Histoire de Nous - Tome II , livre ebook

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À la tour, la mort prend sa garde qui nous regarde :

À l’atour, l’accord ment aux douze heures qui se fardent...

Reste l’amour quand aux murmures des jours le temps baisse sa garde :

Mais de tant les ans se bardent tandis que nos montres retardent.



Des petits riens, de si grandes choses : la vie, la mort, l'amour – et nous !

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Date de parution

12 août 2019

Nombre de lectures

0

EAN13

9782414370177

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

3 Mo

Couverture
Copyright
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
 
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
 
ISBN numérique : 978-2-414-37018-4
 
© Edilivre, 2019
Déjà parus :
Roman :
Tant qu’il y aura un chien , Edilivre, 2017
Nouvelles :
Leurs larmes chantent, parfois , Edilivre, 2017
Poésie :
–  Songe-monde au monde frange , Edilivre, 2017
–  Histoire de « Nous » , Tome I : Un monde, des ombres , Edilivre, 2019
Chez un autre Editeur :
–  Ce petit rien, ce petit lien – L’identité humaine face à l’opérativité techno-scientifique , Essai, 388 pages, Editions Le manuscrit, 2007
–  Du désir d’enfant au désir de soi ? – L’homme à l’épreuve de la génétique et des technosciences , Essai, 530 pages, Editions Le Manuscrit, 2007
A paraître – Edilivre :
–  Histoire de « Nous » , Tome III : Rouges, nos cœurs !
 

A la tour, la mort prend sa garde qui nous regarde :
A l’atour, l’accord ment aux douze heures qui se fardent…
Reste l’amour quand aux murmures des jours le temps baisse sa garde :
Mais de tant les ans se bardent tandis que nos montres retardent.
«  Q  »,
Histoire de « Ho ! » qui nous laisse dessus ou nous emmène plus haut :
Séant en tenants, béni ou honni ; comme une histoire sans fin, histoire de faims, histoire de « Nous » !
Questionnement des petits enfants et films sans paroles pour les grands – où l’amour coule à pic de gesticulations aussi froides que la mort…
Préambule aux temps funambules…

F uite en pointillés
S utures aux temps inventés –
E t tourne la Terre !
A rc en pouls vibrant
J our à l’azur incisé :
L a vie se dessine…
L une à l’éveil pâle
U n cri déchire l’ombre nue
M ystère de fantômes !
Origine…

Spin – Délire d’électron
T raînée d’intangible au repos ductile de mornes orbitales :
E ntre-deux
Entrelacs
Antre vide – espace sans âge ni rivage,
M agnétisme originel à l’étale lointain d’autres clivages.
A ura corpusculaire à l’aurore des particules, long dédale :
L iaison
Fusion
Ou flou d’une charge au destin molécule,
M agie intemporelle du presque rien qui tout soudain bascule.
O scillation du possible à la traîne illusoire des poussières :
 
H asard
Aléas
Alchimie de quelques neutrons funambules,
B alancier pérenne à l’électrique puissance d’un atome – bulle.
C himère à l’incessante farandole de frêles axiomes, fer :
A l’envi
A l’espace
A l’indomptable physique des corps cosmiques,
V ague déferlante de peut-être, odyssée sans escale – statique.
D ispersion à l’infini de l’infime, chevauchée dantesque :
M irage
Myriade
Miroir de chimères – quête obstinée de chair,
I llusion stellaire allongée aux rivages hors terre de Cythère.
P iège atomique d’un destin polymère, futur cauchemardesque :
B ipolaire
Bigarré
Billevesée ou bleu cantique au quantique –
B ig Bang d’un autre noyau de fer et unions morganatiques.

