Manuel de civilité pour les petites filles à l’usage des maisons d’éducation
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Manuel de civilité pour les petites filles à l’usagedes maisons d’éducationPierre Louÿs1926Sommaire1 GLOSSAIRE2 À LA CHAMBRE3 À LA MAISON4 À L’OFFICE5 À TABLE6 JEUX ET RÉCRÉATIONS7 EN CLASSE8 CADEAUX9 AU BAL10 EN VISITE11 SUPERSTITIONS12 À L’ÉGLISE13 À CONFESSE14 AU MUSÉE15 AUX CHAMPS-ÉLYSÉES16 DANS LA RUE17 DANS LES BOUTIQUES18 AU THÉÂTRE19 À LA MER20 À L’HÔTEL, EN VOYAGE21 À LA CAMPAGNE22 DEVOIRS ENVERS LE PROCHAIN23 DEVOIRS ENVERS VOTRE PÈRE24 DEVOIRS ENVERS VOTRE MÈRE25 DEVOIRS ENVERS VOTRE FRÈRE26 DEVOIRS ENVERS VOTRE SŒUR27 DEVOIRS ENVERS DIEU28 AVEC L’AMANT DE SA MÈRE29 RUBRIQUE SPÉCIALE POUR SE FAIRE DÉPUCELER30 AVEC UN AMANT31 AVEC LES DOMESTIQUES32 AVEC M. LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE33 POUR SUCER34 AU LIT AVEC UNE AMIE35 AU LIT AVEC UN VIEUX MONSIEUR36 NE DITES PAS… DITES…GLOSSAIRENous avons jugé inutile d’expliquer les mots : con, fente, moniche, motte, pine,queue, bitte, couille, foutre (verbe) foutre (subst.), bander, branler, sucer, lécher,pomper, baiser, piner, enfiler, enconner, enculer, décharger, godmiché,gougnotte, gousse, soixante-neuf, minette, mimi, putain, bordel.Ces mots sont familiers à toutes les petites filles.À LA CHAMBRESi l’on vous surprend toute nue, mettez pudiquement une main sur votre visage etl’autre sur votre con ; mais ne faites pas de pied de nez avec la première et ne vousbranlez pas avec la seconde.Ne pissez pas dans le calorifère, allez aux W.-C.Ne suspendez pas de godmiché au ...

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Manuel de civilité pour les petites filles à l’usagedes maisons d’éducationPierre Louÿs6291Sommaire21  ÀG LLOA SCSHAAIRMEBRE43  ÀÀ  LLAO MFFAIICSEON5 À TABLE76  JEEN UCXL EATS RSÉECRÉATIONS98  ACUA DBEAALUX1110  SEUN PVEISRITSETITIONS1132  ÀÀ  LCOÉNGFLIESSESE14 AU MUSÉE1156  ADUAXN SC LHAA MRUPES-ÉLYSÉES1178  DAAU NTSH ÉLÂETS RBEOUTIQUES2109  ÀÀ  LLAH ÔMTEERL, EN VOYAGE2212  ÀD ELVA OCIRASM EPNAVGENRES LE PROCHAIN23 DEVOIRS ENVERS VOTRE PÈRE2245  DDEEVVOOIIRRSS  EENNVVEERRSS  VVOOTTRREE  FMRÈÈRREE2276  DDEEVVOOIIRRSS  EENNVVEERRSS  DVIOETURE SŒUR2289  ARVUEBCRI LQUAEM SAPNÉT CDIAE LSEA  PMOÈURRE SE FAIRE DÉPUCELER30 AVEC UN AMANT3312  AAVVEECC  LME. SL ED PORMÉESSIDTIEQNUTE SDE LA RÉPUBLIQUE33 POUR SUCER3354  AAUU  LLIITT  AAVVEECC  UUNN EV IAEMUIXE MONSIEUR36 NE DITES PAS… DITES…GLOSSAIRENous avons jugé inutile d’expliquer les mots : con, fente, moniche, motte, pine,queue, bitte, couille, foutre (verbe) foutre (subst.), bander, branler, sucer, lécher,pomper, baiser, piner, enfiler, enconner, enculer, décharger, godmiché,gougnotte, gousse, soixante-neuf, minette, mimi, putain, bordel.Ces mots sont familiers à toutes les petites filles.À LA CHAMBRESi l’on vous surprend toute nue, mettez pudiquement une main sur votre visage etl’autre sur votre con ; mais ne faites pas de pied de nez avec la première et ne vousbranlez pas avec la seconde.
