1 Introduction du cours
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G8enligne1. Introduction du coursDésirée McGrawBonjour. Je m’appelle Désirée McGraw de l’Uni- mondiale et au G8, ainsi que le plan d’actionversité McGill et directrice montréalaise du que le Canada et ses partenaires du G8 enten-Groupe de recherche sur le G8 basé à l’Univer- dent établir au cours du sommet annuel poursité de Toronto. Je serai l’instructrice principale s’attaquer aux difficultés touchant leur déve-du cours francais en ligne sur le G8 de 2002. loppement, leur prospérité et leur sécurité.J’ai le plaisir de vous présenter le cours uni- Ce cours en ligne sur le G8 en 26 leçonsversitaire en ligne sur le G8 de 2002, qui ana- aborde tout d’abord les nombreuses possibili-lyse les grands enjeux sur lesquels se penchera tés et les nombreux problèmes qui découlentle groupe des huit plus grandes démocraties à de la mondialisation au vingt et unième siècle,économie de marché lors du Sommet de et s’intéresse aux succès remportés par le sys-Kananaskis, qui se tiendra au Canada les 26 et tème établi des Nations Unies et aux échecs qu’il27 juin prochains. À Kananaskis, le Canada a essuyés en tentant d’y faire face. Nous nousparticipera à deux journées de discussions intéresserons ensuite au G8 qui, au moment deintensives susceptibles de marquer un tournant sa création en 1975, était appelé le G7, et noushistorique avec ses partenaires du G8, soit les verrons comment le système G7/G8 s’est déve-États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, loppé, et de ...

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Langue Français

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G8enligne
CES RENSEIGNEMENTS SONT FOURNIS PAR LE GROUPE DE RECHERCHE SUR LE G8 DE L’UNIVERSITÉ DE TORONTO.
www.g8online.org
©2002
1. Introduction du cours
Désirée McGraw
Bonjour. Je m’appelle Désirée McGraw de l’Uni-
versité McGill et directrice montréalaise du
Groupe de recherche sur le G8 basé à l’Univer-
sité de Toronto. Je serai l’instructrice principale
du cours francais en ligne sur le G8 de 2002.
J’ai le plaisir de vous présenter le cours uni-
versitaire en ligne sur le G8 de 2002, qui ana-
lyse les grands enjeux sur lesquels se penchera
le groupe des huit plus grandes démocraties à
économie de marché lors du Sommet de
Kananaskis, qui se tiendra au Canada les 26 et
27 juin prochains. À Kananaskis, le Canada
participera à deux journées de discussions
intensives susceptibles de marquer un tournant
historique avec ses partenaires du G8, soit les
États-Unis, la Grande-Bretagne, la France,
l’Allemagne, le Japon, l’Italie, la Russie et
l’Union européenne. Les dirigeants de ces pays
s’attaqueront à trois questions cruciales dans
un monde où la mondialisation s’accélère, à
savoir la réduction de la pauvreté en Afrique,
le maintien de la croissance mondiale et la lutte
contre le terrorisme. En collaboration avec les
dirigeants de pays en développement et des
représentants d’organismes internationaux et
de la société civile, les membres du G8 tente-
ront, à Kananaskis, de définir de nouvelles
orientations et de prendre des décisions de
grande portée afin de réaliser ces objectifs
ambitieux.
Y parviendront-ils? Dans le cours en ligne
sur le G8 de 2002, nous nous intéresserons à
ce que le G8 a fait, ainsi qu’à ce qu’il peut faire
et doit faire pour accroître le développement,
la sécurité et la prospérité dans la collectivité
mondiale. Nous analyserons donc les enjeux
issus de la
mondialisation
, le rôle joué par
les Nations Unies et le G8 dans la gestion de
la mondialisation, la position adoptée
par le Canada par rapport à la
gouvernance
mondiale
et au G8, ainsi que le plan d’action
que le Canada et ses partenaires du G8 enten-
dent établir au cours du sommet annuel pour
s’attaquer aux difficultés touchant leur déve-
loppement, leur prospérité et leur sécurité.