 
Comme un bleu au cœur du hasard…
A u noir hasard d’une spirale quantique,
N oir épars d’une cavale erratique…
L ’impensable frisotis d’une matière infiniment fugace
O u l’irrépressible percée du vide qui déjà s’y efface.
D érive au lacis d’un plan statique ;
D ensité d’un faux aimant cosmique.
A l’univers d’avant l’univers,
U ne durée sans endroit ni envers…
L e bouillonnement d’énergies captives à l’abandon d’ombres vives
E t deux ou trois lambeaux impalpables, un rêve d’elles à leurs rives.
‘ P eut-être’ en exil aux vents glacés,
P romesses fragiles aux rais enflammés –
C’est la première heure, nul ne le sait.
L e feu à ‘ l’embrase ’,
L ’espace à sa grâce
E t le mystère hors Terre d’un berceau au matin nu des possibles,
D ’où naît la vie, insensiblement, à chair encore impassible.
C hance ou contingence,
M yriade d’occurrences –
Tangente !
Q uelques traînées ‘s’ ensillagent ’ là à l’immatérielle présence,
P romesse sans adresse à l’écume trouble d’une autre incandescence.
V olutes, firmament…
F ol enroulement –
Méandres !
M éandres et tourbillons qui soudain se figent : arrêt sur image…
A rrêt sur un halo nébuleux – trace à l’onde du mirage…
C omme un instant à l’épure : souffle à l’étale, entre-deux transi.
J usqu’au Big Bang,
U n drôle de bang :
A la rage inféconde d’un tonnerre à ‘ mortes- pierres’ – linceul gis.
A l’arrache d’un éclair en cache-misère – aura crépusculaire :
C omme une gangue
A u temps qui tangue.
A se crasher contre l’or pointillé d’un soleil endeuillé,
Q uand ciel et terre s’unissent et se perdent de sortilèges – hors-là !
H ors-là d’une opacité sur l’indéfini d’un au-delà :
A l’intangible plissure d’un tracé ondo-corpusculaire –
P oint sans coordonnées, coït cosmique aux cieux enluminés.
F usion platonique, les ténèbres y accouchent nuée – charbon :
B rûlure aux jours obscurs, frissons d’illimité sur l’horizon.
D ispersion à l’infini de l’infime,
O scillations à l’éphémère sublime :
D élaissement des cendres au brasier d’hier –
E rrance ou transe aux sillons de lumière…
C ar le temps se tend là en déchirure au flou d’un ‘ monde-songe’ ,
C ar l’espace s’éclabousse d’opale aux doux velours bleu mensonge :
F aux sang blanc et vraisemblance jouent d’artifices aux feux flamboyants,
D e toujours en peut-être –
M ais qui de nous le saura vraiment ?
Q ui quand tout s’enflamme, lame iridescente aux nues incandescentes –
P romesses d’atomes en quintessence, hypothèse encore vacillante.
L a matrice implose et renaît au ‘ la ’ d’un ballet photonique :
F rénésie chorégraphique au mouroir d’un entonnoir cosmique…
V ide à l’espace sidéral, ‘noire lumière’ –
C rypte offerte au repos des vents solaires.
A vec l’ombre portée d’un commencement,
L ucioles affolées engrossant l’espace :
Insatiable odyssée d’un feu de glace
En condensation au cœur de l’instant…
M ais déjà l’ombre course sa matière :
O rgasme astral aux boyaux éruptifs.
R oches liquides aux plis d’autres possibles,
R oches gravides aux temps extensibles…
A débusquer même à leurs pieds noircis quelques rouges chimères,
L ’esquisse d’un monde et de ses éthers aux sillons béants du rift :
T erre si froide des grands déserts glacés,
T erre brûlante des sables d’or cuivrés…
S emence dense au cœur gris de nous sans nous ;
T urbulence en transe au creux plein du Tout…
A s’en poudrer là de noire consistance,
S ’en métisser flou d’ocre et d’abondance.
F lamme fauve ou magma en torches vives ;
S olo d’une apothéose explosive :
R us irisés à l’espace déchiré
T ableau impressionniste
A ncien sortilège
A u vent d’un arpège
O u tour d’illusionniste ?
R este un site à la rage des vents embrasés.
L ’eau là frissonne au charme de ce feu étrange
E t...

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