Ne pissez pas dans le calorifère, allez aux W.-C.Ne suspendez pas de godmiché au bénitier de votre lit. Ces instruments-là semettent sous le traversin.À LA MAISONNe vous mettez pas au balcon pour cracher sur les passants ; surtout si vous avezdu foutre dans la bouche.Ne pissez pas sur la plus haute marche de l’escalier pour faire des cascades.Ne fourrez pas un godmiché dans la bouche d’un petit bébé pour lui faire téter le laitqui reste dans les couilles de caoutchouc, quand vous n’êtes pas tout à fait sûreque votre gougnotte n’a pas la vérole.À L’OFFICEQuand vous vous êtes servie d’une banane pour vous amuser toute seule ou pourfaire jouir la femme de chambre, ne remettez pas la banane dans la jatte sansl’avoir soigneusement essuyée.Ne branlez pas tous vos petits amis dans une carafe de citronnade, même si cetteboisson vous paraît meilleure additionnée de foutre frais. Les invités de monsieurvotre père ne partagent peut-être pas votre goût.Si vous videz subrepticement la moitié d’une bouteille de champagne, ne pissezpas dedans pour la remplir.Ne suggérez pas au serveur de faire l’amour dans le cul d’une poularde cuite, sansvous êtes assurée par vous-même que le serveur n’est pas malade.Ne faites pas caca dans la crème au chocolat, même si, étant privée de dessert,vous êtes sûre de n’en pas manger.À TABLESi l’on vous demande ce que vous buvez à vos repas, ne répondez pas : « Je nebois que du foutre. »Ne faites pas aller et venir une asperge dans votre bouche en regardantlanguissamment le jeune homme que vous voulez séduire.Ne faites pas minette à un abricot fendu en clignant de l’œil vers la tribade la pluscélèbre de la société.Ne prenez pas deux mandarines pour faire des couilles à une banane.Si vous branlez votre voisin dans sa serviette, faites-le si discrètement que nul nes’en aperçoive.Si votre gougnotte ordinaire est placée en face de vous, ne lui faites pas de scènede jalousie à travers la table.Quand une grande personne raconte une histoire leste que les petites ne doiventpas comprendre, ne vous mettez pas à pousser des cris inarticulés comme unepetite fille qui décharge, même si l’histoire vous excite au plus haut point.Si vous trouvez un cheveu suspect dans votre potage, ne dites pas : « Chic, un poildu cul ! »Ne cachez pas un godmiché dans la jatte de fruits pour faire rire les jeunes filles àl’heure du dessert.Quand on vous servira des bananes, ne mettez pas la plus grosse dans votrepoche. Cela ferait sourire les messieurs, et peut-être même les jeunes filles.Si vous êtes encore impubère, ne vous écrasez pas une poignée de fraises entreles jambes pour aller ensuite montrer à tout le monde que vous avez vos règles.Il est du dernier mauvais goût de glisser un godmiché sous la serviette d’une jeunefille à la place de son petit pain.JEUX ET RÉCRÉATIONS
Ne demandez jamais à une dame la permission d’aller jouir avec sa fille. Dites« jouer », qui est plus décent.N’invitez pas vos jeunes amies à pêcher des petits poissons de foutre dans le bidetde madame votre mère quand vous jouez à la dînette.Pour tirer à la courte-paille, ne demandez pas à une jeune fille de se couper cinq ousix poils, surtout si vous savez qu’elle n’en a pas un.Si vous jouez au doigt mouillé, ne le mouillez pas entre vos cuisses, à moins quevous ne soyez dans l’intimité.Si vous proposez de jouer à « montre-moi ta pine, tu verras mon cul », assurez-vousd’abord que les grandes personnes ne vous surveillent pas.De même quand vous jouez « à celle qui pisse le plus loin possible », surtout sivous prenez des petits garçons comme arbitres.De même si vous jouez « à l’accouchement » avec une petite poupée deporcelaine dans le con.De même encore quand vous jouez à celle « qui fera la plus grande saleté ». C’estle jeu favori des petites filles ; mais les parents ne l’approuvent jamais.