équipements pour les laboratoires optiques Idée : un verre progressif pour corriger la
presbytieleader mondial de l'optique ophtalmique, né en 1972 de la fusion de 2 champions Le français des lunettes, Essel, issue d'une coopérative ouvrière de lunetiers, et Silor, ancienne Lissac, à l'origine du verre plastique Orma 1.000, est le fruit de 160 ans d'histoire. Il tire son prestige du Varilux, 1er verre er 1 progressif inventé en 1951 par Bernard Maitenaz, ingénieur entré au bureau d'études de la SL (ancêtre d'Essel) en 1948, avec le rêve de corriger la presbytie. Essilor consacre aujourd'hui environ 150 millions d'euros par an à la recherche et au développement.
Essel a apporté au groupe sa culture participative. L'entreprise s'est notamment engagée dans une politique d'actionnariat interne : près de 1 salarié sur 4 en est actionnaire.
L'entreprise (3.000 salariés, 3 usines de production et 47 ateliers de finition des verres en France) emploie 42.700 collaborateurs dans le monde et déploie ses activités dans une centaine de pays.
Elle réalise 85% de son chiffre d'affaires hors de France.