Ce cours en ligne sur le G8 en 26 leçons
aborde tout d’abord les nombreuses possibili-
tés et les nombreux problèmes qui découlent
de la mondialisation au vingt et unième siècle,
et s’intéresse aux succès remportés par le sys-
tème établi des Nations Unies et aux échecs qu’il
a essuyés en tentant d’y faire face. Nous nous
intéresserons ensuite au G8 qui, au moment de
sa création en 1975, était appelé le G7, et nous
verrons comment le système G7/G8 s’est déve-
loppé, et de quelle façon ses rapports avec
d’autres acteurs de la scène mondiale ont évo-
lué depuis. Puis, nous examinerons de près les
valeurs du Canada et sa conception de la
gouvernance mondiale pour savoir comment
elles influent sur sa façon d’organiser le som-
met du G8 à Kananaskis cette année.
La deuxième moitié du cours porte sur les
trois grandes questions qui touchent le monde
entier et auxquelles le G8 devra faire face à
Kananaskis. La première question a trait à la
réduction de la pauvreté en Afrique et à l’éta-
blissement d’un nouveau partenariat voué au
développement du continent africain, afin de
ramener l’espoir dans cette région du monde
négligée par la mondialisation. La deuxième
question se rapporte au maintien de la crois-
sance mondiale et à la nécessité de faire en
sorte que la reprise fragile que connaissent la
plupart des économies du G8 à la suite du 11
septembre s’étende au Japon et aux économies
en crise comme celle de l’Argentine, entraîne
un accroissement permanent de la producti-
vité et favorise le bien-être des populations et
le respect de l’environnement. La troisième
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question concerne la lutte contre le terrorisme
et la nécessité pour tous les pays du monde de
collaborer de toutes les façons pour que les
chefs d’Al-Qaïda et les dirigeants talibans
soient jugés et que leur réseau terroriste soit
détruit, afin qu’une attaque comme celle du
11 septembre ne puisse jamais se reproduire.
Enfin, nous déterminerons dans quelle mesure
le G8 est parvenu, à Kananaskis en juin et, de
façon plus générale, au cours de ses 28 ans
d’existence, à relever ces défis de grande
envergure.
Notre cours nous amènera à réfléchir sur les
efforts constants qui ont été déployés au cours
des 500 dernières années de l’histoire de l’hu-
manité en vue d’assurer la prospérité et la sécu-
rité de tous. Il faut remonter en 1648, année où
le
traité de Westphalie
a été signé. Après la dé-
vastation semée par les guerres de religion du
Moyen Âge, les souverains de l’époque en vien-
nent à la conclusion que la meilleure façon de
protéger leurs sujets consiste à établir des États
territoriaux souverains qu’ils seraient les seuls
à diriger. Au cours des siècles qui suivent, ils se
rendent compte qu’il leur faut trouver des
moyens de permettre à leurs États souverains et
indépendants d’éviter les conflits et de collabo-
rer. Au dix-huitième siècle, les dirigeants adop-
tent le principe de l’
équilibre des forces
en vue
d’empêcher la prédominance d’un État sur les
autres. Après l’échec de ce principe avec les guer-
res napoléoniennes, le dix-neuvième siècle voit
naître le Concert européen, qui réunit les diri-
geants de toutes les plus grandes puissances
pour gouverner le monde entier. Cette tenta-
tive se solde également par un échec, aboutis-
sant à la Première Guerre mondiale. Au
vingtième siècle, la coopération internationale
est étendue à tous les pays, grands et petits, sous
la forme d’organisations internationales dotées
de chartes officielles et de secrétariats indépen-
dants. Ainsi, en 1919, la
Société des Nations
est créée et, après la Deuxième Guerre mondiale
en 1945, les Nations Unies sont constituées. Le
G8 informel, créé en 1975 en tant que G7 dans
un contexte de crise mondiale, marque le retour
d’une certaine façon à la notion de concert qui
caractérise le dix-neuvième siècle. Mais cette fois,
il s’agit d’une union des puissances démocrati-
ques établie dans un but démocratique.