À la main chaude, si vous êtes à genoux devant un jeune homme, ne lui sucez pasla queue, vous ne pourriez pas répondre aux questions du jeu.Se mettre du miel entre les jambes pour se faire lécher par un petit chien, c’estpermis à la rigueur, mais il est inutile de le lui rendre.Ne masturbez jamais un jeune homme par la fenêtre. On ne sait jamais sur qui celapeut tomber.Ne sautez pas à cheval sur le cou d’un monsieur quand vous n’avez pas depantalon fermé. Pour peu que vous soyez excitée, vous tacheriez le col de saredingote.Relever ses jupes, s’asseoir sur une quille debout, la faire entrer où vous savez, ets’enfuir avec en la tenant par la seule force du « casse-noisettes », c’est unexercice des plus indécents, qu’une jeune fille bien élevée ne doit pas imiter, mêmequand elle l’a vu faire avec un succès d’estime.Si vous jouez « au bordel » avec plusieurs petites filles, ne vous charbonnez pas leventre et les cuisses pour faire le rôle de la négresse.Si vous jouez « à la putain » avec quelques petits garçons, n’empruntez pas vingt-cinq morpions à la fille du jardinier pour vous faire un vrai con de pierreuse.En jouant à cache-cache, si vous vous trouvez seule avec une jeune fille dans unecachette impénétrable, branlez votre compagne ; c’est l’usage. Et si elle fait desmanières, branlez-vous devant elle pour l’encourager.Si vous faites de l’équitation auprès d’un beau cavalier et si la selle vous prouvetout à coup une émotion débordante, vous pouvez soupirer : « Ah !… ah !… »pourvu que vous ajoutiez tout de suite : « C’est pour vous que je le fais, monsieur. »En jouant à colin-maillard, ne fouillez pas sous les jupes de votre capture en disantque vous allez la reconnaître tout de suite. Cela la compromettrait beaucoup.Lorsqu’on propose de jouer à « chat coupé » ou à « chat perché », ne vous mettezpas à rire. Toute plaisanterie là-dessus serait du genre facile.EN CLASSENe dessinez pas au tableau noir les parties sexuelles de la maîtresse surtout si ellevous les a montrées confidentiellement.Quand vous venez de vous branler sous le pupitre, n’essuyez pas votre doigtmouillé dans les cheveux de votre voisine, à moins qu’elle vous en prie.Si vous trouvez plus commode d’aller vous masturber aux water-closets, demandezsimplement à sortir : ne dites pas pourquoi.Si l’on vous demande ce que c’était que Pompée, ne répondez pas : « Ça devrait
être une pine » ; et si l’on vous demande quel personnage historique vous auriezvoulu être, ne dites pas en clignant de l’œil : « Je voudrais toujours être Persée. »Ce genre de facéties ferait rire vos camarades mais ne ferait pas rire la maîtresse.Ne dites pas que la mer Rouge est ainsi nommée parce qu’elle a la forme d’uncon ; ni que la Floride est la pine de l’Amérique ; ni que la Jungfrau ne mérite plusson nom depuis que les alpinistes montent dessus. Ce seraient des observationsingénieuses, mais déplacées dans la bouche d’une enfant.Ne mouillez pas votre pouce dans votre bouche ou dans votre con pour tourner lespages.Si l’on vous dit que l’homme se distingue du singe en ce qu’il n’a pas de queue, neprotestez pas qu’il en a une.Parmi les principaux verbes de la quatrième conjugaison, il est inutile de citerfoutre, je fous, je foutais, je foutrai, que je foutisse, foutant, foutu. La conjugaison dece verbe est intéressante mais on vous grondera plutôt de la connaître que del’ignorer.Si l’addition qu’on vous donne à faire produit le nombre 69, ne vous roulez pas derire comme une petite imbécile.Si votre professeur vous demande une plume, ne feignez pas de croire qu’il vousprie de lui sucer la queue.Dans les petits thèmes anglais de la première année, on trouve parfois desphrases naïves : « J’ai un joli petit chat. Tu as un gros bouton. Il ou elle aime leslangues. Ma sœur a un bon casse-noisettes. Voulez-vous une feuille de rose ? Lehussard a tiré deux coups. Je cherche les haricots de mes gousses. Le maquereaua une belle queue. Mon frère a des grues et mon père des vaches. » Ne vousavisez pas de traduire : « I have a pretty little cunt. You have a big clito. She likesto be tongued, etc. »Si votre maîtresse vous emmène dans sa chambre et vous prend entre ses brasavec un trouble extrême, relevez vos jupes sans affectation et guidez sa mainhésitante. Cela la soulagera d’un grand poids.N’abordez pas le premier jour une grande élève en lui demandant si elle se branle :1° Parce que la question est inutile : elle se branle certainement. 