1Le bourgeois bonhomme Acte II, scène IV Jean-Marie Harribey Parodie du Bourgeois gentilhomme, de Molière Publié sur le site Cityzen Mag, et dans Politis, n° 979, 6 décembre 2007 Maître de philosophie politique, Monsieur Sarkodain Maître de philosophie politique. – Venons-en à notre leçon. Monsieur Sarkodain. – Ah ! Mon Maître, que ne fussiez-vous venu plus tôt, afin que vous m'aidassiez à parer les coups qui plurent sur moi. – Ces coups ne sont rien pour un philosophe. Que voulez-vous apprendre pour tremper votre caractère ? – Tout ce que je pourrai, car j'ai toutes les envies du monde d'être un grand président ; et j'enrage que mon père et ma mère ne m'aient pas fait bien étudier la science politique quand j'étais jeune. – Votre sentiment vous honore. Nam sine potentia vita est quasi mortis imago. Vous entendez cela et vous savez le latin sans doute ! – Oui, mais faites comme si je ne le savais pas : expliquez-moi ce que cela veut dire. – Cela veut dire que sans le pouvoir, la vie est presque une image de la mort. – Ce latin-là a raison. Mais qu'avez-vous à me dire de plus ? – Par où vous plaît-il que nous commencions ? Voulez-vous que je vous apprenne la logique de la politique ? – J'ai hâte de connaître cet art, Maître.
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