Niveau: Supérieur, Doctorat, Bac+8
Mots clés : plasmonique, optique infrarouge, méthode modale B-spline, nanorésonateurs plasmoniques à grand rapport d'aspect Contexte : Les équipes CIO à l'ONERA et Phydis au LPN/CNRS collaborent étroitement depuis plusieurs années pour concevoir, fabriquer et caractériser des nanostructures métalliques appliquées à l'optique infrarouge. La structuration de la matière se fait à une échelle sub- longueur d'onde créant de ce fait un matériau artificiel caractérisé par son indice effectif. Il est alors possible de réaliser des fonctions optiques plus ou moins complexes (filtres, absorbant, lentilles…) Ces dispositifs étant sub-longueur d'onde, cela ouvre la voie à une miniaturisation des systèmes optiques et peut amener une amélioration des caractéristiques du détecteur. Par ailleurs, cela ouvre la voie à l'intégration de la fonction optique au voisinage d'une puce de détection, voire en son sein. Objectifs Scientifiques : Cette thèse vise en premier lieu à développer des codes de conception de composants plasmoniques basés sur des modèles électromagnétiques originaux permettant d'accélérer les calculs pour des structures à motifs complexes. Des algorithmes métaheuristiques sont ensuite utilisés, mettant à profit ces codes électromagnétiques, pour dimensionner des fonctions optiques. Par ailleurs, cette thèse vise à étudier des nano-résonateurs plasmoniques tant d'un point de vue physique, grâce aux outils précédemment développés, que technologique (salle blanche) et expérimental (caractérisation optique).
- développement de résonateurs plasmoniques pour les bolomètres
- optique infrarouge
- calcul aux interfaces
- première sur les antennes plasmoniques avec extension de bmm
- fente
- code électromagnétique
- besoin de codes
- base de nanostructures métalliques