2° Parce qu’ellepourrait être tentée de mentir. Emmenez-la secrètement au fond du jardin et livrez-vous devant elle à vos petites habitudes. Votre exemple lui fera honte de sadissimulation.Si l’une de vos aînées se moque de votre jeune âge parce qu’elle a de jolis poils etque vous êtes lisse comme la main, ne la traitez pas d’ours velu, d’Absalon, ni defemme à barbe : mais tirez une leçon de la petite colère que vous ressentirez etsouvenez-vous d’être modeste quand vous aurez la motte fournie.CADEAUXSi vous portez dans un médaillon une petite boucle de poils blonds coupée au culde votre gougnotte, dites plutôt que ce sont des cheveux.N’offrez jamais de godmiché à une femme mariée, à moins qu’elle ne vous ait faitelle-même la confidence de ses infortunes.Si vous présentez un crayon à coulisse, ne mettez pas vos yeux également encoulisse, en faisant manœuvrer le porte-mine avec frénésie dans sa gaine.Le plus joli cadeau que puisse faire une petite fille, c’est un pucelage. Comme celuide devant ne peut se donner qu’une fois, donnez cent fois celui de derrière et vousferez cent politesses.Si une amie vous donne une bague, mettez-la au doigt dont vous vous servezhabituellement pendant vos solitudes voluptueuses. C’est une attention délicate.Si vous donnez un porte-plume de forme obèse à une petite naïve, apprenez-lui às’en servir, ou ce serait un cadeau perdu.AU BALRègle sans exceptions : N’empoignez jamais la pine d’un danseur qui ne bande
pas encore pour vous. Un rapide coup d’œil vers son pantalon vous détournera degaffer.Si vous jouissez en valsant, dites-le tout bas, ne le criez pas.Si vous voyez une tache sur la robe d’une jeune fille, ne lui demandez pas si c’estdu foutre.Tout danseur qui vous met sa pine dans la main entend garder à cette galanterie uncaractère confidentiel. N’appelez pas tout le monde pour montrer ce que voustenez.Lorsqu’un monsieur, derrière un meuble, vous décharge dans la main, il vaut mieuxvous sucer les doigts que de demander une serviette.Une jeune fille bien élevée ne pisse pas dans le piano.EN VISITERemettez vos gants avant d’entrer, si vous vous êtes branlée dans l’ascenseur.Quand la maîtresse de maison se penche pour vous embrasser, ne lui fourrez pasla langue dans la bouche. Cela ne se fait pas devant témoins.Dites : « Bonjour, madame, comment allez-vous ? » mais ne demandez jamais àune femme mariée : « Vous a-t-on bien baisée la nuit dernière ? » parce que le plussouvent elle n’aurait rien à dire.Dans un salon collet monté, ne prenez jamais le mouchoir d’un monsieur pour vousessuyer les parties honteuses, même si vous mouillez pour lui.Si l’une des visiteuses vous plaît, vous pouvez lui sourire à la dérobée ; mais nefaites pas vibrer votre langue dans votre bouche en forçant l’éclat de votre œil : ceserait exprimer trop nettement une proposition qu’il vaut mieux sous-entendre.À la personne qui vous fait admirer une rose, ne dites pas : « Elle ressemble au conde Mme X… » Ce serait un compliment, mais de ceux qu’il faut garder pourl’intimité.Si une dame modeste vous dit : « Mon fils travaille moins bien que votre frère », nerépondez pas : « Oui, mais son foutre est meilleur. » Les éloges de ce genre-là nefont aucun plaisir à une mère chrétienne.Si vous voyez une trace vermeille à la moustache d’un jeune homme, ne lui ditespas devant tout le monde : « Mme X… a donc ses affaires ? » Il y aurait un silencegênant.Ne demandez jamais à une tragédienne où elle a passé ses années de bordel.Renseignez-vous auprès de ses amies.Si l’on vous dit que vous êtes un « vrai garçon », ne montrez pas votre con pourprouver le contraire.Dire à une jeune dame qu’elle a de beaux cheveux blonds, c’est aimable ; mais luidemander tout haut si elle a les poils de la même couleur, c’est indiscret.Si une dame refuse de s’asseoir, ne lui donnez pas de conseils sur le danger de sefaire enculer par les maladroits.Si vous êtes assise sur le coin d’une chaise, ne vous remuez pas trop d’avant enarrière. Cela vous donnerait des distractions.Si le monsieur qui parle à votre mère se met à bander dans son pantalon, ne lefaites pas remarquer tout haut.Il faut toujours dire la vérité ; mais quand votre mère reçoit au salon, vous appelle etvous demande ce que vous faisiez, ne répondez pas : « Je me branlais, maman »,même si c’est rigoureusement vrai.SUPERSTITIONSOn prend les hommes en leur mettant un grain de sel sur le bout de la queue, puisen leur suçant la queue jusqu’à ce que le sel soit fondu.