Au cours de ces 500 ans, quelle vision a le
mieux permis d’assurer la paix et la prospérité
tant recherchées? Depuis longtemps, les
experts en relations internationales répondent
de façon très différente à cette question fon-
damentale. Les
réalistes
affirment que les États
souverains et puissants ne peuvent compter sur
les organisations internationales pour assurer
leur sécurité et leur prospérité. Il leur faut plu-
tôt consolider leur propre pouvoir — et assu-
rer l’équilibre des forces — afin de survivre et
de se développer dans un monde redoutable.
Quant aux
institutionnalistes libéraux
, ils al-
lèguent qu’en raison des rapports étroits qui
se sont établis entre les pays à la suite des
vagues successives de mondialisation, d’autres
conventions et d’autres organisations interna-
tionales officielles sont nécessaires pour per-
mettre aux États de réaliser leurs objectifs. Entre
ces deux groupes se trouvent les
constructi-
vistes
. Ils affirment que les dirigeants des puis-
sances mondiales sont en mesure de redéfinir
l’identité et les intérêts de leurs pays afin de
participer aux efforts déployés pour assurer la
sécurité et la prospérité à une époque où
la mondialisation s’accélère. Le G8 est la seule
institution internationale qui réunit régulière-
ment les dirigeants de toutes les puissances
démocratiques du monde. C’est peut-être aussi
le forum le plus propice à l’éclosion des con-
ceptions et de la coopération qui permettront
de faire face aux défis de la mondialisation.
Pour comprendre comment la collectivité
mondiale tente de relever les défis posés par
la mondialisation, nous allons donc diriger
notre attention sur le G8. Sa capacité de jouer
un rôle central efficace en vue d’assurer la
gouvernance mondiale est largement recon-
nue. Elle est reconnue par les chefs d’État des
grandes puissances mondiales qui, malgré leur
emploi du temps chargé, trouvent toujours
le temps de participer au sommet annuel, les
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milliers de représentants officiels et de
journalistes qui les accompagnent, les diri-
geants d’autres pays et d’organisations inter-
nationales qui y participent parfois, et les
activistes de la société civile, qui sont mainte-
nant des centaines de milliers à protester et à
faire des pressions. Les analystes sérieux con-
firment cette impression lorsqu’ils soulignent
le rôle important du G8 en matière de
gouvernance mondiale et intérieure et qu’ils
critiquent le G8 lorsqu’il n’agit pas comme il
le pourrait ou le devrait, selon eux.
Mais, aussi important que son rôle puisse
être en matière de gouvernance mondiale, le
G8 demeure en grande partie invisible. Il ne
se montre en public qu’une fois par année à
l’occasion de son sommet annuel, et de façon
intermittente lors de ses réunions ministériel-
les qui se multiplient rapidement. Les travaux,
et parfois même l’existence, des dizaines d’or-
ganismes officiels et de groupes de travail qui
y sont rattachés ne sont pas connus de ceux
qui n’en font pas partie. Le processus intensif
et permanent permettant d’organiser le som-
met annuel et de s’assurer que les décisions
prises à cette occasion sont effectivement mi-
ses à exécution s’avère tout aussi obscur. Dans
l’ensemble, les activités du G8 se déroulent
maintenant tous les jours, et la plupart des
ministères des pays membres y prennent part.
Mais il n’a toujours pas de secrétariat lui assu-
rant une présence matérielle permanente, et
pouvant archiver ses documents, établir un
programme d’information publique ou agir
comme porte-parole. Par conséquent, sa mis-
sion, ses activités et ses réalisations sont mal
connues, mal comprises et suscitent la mé-
fiance. Le cours en ligne sur le G8 cherche à
lever le voile de cette invisibilité en examinant
de près le G8 et ses activités.
Et, ce qui est le plus important, le cours en
ligne sur le G8 aborde le sujet sous divers an-
gles, présentant aussi bien le point de vue des
défenseurs du G8 que celui de ses critiques.
