Voluptés sans limites | Roman trans érotique (transidentité, transsexualité, transsexualisme) , livre ebook

Homoromance Éditions - Roxane St-Amour ,
composé par Homoromance Éditions

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435 pages

Français

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A propos
Informations
Extrait

Description

Ce roman raconte les aventures sexuelles et amoureuses de Roxane, une transgenre extrêmement jolie, qui est femme dans sa vie privée, mais qui continue, par nécessité, à s’habiller en garçon pour travailler ; à se "travestir en homme" comme elle le dit.

Sujets

Erotique

Biographies

Mémoires

LGBT

Sexualité

sexualité

Sexualité

Informations

Publié par	Homoromance Éditions
Date de parution	17 octobre 2016
Nombre de lectures	172
EAN13	9780244019679
Langue	Français
Poids de l'ouvrage	4 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Voluptés sans limites

Roxane St-Amour

Si vous aimez un jour quelque chose, c’est bien.
Si un autre jour vous aimez autre chose, c’est tout aussi bien.
Pourquoi devriez-vous vous étiqueter et vous imposer des limites ?
À l’amour, tout est bon.

ISBN-13: 978-1539617341
ISBN-10: 1539617343

Accès aux chapitres

Chapitre 1 : Quelques fredaines de la voluptueuse Roxane
Un retour libidineux à Paris
Une nuit ardente de Roxane avec le licencieux Maxime
Le déjeuner de Roxane
L’aguichante Roxane en chasse à l’homme
Roxane sodomise son ami Alain
Alain y a pris goût, il est devenu insatiable
Un pucelage protégé, mais pour combien de temps ?
Un autre malheur passé d’Alain
Une affriolante sortie de Roxane et Alain
Une délicieuse partouze à quatre chez Roxane
Chapitre 2 : Tatiana, Roxane et, aussi Julien
L’invitation à des bacchanales
Enfin ! Alain se libère entièrement
Dîner chez les Durand de Ribière
Tatiana achète de la lingerie érotique avec Roxane
Week-end de Roxane avec Tatiana qui est devenue Dorian
Tatiana alias Dorian sodomise Roxane
Retour de l’ardente Tatiana
Cascade d’orgasmes de Tatiana
Joyeux retour et douce nuit d’amour chez Roxane
Le retour à la réalité
Conversation avec Sophia
Julien prend une Roxane à la virginité perdue
Une nuit de luxure chez Tatiana
Chapitre 3 – Les Bacchanales
Le départ pour le château
La première soirée des bacchanales
L’audacieuse Anna
Chaude nuit de ménage à trois
Premier matin des bacchanales
Partie à quatre : Florence, ses hôtes et Roxane
Roxane sodomisée par Raphael, l’homme velu
Une loterie pour de l’amour avec Roxane
Jeux amoureux entre Roxane, Anna, Florence et Claude
Un projet de spectacle érotique
Le gagnant numéro 1 de la loterie
Le petit spectacle licencieux
Séance amoureuse de Tatiana et Roxane avec une sulfureuse culturiste
Une soubrette hardie
Une matinée de délicieuse débauche
Partouze des seconds gagnants. Deux couples, Roxane, un travesti, deux jolies lesbiennes
La partouze des troisièmes gagnants
Un bon moment avec Tatiana et deux femmes « gothiques »
Roxane sodomisée par les premiers venus
Roxane Reine de la nuit
Nouvelle visite de la soubrette
Roxane, Tom, Julia et son fétiche des pieds
Florence veut branler Roxane avec ses pieds
La grosse partouze dans le jardin du château
Chapitre IV : Roxane, Tatiana et Natacha
Retour des bacchanales
L’amour ardent de Roxane et Tatiana
La jalousie de Tatiana envers Julien se précise
Natacha perd sa conjointe Cindy
Action contre les bourreaux pédophiles d’Alain
L’invitation au voyage.

note d'intention

Divertir les lecteurs et lectrices en présentant une sexualité libre, sans limites et sans contraintes. Décrire un univers où chacun ne fait que ce qu’il ou qu’elle veut.

Également, montrer parallèlement au courant principal de l’histoire une claire absence de lien entre homosexualité ou sexualité libre, et comportements pédophiles

