustache et bien habillé, une mère avec un tablier, les cheveux coiffés et qui fait à manger de surcroît! Je nage en plein délire! Je ne peux pas rester ici. Cette connasse m'appelle "ma pitchoune" elle sait rien cette femme qui se fait troncher par un moustachu. Je suis sûre qu'elle ne connait même pas l'odeur d'une autre bite! Il faut que je me barre, je deviens folle. Mais avant, j'ai faim. La prière? il faut faire une prière avant de manger son repas?! La seule prière que j'ai jamais faite c'est "pitié faite qu'il ne me batte pas ce soir!". C'est vraiment la maison des fous. Je bouffe, je prends de la tunnes et je m'arrache. Je retourne au squat. Là bas au moins, je sais où je suis. Près de toi ma Caroline. Tu es ma seule et unique amie. Et rien ni personne ne nous séparera. La sensation. Voilà ce que j'aime le plus en toi. Le rituel de te préparer sur une feuille blanche dans un belle ligne droite. Presque perdue dans cette immensité, mais je te retrouve toujours avec
ma paille. Mon nez sait où tu te trouves. Et là, lentement, j'approche ma paille pour te renifler. ton odeur chimique est forte, et presque désagréable. Au départ, ça me révulse un peu. Mais après, une fois que tu es dans mon nez, que tu pénètre doucement en brûlant mes chairs, je te sens monter avec l'aspiration, d'un coup sec et violent pour empêcher mon nez de saigner après ton passage. Mes yeux s'ouvrent, sentant l'effet immédiat de tes substances. Mon sourire d'agrandit grâce à ton bienfait. Je me sens forte, vivant et invulnérable. Comme si rien ne s'était passé, comme si la douleur n'existait plus. Juste toi et moi. Le regard sur le monde en pensant que nous sommes bien ensemble. Toi dans mon crâne, jouant de l'orgue sur mes neurones. J'aime ça; Je t'adule, je t'admire et je voudrais te comprendre. Car je jalouse ceux qui te sniffent sans poésie. Pourquoi les laisses-tu t'approcher? Il ne te mérite pas! JE te mérite! Tu es à moi! Moi seule ai le droit de te sentir de t'avoir! La rage m'empare, je détruit tout sans savoir car je ne veux pas qu'ils profitent de toi. Qu'ils te violent sans scrupules. NON! Pas à toi! tu te dois de rester pure pour moi! Et d'un coup, le soulagement, quand vient le deuxième rail. Il m'en faut plus, toujours plus. Je ne peux être rassasiée de toi. Encore un trait, puis un autre, et quand enfin tu n'es plus là devant moi mais complètement dans ma tête, le paradis s'ouvre de merveille, et je dessine. Je te dessine. Nue, portant en ta main une dague du Liban gravée. Entre tes cuisses surgit un serpent qui caresse doucement ton clitoris avide de toi et de tes fantasmes les plus cachés. Ton regard serein, bleu turquoise, transperce la peinture. Ton corps nu étalé sur un drap de soie, révèle l'effort de l'acte sexuel passé. La transpiration perle ton visage, ta nuque et tes seins. Un filet de bave sur ton téton montre les ébats du mâle. Une griffure surgit en ton bas ventre révèle le plaisir. Et sous le serpent léchant ta mouille, une rivière. Cascade de ta jouissance qui trahie cette nuit érotique. Que j'aime te peindre ainsi ma Caroline. Imaginant nos deux corps qui s'emmêlent. Moi le mâle transperçant avec férocité dans ton vagin de rêve. Doux rêve. Mais malheureusement tu ne dures pas. Tu t'en vas en me laissant dans un cris déchirant. Quittant mon corps comme une catin qui s'en va tromper son mari. Ô Caroline! Pourquoi! Pourquoi ne peux-tu pas rester ainsi avec moi, éternellement? La descente loin de ce fantasme est dure. Cela en est insupportable. Mon coeur se fend en deux! Reviens moi ma poudre du plaisir! Reviens mêler tes désirs avec les miens. Reviens que je te montre l'amour le plus secret. Caroline...
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