Les problèmes auxquels le G8 est confronté
sont difficiles et complexes, et les solutions
sont souvent incertaines et controversées. Le
mode d’action adopté par le G8 et les résultats
qu’il permet d’obtenir font également l’objet
de points de vue divergents, qui varient à me-
sure que la situation change et que les problè-
mes évoluent. Même dans les nombreux cas
où les faits indiquent clairement la voie à sui-
vre, il y aura toujours des gens qui n’accepte-
ront pas les résultats et qui voudront les
changer. Notre cours peut s’avérer utile tant aux
critiques qu’aux défenseurs du G8 en leur per-
mettant de mieux comprendre comment il est
possible d’améliorer le fonctionnement du G8
et, par le fait même, la gouvernance mondiale.
Chacune des 26 leçons du cours débute par
un exposé de 15 minutes, présenté par un
grand spécialiste du domaine. Pour faciliter
l’accès et répondre aux besoins de tous les par-
ticipants, le contenu de chaque exposé (vidéo,
audio et texte) sera transmis en large bande à
grande vitesse et à basse vitesse. Chaque exposé
sera accompagné d’un vidéo et de documents
textuels offrant une perspective plus large et
présentant le sujet sous différents angles. Le
plan du cours propose une liste de documents
à consulter, dont la plupart sont accessibles en
version intégrale au Centre d’information sur
le G8 à l’adresse suivante www.g8.utoronto.ca/
g7/francais/home.html. Nous vous offrons
également de nombreuses autres façons de par-
ticiper activement, que ce soit en adressant des
questions par courrier électronique aux instruc-
teurs et aux assistants, en répondant aux son-
dages ou en participant à des séances
interactives avec les assistants et d’autres étu-
diants. Comme le cours est offert en entier en
anglais et en français, vous pouvez le suivre
dans la langue de votre choix.
Notre cours en ligne sur le G8 peut être uti-
lisé de plusieurs façons. Vous pouvez vous y
inscrire à titre de citoyen désireux de s’infor-
mer ou en tant qu’étudiant averti. Vous pou-
vez le suivre dans l’ordre, de la première à la
dernière leçon, ou vous en tenir uniquement
aux leçons qui vous intéressent en fonction du
temps à votre disposition. Vous pouvez l’utili-
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G8enligne
ser comme source d’information utile pour
d’autres cours à unités portant sur des sujets
connexes, ou vous inscrire simplement pour
le plaisir de suivre un cours complet en ligne.
Peu importe l’usage que vous en ferez, nous
sommes impatients de savoir ce que vous pen-
sez de notre cours en ligne sur le G8 et de con-
naître vos suggestions sur la façon de l’adapter
à vos besoins.
En conclusion, je tiens à remercier les com-
manditaires et les conférenciers invités, sans
qui nous n’aurions pu présenter le cours en
ligne sur le G8 de 2002. Nous voulons expri-
mer notre reconnaissance aux universités et aux
instituts de recherche, au Canada et ailleurs,
dont les cours et les projets ont permis d’éla-
borer ce cours. Il s’agit de l’Université de To-
ronto et de l’Université Queen’s en Ontario,
de l’Université McGill et de l’Université du
Québec à Montréal au Québec, de l’Université
de Calgary en Alberta, de la Fordham Univer-
sity et de l’Académie mondiale pour la paix à
New York et de la London School of Economics
and Political Science en Grande-Bretagne.
Nous tenons également à remercier les confé-
renciers invités : M. David Malone, Mme Ella
Kokotsis, Sir Nicholas Bayne et Mme Kristiana
Powell et les professeurs Peter Hajnal et George
von Furstenberg, qui présentent leur exposé en
anglais, et les professeurs Désirée McGraw,
Philippe Le Prestre, Albert Legault, Philippe
Faucher, André Donneur et Kimon Valaskakis,
qui présentent leur exposé en français. Nous
voulons également adresser des remerciements
particuliers aux nombreuses organisations
dont la contribution financière ou en nature
s’est avérée essentielle, notamment le Bureau
des politiques du sommet du G8 du gouver-
nement du Canada, Trinity College et l’Uni-
versité de Toronto, eCollege, VisionTV, le
Conseil de recherche en sciences humaines du
Canada de la part du project “EnviReform,” et
Maeander Enterprises. Les opinions exprimés
dans ces exposés sont celles des divers acadé-
miciens qui les présentent, et par conséquent
ne reflètent pas nécessairement les positions
d’aucun des commanditaires du G8 en ligne.