Chapitre 1 : Quelques fredaines de la voluptueuse Roxane
Un retour libidineux à Paris
Les courtes vacances passées au bord de mer chez des relations d’affaires s’achevaient. Une période que j’avais vécue, plus ou moins agréablement, en tant que garçon. J’allais prendre le train pour rentrer à Paris, quand Jacquie, une magnifique femme d’une quarantaine d’années, avec laquelle j’avais sympathisé durant mon bref séjour, me demanda :
— Avez-vous des bagages ?
— Simplement un sac à dos et pas très gros.
— Alors je puis vous reconduire à moto, qu’en pensez-vous ?
— Ce que j’en pense ? … Merci ! j’accepterais avec joie.
Nous prîmes congé de nos hôtes et partîmes. Au bout de quelques centaines de mètres, elle me dit :
— Vous pouvez vous tenir à moi, j’ai l’impression que vous avez peur de me toucher.
— Non, pas du tout.
Je pris ses hanches à pleine main. Les freinages et ralentissements de la moto me rapprochèrent d’elle au point que mon corps fût en contact avec le sien. Je ceinturais sa taille. Elle était belle, dynamique et assez masculine pour me plaire. J’avais un penchant envers elle, une indécise attraction. Dans cette situation de contact contre son corps musclé à laquelle s’ajoutaient les stimulations causées par les vibrations de la machine et celles des secousses de la route, un désir accompagné d’une ferme érection s’empara de moi. J’évitais alors de me coller à elle de peur qu’elle ne détecte l’état dans lequel j’étais.
Jacquie de son côté roulait allègrement. Elle se sentait heureuse d’avoir enfin pu se rapprocher de ce joli garçon. J’aime essentiellement les femmes, se disait-elle, mais ce garçon me plaît vraiment. Il a des rondeurs et des douceurs qui m’attirent, je suis certaine qu’il est davantage femme qu’un homme et je souhaite passer un bon moment avec lui avant la fin de ce trajet. J’aurais envie de le voir nu, de le caresser, de lui donner de pervers plaisirs. Pour cela, il faudrait que nous nous arrêtions dans une auberge, un hôtel, hélas, je n’en ai pas le temps... Ainsi, tout en conduisant sa moto à grande vitesse, elle se laissait aller à de doux fantasmes.
Après environ cent kilomètres, elle s’engagea vers une aire de repos, me disant : Je veux me reposer un peu. Elle se gara en un lieu aussi éloigné et désert que possible. Quand nous mîmes pied à terre, je fus embarrassé par mon protubérant désir. Je n’avais pas de protection, c’est-à-dire que je ne portais pas de slip assez serré pour dissimuler mon opiniâtre érection ; donc, pour cacher cet état, je descendis de moto en gardant une main dans ma poche afin de tenir mon sexe contre moi.
Elle déboutonna son blouson de cuir pour se mettre à l’aise et s’étira, mettant en évidence une magnifique poitrine libre de la prison d’un soutien-gorge, assez petite, mais magnifique, et d’une fermeté qu’on devinait à travers son mince T-shirt rouge. La vue de ses mamelons protubérants accapara mon attention et accrut mon désir. S’approchant de moi, en me tutoyant, elle demanda :
— Après ce trajet à moto, tu n’as pas mal au dos, au bas du dos ?
Ce disant, elle posa sa main sur ma chute de reins et la laissa lentement glisser vers mon postérieur en appuyant un peu. J’eus un frisson de plaisir. Séduit spontanément par ce geste, je sortis ma main de ma poche pour la saisir par l’épaule et la serrer contre moi. Ce faisant, je dévoilais ma visible condition. La découvrant, rieuse, elle me dit :
— Tu bandes mon minou, tu banderais pour moi ? Est-ce que par hasard, tu voudrais que je m’occupe de ça ?
— Si je le veux, en doutez-vous ?
Je n’eus pas le temps de dire autre chose, car ses lèvres s’appuyèrent sur les miennes et je sentis la douceur de sa langue envahir ma bouche.
Gardant l’initiative, elle déboutonna ma chemise et, après m’avoir embrassé dans le cou, elle se mit à sucer mes mamelons qui sont extrêmement sensibles. Des amis me font cela très souvent, mais ce n’était rien à côté de ce que je ressentais avec cette ardente femme. Je crois que si elle avait continué deux ou trois minutes de plus, j’aurais eu une éjaculation précoce, car, tout en me donnant ce plaisir, elle me caressait à travers mon pantalon.
De mon côté, durant ce temps, j’embrassais sa nuque, son cou et glissais ma main sous ses vêtements, pour caresser son dos en la torturant un peu avec mes ongles. J’aurais voulu à mon tour embrasser et lécher sa jolie poitrine, mais elle s’y refusait et gardait toute l’initiative de l’action. Avec autorité et dextérité, elle déboutonna ma ceinture, ouvrit la fermeture à glissière et saisit mon pénis rigide pour le sortir de sa cachette et le choyer. C’était délicieux. Je ne voyais plus rien autour de moi, j’étais dans un nuage de sensations érotiques et, quand je sentis la douceur de sa bouche engloutir mon sexe, j’eus un tel plaisir que je ne pus retenir un fort : « Oui ! Oui… je veux, oui ! Ma chérie ! » Je vins très vite dans cette bouche avide qui m’aspira entièrement.
J’étais dans le brouillard mental de ce puissant orgasme quand, se relevant, elle m’embrassa avec passion, ses lèvres mouillées de mon plaisir se collèrent aux miennes et cette langue largement humectée s’introduisit en moi. Tandis qu’elle pressait ma tête contre elle, j’ouvris grand la bouche pour aspirer tout ce que je pus. Je le lui rendis immédiatement et un long baiser passionné s’ensuivit.
Nous allâmes nous asseoir sur un banc proche. Enlacé à elle, je goûtais à une douce détente, un sentiment de bonheur. Mon désir un instant calmé revint pleinement et je caressais son sexe à travers son pantalon de cuir. Je voulus l’ouvrir, mais elle déclina gentiment mon geste, me disant :
— Pas maintenant, pas ici.
— Dommage, je serais prêt à tout.
— J’aime ça, j’espère que ça continuera. Mais il faut que nous partions.
— Je le déplore.
— As-tu remarqué ?
— Quoi ?
— Il y a quelqu’un de caché dans les buissons.
— Quelqu’un de caché ?
— Oui, il y a là un voyeur qui n’a pas perdu son temps.
— C’est terrible ! Il faut lui parler, l’engueuler, et vite !
— Pourquoi ?
— Pourquoi ? Parce qu’il n’a pas à faire ça. J’accepterais un ou des spectateurs, mais pas un voyeur.
— N’est-ce pas la même chose ?
— Le spectateur regarde avec la connaissance de l’acteur ou des acteurs de l’action, leur complaisance ou leur complicité. Ils savent qu’on les regarde. Le voyeur lui est un hypocrite qui se cache.
— C’est un lieu public ici, nous avons pris une liberté et lui a assisté à un joli spectacle. Je lui souhaite simplement d’avoir eu du plaisir et toi, tu voudrais le sermonner ou aller lui crier dessus. Pour ma part, je ne souhaite pas que ce bon moment soit gâché par une dispute. Ce que tu pourrais faire puisque ton pantalon est