Sciences Economiques et Sociales niveau Première : Sociologie; stigmatisation; comportements déviants etc (20 définitions)
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Sciences Economiques et Sociales niveau Première : Sociologie; stigmatisation; comportements déviants etc (20 définitions)

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LE CONTRÔLE SOCIAL (RÉGULATION/CONTRAINTE) : est selon Bourdon et Bourricault, l’ensemble des ressources matérielles et symboliques dont dispose une société pour assurer la conformité du comportement de ses membres, à un ensemble de règles et de principes prescrits et sanctionnés. • CONTRÔLE SOCIAL FORMEL : processus par lequel les groupes sociaux et des institutions spécifiques (polices, Eglise etc.) régulent les activités sociales afin d’assurer le maintient des règles et de prévenir les comportements déviants. • CONTRÔLE SOCIAL INFORMEL : s’exerce de manière continue aux cours des interactions sociales de la vie quotidienne et a un caractère non institutionnel. Chaque individu contribue) réguler le comportement d’autrui (ex : sourire, désapprobation etc.). MÉCANISMES QUI ASSURE LE CONTRÔLE SOCIAL : • La crainte de la sanction, la « peur du gendarme », s’il s’agit d’une contrainte extérieure, ce mécanisme correspond aussi à un calcul rationnel, l’individu ayant intérêt à se conformer à cette norme. • La socialisation qui joue le rôle d’une contrainte externe puisqu’elle permet l’intériorisation des normes --> obligation morales et personnelles. • L’attachement au groupe qui nous fait adhérer aux normes et aux valeurs qui lui sont propres. COMPORTEMENT CONFORMES : répond aux attentes de la société (ex : politesse, ponctualité, travailler etc.

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Publié le 13 décembre 2012
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Langue Français

Extrait

LECONTRÔLESOCIAL (RÉGULATION/CONTRAINTE): est selon Bourdon et Bourricault, l’ensemble des ressources matérielles et symboliques dont dispose une société pour assurer la conformité du comportement de ses membres, à un ensemble de règles et de principes prescrits et sanctionnés. ·CONTRÔLESOCIALFORMEL: processus par lequel les groupes sociaux et des institutions spécifiques (polices, Eglise etc.) régulent les activités sociales afin d’assurer le maintient des règles et de prévenir les comportements déviants. ·CONTRÔLESOCIALINFORMEL: s’exerce de manière continue aux cours des interactions sociales de la vie quotidienne et a un caractère non institutionnel. Chaque individu contribue) réguler le comportement d’autrui (ex : sourire, désapprobation etc.).
MÉCANISMESQUIASSURELECONTRÔLESOCIAL: ·», s’il s’agit d’une contrainte extérieure, cea crainte de la sanction, la «peur du gendarme mécanisme correspond aussi à un calcul rationnel, l’individu ayant intérêt à se conformer à cette norme. ·La socialisation qui joue le rôle d’une contrainte externe puisqu’elle permet l’intériorisation des normes --> obligation morales et personnelles. ·L’attachement au groupe qui nous fait adhérer aux normes et aux valeurs qui lui sont propres.
COMPORTEMENTCONFORMES: répond aux attentes de la société (ex : politesse, ponctualité, travailler etc.) NORMES: règles qui évoluent en même temps que l’évolution de la société et sesmœurs = relativité des normes (ex : divorce, port du pantalon, le poids etc.) qui stipulent quelle est le comportement à adopter, le plus approprié pour un individu dans des circonstances données. Certaines nomes sont facultatives, le respect de celle ci peut alors faire l’objet de sanctions positives =récompense (ex: notes, reconnaissance, diplôme, prestige, bourse d’étude etc.). ·Normes implicites: nous adoptons constamment notre façon de parler, de nous habiller, de nous comporter. ·Normes explicites : peuvent prendre l’aspect de règles intérieur au travail ou à la famille. ≠ VALEURS: liberté, égalité, fraternité) qui définissent les fins générales de: critères de désirables (ex l’action. Une valeur est généralement incarnée par des normes. COHÉSIONSOCIALE: déterminante pour le fonctionnement d’une collectivité, maintenue par le respect des normes. COMPORTEMENTDÉVIANT: comportement qui s’éloigne de la norme (ex : agression, retards, politesse etc.) ·DÉVIANCEPRIMAIRE(DÉFINITPARLEMERT): transgression des normes. ·DÉVIANCESECONDAIRE (DÉFINITPAR LEMERT): reconnue et qualifiée par un organisme de contrôle. Le contrôle social crée la déviance ≠ DÉLINQUANCE: vols, respect: faite partie de la déviance, c’est le non respect des règles juridiques (ex d’autrui etc.) CONCEPTIONSCONTEMPORAINESDELADÉVIANCE:RESPONSABILITÉCOLLECTIVEOUINDIVIDUELLE? ·APPROCHEDÉTERMINISTE: considère que les comportements des individus sont la conséquence de structures sociales qui les dépassent = victimes (de l’Etat, du système scolaire etc.). ·APPROCHESOCIALEDÉMOCRATE: approche libérale qui porte essentiellement sur la responsabilité individuelle, celui-ci est responsable de ses choix, et de leurs conséquences en terme de succès et d’échec. Le mérite individuel est associé au travail et efforts de la personne ; donc un déviant à un relâchement de volonté. ·APPROCHEÉGALE: lie responsabilité individuelle et sociale/collective, elle fait appelle à la solidarité LASTIGMATISATION: selon Goffman, Becket et Lemert, c’est un processus par lequel un groupe désigne une personne comme déviant (ex : rejet, détournement du regard etc. = pression social).
THÉORIEDELÉTIQUETAGEPARBECKER: les groupes sociaux créer la déviance en instituant des normes dont la transgression constitue la déviance, donc étiquette des individus comme déviants (ex : l’alcoolisme, jeunes de banlieue).
L’ANOMIE: fondé par Durkheim, ce concept caractérise la situation où se trouve les individus lorsque les règles sociales qui dictent leurs conduites et leurs aspirations perdent leurs pouvoirs et/ou sont incompatibles entres elles et/ou lorsque minées par les changements sociaux elles doivent céder là place à d’autres.
INÉGALITÉSSOCIALES: selon Merton, le décalage entre les aspirations et réussite sociale (encouragé par l’idéologie individualiste) démoralise les individus car la réalité n’offre par les moyens d’y parvenir à chacun.
CRIMINALITÉAUTO-REPORTÉE: une aggravation de la crise, entraine politique de répression plus forte souvent en réponse à la hausse des désordres sociaux dû à la paupérisation. Elle provient des criminels eux même.
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