Le vendredi étant le jour de Vénus n’a aucune mauvaise influence sur les rendez-vous d’amour. Bien au contraire.Si vous êtes treize à faire l’amour sur le même lit, n’envoyez pas votre plus jeuneamie se branler toute seule à la petite table. Faites plutôt monter la fille de laconcierge pour faire la quatorzième.De même si un amant tire treize coups avec vous en une nuit, ne le laissez pas selever qu’il n’ait déchargé pour la quatorzième fois.Si une jeune fille brune vous dit : « Les brunes viennent au monde par le con et lesblondes par le trou du cul », vous pouvez répondre hardiment que c’est un faux bruit.Si vous êtes blonde, vous pouvez même ajouter une gifle.Quand vous aurez perdu votre pucelage, ne vous adressez pas à saint Antoine dePadoue pour le retrouver. Saint Antoine de Thébaïde a beaucoup médité sur lesquestions sexuelles ; mais son homonyme ne s’y complaît pas.Ne vous attachez pas un petit cochon d’or dans les poils du con pour porter bonheurà ce qu’ils environnent. Les messieurs qui vous trousseraient pourraient rire decette enseigne.Dans le château où vos parents reçoivent, ne buvez pas l’eau de bidet de toutes lesjeunes filles pour connaître leurs pensées.Avant de recevoir un godmiché dans le cul, n’exigez pas que l’instrument soit bénipar l’archevêque. Certains prélats s’y refuseraient.À L’ÉGLISEUne petite fille qui s’éveille doit avoir complètement fini de se branler lorsqu’ellecommence sa prière.Si vous ne vous êtes pas assez branlée le matin, ne vous finissez pas à la messe.Ne suivez pas l’office sur un exemplaire de Gamiani, surtout s’il est illustré.N’arrachez jamais un bouton de culotte à votre voisin au moment de le donner à laquête. Faites-le avant d’entrer.« Les personnes qui connaîtraient des empêchements à ce mariage sont obligéesde nous en avertir », dit le prêtre. Mais c’est une simple formule. Ne vous levez pasà ces mots pour révéler des confidences.Quand vous êtes auprès d’une dame qui s’agenouille en creusant les reins, ne luidemandez pas si cette position lui rappelle des souvenirs tendres.Au catéchisme, si le jeune vicaire vous demande ce que c’est que la luxure, ne luirépondez pas en rigolant : « Nous le savons mieux que vous ! »Le jour de votre première communion, si une dame s’écrie en vous voyant : « Est-elle jolie ! On dirait une petite mariée ! » ne répondez pas : « Il ne me manque quela fleur d’oranger. » La réplique serait jugée leste.Si vous sucez un monsieur avant de partir communier, gardez-vous bien d’avaler lefoutre : vous ne seriez plus à jeun, comme il faut que vous le soyez.En vous agenouillant à la table sainte, n’invitez pas tout bas votre petite voisine àcoucher avec vous dans l’après-midi.Pendant le sermon, si le prédicateur paraît croire à la « pureté des jeunes filleschrétiennes », ne vous mettez pas à pouffer de rire.Si vous baisez l’après-midi dans une église de campagne, ne vous lavez pas le culdans le bénitier. Loin de purifier votre péché, vous l’aggraveriez au contraire.À CONFESSESi votre confesseur vous demande combien de fois vous vous êtes polluée, ne luirépondez pas : « Et vous ? »Ne vous branlez pas dans le confessionnal pour être absoute aussitôt après.Quand vous racontez toutes vos cochonneries au bon prêtre qui vous écoute, ne lui
demandez pas si ça le fait bander.Si vous vous confessez chez votre directeur, ne lui demandez jamais de vouslaisser prendre sa pine pour mieux lui expliquer ce que vous faites aux garçons ; etne lui montrez pas non plus votre con pour mieux lui expliquer ce que vous faites auxfilles.Si votre directeur prend l’habitude de vous baiser, de vous enculer ou de vousdécharger dans la bouche, avant de vous absoudre de cela et du reste, gardez-lecomme amant si vous le trouvez beau, mais prenez un autre confesseur. Au pointde vue canonique, le premier est insuffisant.AU MUSÉENe grimpez pas sur les socles des statues antiques pour vous servir de leursorganes virils. Il ne faut pas toucher aux objets exposés ; ni avec la main, ni avec le.lucNe crayonnez pas des boucles noires sur le pubis des Vénus nues. Si l’artistereprésente la déesse sans poils, c’est que Vénus se rasait la motte.Ne demandez pas au gardien de salle pourquoi l’hermaphrodite a des couilles etdes tétons. Cette question n’est pas de sa compétence.AUX CHAMPS-ÉLYSÉESSi vous avez déjà des nichons, ne vous découvrez pas à droite et à gauche pourdonner le sein à votre poupée. Cela est permis aux nourrices, mais non aux petitesfilles.N’achetez pas une baguette de cerceau pour vous la planter dans le con devant toutle monde. Faites cela chez vous.N’entrez pas dans les urinoirs pour voir pisser les messieurs.Si un vieux satyre