Et surtout, nous tenons à remercier les étu-
diants et l’auditoire de leur intérêt et de leur
participation. Je suis impatient de vous retrou-
ver pour la leçon suivante intitulée « La nou-
velle mondialisation et ses défis ».
Note: Cette conférence a été préparée en collabo-
ration avec John Kirton.
Réferences
HODGES, Michael, John KIRTON et Joseph
DANIELS,
The G8’s Role in the New
Millennium,
Ashgate, Aldershot, 1999.
HAJNAL, Peter,
The G7/G8 System: Evolution,
Role, Documentation
, Ashgate, Aldershot,
1999.
BAYNE, Nicholas,
Hanging in There: The G7 and
G8 Summit in Maturity and Renewal
, Ashgate,
Aldershot, 2000.
Documents supplémentaires suggérés
BAYNE, Nicholas, « Changing Patterns at the
G8 Summit »,
G7 Governance
, no. 1, mai 1997
<www.g7.utoronto.ca/g7/governance/gov1/
index.html> (mai 2002).
HAJNAL, Peter, « The Documentation of the
G7/G8 System »,
G7 Governance
, no. 4, June
1998 <www.g7.utoronto.ca/g7/governance/
gov4> (mai 2002).
KIRTON, John J., « Economic Co-operation:
Summitry, Institutions and Structural Change.
» Papier preéparé pour UN conférence sur «
Structural Change and Co-operation in the
Global Economy », Centre for International
Business Education et le Center for Global
Change and Governance, Rutgers University,
19–20 mai 1997 <www.g7.utoronto.ca/g7/
scholar/kirton199702/index.html> (mai
2002). Voir aussi John Dunning et Gavin Boyd,
éditeurs,
Structural Change and Co-operation in
the Global Economy,
Edward Elgar, London,
1999.
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G8enligne
Questions à débattre
1. Qu’est-ce qui distingue fondamentalement
les réalistes, les institutionnalistes libéraux
et les constructivistes quant à leur façon de
concevoir la conduite des États et le fonc-
tionnement des relations internationales?
2. Quelles notions, autres que celles servant
à définir la doctrine des réalistes, des
institutionnalistes libéraux et des construc-
tivistes, sont nécessaires pour comprendre
la conduite des États et les relations inter-
nationales dans le contexte actuel de la
mondialisation?
Exercices
1. Le traité de Westphalie a été conclu en :
a. 1492
b. 1648
c. 1919
d. 1945
2. La première institution internationale
d’importance à s’être dotée d’une charte of-
ficielle et caractérisée par une organisation
indépendante est :
a. l’équilibre des forces
b. le Concert européen
c. la Société des Nations
d. l’Organisation des Nations Unies
3. Le sommet du G8 aura lieu les 26 et 27
juin 2002 à :
a. Westphalie, Allemagne
b. Toronto, Canada
c. Kananaskis, Canada
d. New York, É-U
4. Quel pays n’est pas membre du G8 :
a. la Russie
b. le Canada
c. l’Italie
d. l’Espagne
5. Lequel des thèmes suivants ne se retrouve
pas à l’agenda du sommet de Kananaskis
de juin 2002?
a. La réduction de la pauvreté en Afrique
b. Le maintien de la croissance mondiale
c. Le contrôle des changements climatiques
d. La lutte contre le terrorisme
6. Les académiciens qui insistent sur le pou-
voir national ou la capacité relative sont
connus comme étant :
a. les réalistes
b. les institutionnalistes libéraux
c. les constructivistes
d. les idéalistes
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents