Les Chinois et

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Les Chinois et

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Arts

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Publié par	efizubaq
Nombre de lectures	60
Langue	Français
Poids de l'ouvrage	22 Mo

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r^iRECHERCHES PHILOSOPHIQUES s U R LES EGYPTIENS ET •LES CHINOIS. Mr. de P--**. ^"ater/r ^esRECUEKCîiESPar sur les Américains.Philosophiques A AMSTERDAM & à LEYDE, A RCB T H. V L A M, ^ U RM R A Y,J, MDÇÇLXXIIL 0/PREFACE. Ç)ua:vD on a tâche de réduire en règles la ni'iniere d'étudier les uia-es, les mœurs Q T &Iecarr.él:erc des nations, on b'eft appciça qu 11 convenoît avant tout de fe procurer des lumières fur Pctat de la population, Pctendue ou terrain cultivée ]a nature du climat; Se que ae-la il faîloit porter fès recherches fur Ja laçon de le nourrir, ik les reflburces que Ci^acjue peuple a pu imaginer pour fatisfaire Xcsbcfoins de première & de féconde neces- lue. li elt Dien certain qu'iJ faut parler de cette indultne qui concerne l'œconomie rura- Je, av^nt que de parler àes arts, qui ne font que les cniants de l'Agriculture. Quand tous ces objets ont été rédigés avec quelque pré^ cifion on peut entreprendre ,^ l'étude de laRe- ii^ion 6i,du Gouvernement. Comme cette par- ue cft la plus difficile à traiter, il faut la ré- lerver pour la dernière; car alors IMuteur eft plus mr:rde fes principes , mieux inilruit des Jaits; s'il& na point travaillé en vain. fc<3 forces ont dû néceiîairemenc augmenter'^''^'''''"^^^ k^ mefiire qu'il a fait des efforts, Tel eft à peu près l'ordre que nous avons fuivi, lorsqu'il a etc queftion de mettre en pa. rallele un peuple célèbre de l'Afrique avec un autre peuple célèbre de PAfie, Dans des ou vrages de pur amufement quelques phrafes dé- cidentfouvent du fort de tout un livre- c?r comnie il ne doit être ni profond, ni charc^é d'érudition, on fuppofe qu'il déplaira partou"! s'il déplaît que que part. Mais dans des difcus- fions Philofophiques,^qui font liées entr'elles ^* parC E.AFR Epjy n'aonimperceptible ,chaînelonmcmr une même,chaîneccccefaifi:>on nef^?fcn M, b'ekquil'Auteur,ccilefansfuienef -on& -comparaientrès-pefant,fordcaud"in^r>;. 6 derciiechic.lecturequ'impofc lace lifi-n de exigcoitcompaStiondont lavolumes^,deux opiniâtre. ,Sipénibleiri" travail depeinChinoislespoint iciv.erraOn ne lesmais fuiyantvulRaire ,idées dulesfamn infmi.perdentqu'ilsconvenirfautEt ilsfa Lesraanicre-lii.cettedeiu-'ésmr^nr 'I être longtempsfontappevçusdepuisants' le^l'a a piin-ctoitAfiatiquescesderéputationnnp la répandul'enthoufiafmefurfondée^i.ifment dontdesMiffionnaires,voixpar iapfS^ étoi'^nt puis-e." erreurriics faits. Enfin c'eft une de croireque les premiers Defpotes de rOrienc aycnc confié la ,2;arde de leurs Concubines h- des Criminels mutilés par la loi; car il n'y a point de douce que h) ca(tration des Eunuques du Palais n'ait commencé par des enlaïus nés efclaves ou ré- pucés tels. Et quand on connoit toutes les in- jures que le Dcipotifme a .faites à la Nature , humaine, on ne s'étonne plus de celle-ci. D'ailleurs mauvaifes inftitutions civiles, lales pluralité jaloufie ont produitd.:sfcmn.ies & la fous ciimaLs fl:rcux dcfordrcs^queles chauds d'à les Souverains ne pouvoient aricter; parce qu'ils étoient eux fouis coupablesque toucplus le peuple cnfeuTbic, îi en eft cec égard com-a voyloitme de l'Empereur Domiticn, qui ne enflints tandispoint qu'on muci'ât des : que ce briji;and fe jouoit de la vie d