vous montre son membre au détour d’une allée, vous n’êtesnullement obligée de lui montrer votre petit con par échange de courtoisie.Quand vous venez de baiser dans un massif en plein jour, ne vous lavez pas le culdans le bassin du Rond-Point. Cela vous ferait remarquer.DANS LA RUEDonner dix sous à un pauvre parce qu’il n’a pas de pain, c’est parfait ; mais luisucer la queue parce qu’il n’a pas de maîtresse, ce serait trop : on n’y est nullementobligé.Si vous avez envie de coucher avec un monsieur qui passe, ne le lui demandez pasvous-même. Faites-lui parler par votre bonne.Ne vous faites jamais fourrer une lance d’arrosage dans les parties naturelles. Cesinstruments-là éjaculent trop fort pour votre petite capacité.Si vous apercevez, le long d’un trottoir, un étalon violemment amoureux, n’avancezpas la main pour le soulager. Cela n’est pas dans les usages.Dans une foule compacte, si une main mystérieuse vient vous tâter le cul, écartezfranchement les cuisses pour donner des facilités.Ne dessinez pas des pines sur les murs, même si vous avez un réel talent dedessinatrice.Ne sucez pas les messieurs dans les pissotières avant une heure du matin.DANS LES BOUTIQUESSi vous vous faites gougnotter par une vendeuse du Louvre dans un salond’essayage, ne hurlez pas que vous jouissez, cela ferait un scandale affreux.En sortant des cabinets inodores, ne demandez pas une réduction sous prétexteque vous n’avez fait que vous masturber.N’entrez jamais dans un bordel pour demander une tribade quand vous n’avez pas
vingt francs sur vous.S’il vous manque un peu de monnaie pour payer votre acquisition, ne proposez pasau marchand de le sucer pour le surplus, surtout si sa femme vous écoute.N’entrez pas chez un coiffeur de dames en lui demandant effrontément de vousfriser les poils du cul.N’envoyez pas votre godmiché à la mercière pour y faire poser des rubans.AU THÉÂTRENe mettez pas la main sur le pantalon de votre voisin pour voir si le ballet le faitbander.Si vous remarquez qu’une danseuse a les cheveux blonds et les aisselles noires, nedemandez pas tout haut pourquoi.Ne dites pas non plus tout haut : « C’est cette grande-brune là qui couche avecpapa ! » Surtout si madame votre mère vous accompagne.Même si vous avez des renseignements complets sur les talents de la troupe, nedites pas pour toute la loge : « Celle-là suce comme une pompe ; elle tue qui elleveut ; et celle d’à côté, elle marche par le cul. »Si vous entendez, dans la pièce, des facéties un peu risquées, des allusions, des à-peu-près, ne les expliquez pas aux grandes personnes, même si les grandespersonnes ont l’air de ne pas comprendre.Ne demandez pas non plus pourquoi le beau ténor n’enfile pas la soprano quichante tout le temps comme si elle mouillait. Cela ne se fait guère sur la scène.Si le rôle de l’amant est tenu par une femme travestie, ne le hurlez pas à travers lethéâtre : « Sale gousse ! Rince ta langue ! Ousqu’est ton godmiché ? » et d’autresphrases impertinentes que le public n’entendrait pas sans protestations.À LA MEREn passant auprès d’un monsieur qui se baigne, ne l’empoignez pas par lescouilles, quelques facilités qu’offre son costume à vos attouchements. Ne vousbranlez pas en faisant la planche, ça se verrait.Au bain, ne demandez pas aux personnes présentes la permission de faire pipi.Faites-le sans autorisation.Autant que possible, ne vous enfermez pas avec un monsieur dans votre cabine debain. Entrez-y plutôt avec une jeune fille, qui vous fera minette aussi bien, si ce n’estpas mieux, et ne vous compromettra pas.Si vous écrivez des obscénités sur les cloisons de votre cabine, ne les signez pasdu nom de la dame qui vous a précédée.Quand, par un interstice des planches, vous apercevez dans la cabine voisine unedame qui se croit seule et qui se branle, ne frappez pas à la cloison en luidemandant « si ça va venir ». Au lieu de l’encourager, vous la troubleriez.Si un monsieur vous demande pourquoi vous ne prenez pas de bain, ne répondezpas : « J’ai mes règles. »À L’HÔTEL, EN VOYAGENe sonnez pas le maître d’hôtel à onze heures du soir pour lui demander unebanane. À cette heure-là, demandez une bougie.Ne demandez pas à la direction si la bonne sait faire minette. Interrogez-la vous-.emêmNe vous mettez pas à la fenêtre pour appeler les passants, même si vous avezgrande envie de baiser, et personne pour vous satisfaire.Vous pouvez regarder par le trou de la serrure pour savoir pourquoi votre mamans’enferme toute la journée avec un jeune homme que vous ne connaissez pas, maisgardez-vous de lui crier : « Hardi, maman ! ça vient, ça vient ! » Au lieu de l’excitervous apporteriez un trouble regrettable à ses occupations.
Si par le même subterfuge vous surprenez dans une chambre un touriste s’amusantavec une bonne de l’hôtel, il est inutile de le crier dans l’escalier pour avertir ladirectrice qui, certainement, ne s’en soucie pas.À LA CAMPAGNENe faites pas annoncer par le tambour de la commune que vous avez perdu votrepucelage. L’homme qui l’a trouvé ne vous le rendra pas.Rencontrée dans un lieu désert par un chemineau qui vous empoigne, laissez vousbaiser tout de suite. C’est le plus sûr moyen de ne pas être violée.Ne branlez pas sept ou huit petits paysans dans un verre pour boire le foutre avecdu sucre. Cela vous donnerait mauvaise réputation dans le pays.Devant le jardinier qui arrose la terre pour y faire pousser le gazon, ne vous arrosezpas la motte pour vous faire pousser des poils. Il rirait de votre naïveté.DEVOIRS ENVERS LE PROCHAINPénétrez-vous de cette vérité que toutes les personnes présentes, quels que soientleur sexe et leur âge, ont la secrète envie de se faire sucer par vous, mais que laplupart n’oseront pas l’exprimer.Respectez donc d’abord l’hypocrisie humaine que l’on appelle aussi vertu, et nedites jamais à un monsieur devant quinze personnes : « Montre-moi ta pine, tuverras ma fente. » Il ne vous montrerait certainement pas sa pine.Si au contraire vous vous arrangez pour être toute seule avec lui, dans un lieu où ilsoit certain de n’être surpris par personne, non seulement il vous montrera sa pine,mais il ne s’opposera pas à ce que vous la suciez.La plupart des conseils qui suivent dérivent des principes précédents.DEVOIRS ENVERS VOTRE PÈRESi monsieur votre père vous dit d’une voix furieuse : « Tu n’es plus ma fille ! » ne luirépondez pas en rigolant : « Il y a longtemps que je le savais ! »Quand monsieur votre père se présente dans la société qui vous entoure, ne ditespas : « Voilà le cocu ! » ou, si vous le dites, dites-le tout bas.Si vous buvez un verre de bière dans le billard de votre papa, vous ferez mal ; et sivous pissez dedans pour qu’on ne s’en aperçoive pas, vous ne ferez qu’aggravervotre faute.Si vous vous asseyez sur la cuisse gauche de monsieur votre père, ne vous frottezpas le cul sur sa pine pour le faire bander, à moins que vous ne soyez seule avec.iulSi monsieur votre père vous prie de le sucer, ne dites pas étourdiment que sa pinesent le con de la bonne. Il pourrait se demander d’où vient que vous reconnaissiezcette odeur-là.Si monsieur votre père vous conduit au bordel pour vous faire gougnotter par desputains habiles, ne donnez pas votre adresse à toutes ces demoiselles pouréchanger des cartes postales. Une petite fille du monde ne doit aller au bordel quedans le plus strict incognito.Si vous êtes en train de vous branler quand votre père entre dans votre chambre,arrêtez-vous : c’est plus convenable.Si monsieur votre père daigne éjaculer quelquefois dans votre petite bouche,acceptez cela les yeux baissés, et comme un grand honneur dont vous n’êtes pasdigne. Surtout n’allez pas ensuite vous en vanter comme une sotte à l’oreille devotre maman.DEVOIRS ENVERS VOTRE MÈREN’appelez jamais votre mère : « Vieille vache ! Rouchie de pissotière ! Gougnotte àputains ! Foireuse de foutre ! Vérole ambulante ! etc. » Ce sont là des expressionsqu’il faut laisser au vulgaire.
Ne lui dites jamais non plus : « Je t’emmerde ! Va te faire enculer ! Je te chie dansla gueule ! »Et surtout ne lui dites pas : « Tu me sors du cul ! » puisque c’est vous au contrairequi sortez du sien.Le soir, quand madame votre mère vient vous border dans votre lit, attendez pourvous branler qu’elle ait quitté la chambre.Si madame votre mère vous demande qui vous aimez mieux embrasser, nerépondez pas : « C’est le cul de la bonne. »Quand vous allez chez celui de vos amants qui a l’habitude de vous enculer, ne vousfardez pas le trou du cul dans le cabinet de toilette de madame votre mère, avec lebâton de rouge qui lui sert pour les lèvres.Ne ceignez pas un godmiché pour enfiler madame votre mère avant qu’elle vous en.eirpN’offrez pas à votre maman de jouer un rôle, si petit qu’il soit, dans ses voluptésconjugales. Attendez qu’elle vous le propose.DEVOIRS ENVERS VOTRE FRÈRERien n’est plus vilain qu’une petite fille qui regarde bander son frère et ne fait rienpour le soulager.Branlez votre frère dans son lit ; mais pas dans le vôtre. Cela vous compromettrait.Quand vous venez de sucer votre frère, ne crachez pas le foutre à la figure de votreinstitutrice. Si elle allait se plaindre, cela ferait des histoires.La plupart des petites filles se font dépuceler par leur frère, ce qui offre moinsd’inconvénients que l’intervention d’un étranger. Si votre frère vous monte dessus àtrois heures du matin et vous plante gentiment sa pine dans le cul, ne lui répondezpas que vous avez sommeil.DEVOIRS ENVERS VOTRE SŒURLes jours où mademoiselle votre sœur ne voit ni son amant ni sa tribade, mettez-luipoliment la main sous les jupes et demandez-lui si elle veut bien se contenter de.suovSi elle répond qu’elle aime mieux se branler toute seule, retirez-vous discrètement.Quand mademoiselle votre sœur est en train de pisser, ne lui retirez pas le pot pourla faire pisser par terre ; ce serait une farce de mauvais goût.Lorsqu’elle est à genoux dans sa chemise de nuit et dit ses prières du soir, ne luifourrez la langue dans le cul que si elle en exprime le désir.Si vous trouvez un monsieur tout nu dans le lit de mademoiselle votre sœur, n’allezpas le dire tout bas à monsieur votre père. La visite n’est pas pour lui.Si mademoiselle votre sœur a des poils sur la motte avant que vous n’en ayez vous-même, ne les lui arrachez pas sous prétexte que c’est injuste.Quand mademoiselle votre sœur part pour le bal, n’écrivez pas derrière sa robeblanche : « Enculez-moi messieurs, s.v.p. » Abstenez-vous de toute inscription dece genre.Pendant les fiançailles, ne dites pas à votre futur beau-frère qu’elle a beaucoup detalent pour sucer la queue. Quoiqu’il doive profiter de ce talent intime, le fiancé nel’apprendrait pas sans quelque mouvement d’humeur.Si l’on vous demande ce que fait votre sœur dans sa chambre, ne répondez pasqu’elle se branle, même si vous êtes sûre de ce que vous dites.Ne racontez à personne que mademoiselle votre sœur met son traversin entre sescuisses, se frotte contre lui et l’appelle Gaston.Si mademoiselle votre sœur se sert plusieurs fois de suite de votre godmiché sansvouloir vous le rendre, n’allez pas vous plaindre à vos parents. Ne comptez pas nonplus sur leur esprit de justice, les jours où elle refuse de vous faire minette. Dans les
deux cas, vous seriez fouettée.Ne vous moquez pas de mademoiselle votre sœur, si elle ne veut pas se faireenculer. Une jeune fille du monde est absolument libre de ne donner qu’un trou àses amoureux.Quand votre grande sœur en chemise est à genoux sur le prie-Dieu, ne lui faitespas minette par-derrière, cela lui donnerait des distractions.DEVOIRS ENVERS DIEUTous les soirs, avant de vous branler, faites votre prière à genoux.Admirez la bonté de Dieu qui donne à chaque petite fille un con pour y plongertoutes les pines du monde, et qui, pour varier les plaisirs, vous permet de remplacerla pine par la langue, la langue par le doigt, le con par le cul, et le cul par la bouche.Remerciez-le d’avoir créé les carottes pour les petites filles, les bananes pour lesjouvencelles, les aubergines pour les jeunes mères, et les betteraves pour lesdames mûres.Bénissez-le d’avoir mis en vous le désir de décharger et créé mille moyens pour enarriver là.Si vous désirez un amant, demandez-le-lui, il vous le donnera. Si c’est unegougnotte qu’il vous faut, dites-le-lui sans fausse honte. Dieu lit dans votre cœur.Vous ne sauriez le tromper.Ne priez pas quand vous êtes toute nue. Mettez une chemise de nuit, ne la relevezni par-devant ni par-derrière devant les personnes présentes. Si vous portez ungodmiché en érection sur votre motte, retirez-le. De même si vous l’avez dans le.lucPendant que vous priez à genoux, si quelqu’un profite de cette position pouressayer de vous enculer, ne vous prêtez pas à cette inconvenance.Avant d’aller communier, si vous sucez quelqu’un n’avalez pas le foutre, vous neseriez plus à jeun. Mais vous pouvez en boire le vendredi. Le foutre, pas plus que lelait, n’est considéré comme un aliment gras.Quelques jeunes filles trop surveillées achètent une petite Sainte Vierge en ivoirepoli et s’en servent comme d’un godmiché. C’est un usage condamné par l’Église.Par contre, vous pouvez vous servir d’un cierge à cet effet, pourvu que le cierge nesoit pas béni.AVEC L’AMANT DE SA MÈREQuand une petite fille a deviné quel est le bon ami de sa maman, elle ne doit, sousaucun prétexte, aller le dire à son papa.Ne désignez jamais à l’amant de votre mère une jeune fille qui se branle pour lui,surtout si cette jeune fille, c’est vous.Si l’amant arrive en avance et madame votre mère vous prie de faire attendre,faites-le bander, mais ne le sucez pas.Elle ne doit pas non plus, à l’heure où sa mère revient du rendez-vous, lui demandersi c’était bon, combien de fois elle l’a fait, si le monsieur bandait bien, etc. Cesquestions ne mériteraient que le fouet.Il lui est également interdit de prendre à part le bien-aimé pour lui demander :« Déchargez-vous dedans ? Est-elle bien cochonne ? Suce-t-elle gentiment ?Avale-t-elle le foutre ? Se fait-elle enculer ? », etc.Ni surtout pour lui dire : « Papa a baisé maman la nuit dernière. C’est ma bonne quime l’a dit. » Cette information ne serait pas accueillie avec plaisir.Si vous savez que votre mère attend son amant chez elle, ne vous cachez pas sousle lit, surtout pour sortir en faisant : « Boum ! c’est moi ! » pendant qu’on jouit danssa bouche. Vous seriez capable de la faire étrangler.Ne choisissez pas non plus cet instant pour entrer brusquement dans la chambre encriant : « Voilà papa ! » lorsque vous savez très bien que monsieur votre père est
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