Dossier George VI
20
pages
Français
Documents scolaires
2011
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe Tout savoir sur nos offres
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Niveau: Secondaire, Lycée, Terminale
N e pa s je te r su r la v oi e pu bl iq ue Dossier : George VI Page 9 Page 2 Interviews exclusives : Valérie Pécresse et David Willetts juin 2011 ? N° 12 ? D re am st im e. co m France-Angleterre : solide pont académique Formation : Droits français et anglais Page 6 NUMÉRO SPÉCIAL ROYAUME-UNI
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- cours - matière potentielle : l' année universitaire
- cours - matière potentielle : enseignement supérieur de mauvaise qualité
- redaction - matière potentielle : la convention sur la vente internatio - nale de marchandises
- redaction - matière potentielle : des lois
- cours - matière potentielle : superfi - ciel
N e pa s je te r su r la v oi e pu bl iq ue Dossier : George VI Page 9 Page 2 Interviews exclusives : Valérie Pécresse et David Willetts juin 2011 ? N° 12 ? D re am st im e. co m France-Angleterre : solide pont académique Formation : Droits français et anglais Page 6 NUMÉRO SPÉCIAL ROYAUME-UNI
- qualité
- membre étranger de la british academy
- etranger
- réel intérêt
- universités de tulane
France-Angleterre : solide pont académique
NUMÉRO SPÉCIAL ROYAUME-UNI
juin 2011 ‑ N° 12 ‑ www.univ-paris1.fr
Interviews exclusives : Valérie Pécresse et David Willetts Page 2 Formation: Droits français et anglais Page 6 Dossier: George VI Page 9
livrent les grands systèmes densei-gunn erpméeveun lt des urpeétraireur . noCuest tea voénpso qpruies est o ue. Certes d dans les classe-ments internationaux mais nous avons des fastouts formidables pour être attracti . Outre son image de puissance cultu-relle prestigieuse, la Fr ose tdeucnhen ovlroagiieq cuae.p Laceist éu naicvaaerdnscéitemé isd qiesunpe de-et venant autonomes, peuvent mettre en avant et développer leur spécifi -cité et être ainsi mieu ou la compétition mdoanvdeianxli er,a. rdGmréâecs e ôpaleusx r idnevxecsteilslseencmee ntàs visibilité meso npdiale rvonatl iséemr eragveerc elne s Frmaenicllee uetr eps ouércroolenst iv et universités rtaepllpe e qduees HPaôlrevsa rdd ; la force de f e recherche et denseignement supé-rieur .( PaPrrneegsn)e ore nt ssl eepruoar rni tm exaagines idlee d, méleam ruPqlrtuie-es à létr Sploairréibss oInI,n eI-VU enti vVersités,e mlpecrs éé sptiasr- P I. Avec inve sements davenir, elles travaillent dorénavant de concert et présentent des projets exceptionnels. Les formations sont de plus en plus nombreuses à s’associer avec des partenaires étran -gers. À titre d'exemple, le King’s College de Londres et l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sont partenaires. Quel est le réel intérêt de ces associations ? V.P. : Dans un contexte de mon-dialisation des formations, aucun res é. ftLéuaatvaé sobll rloqliii sbs seosdern ue mrl neelno at mrutabnoyene o onpmdneieeue tm reépnsate r.tta e iiucrni Dcxtp,eieo serpn ondsultaeàii -s-s tiona nos universités que ues années se sont r partenariats se sont dféveloatpipoés et ont donné lieu à des orm ns
L en G est selon-vous la spécificité va -lorisante du modèle français ? Valérie Pécresse : Tout dabord, les s stèmes nique yse sont dfréavenlçoapisp ése t dabnrsi tadne-s environnements culturels très dif-férents. Ce que ces deux systèmes ont en commun cest lexcellence mondialement reconnue de leurs formations et de leur recherche. Aujourdhui, les différences entre les deux modèles tendent à sestom-p d e é r fi . I : l s s m o a n i t nt c e o n n i f r r on l’ t e és aux mêmes s xcellence de leencsheeirgcnheement supléisrieer ulr acect èsd ea ulax rétuda esm ounn,d ivgeérsniétraiares et sadapter à l ialisation en attirant les meilleurs étudiants, en c d h é e fi r s c , h l e a u r r s é . f o P r o m u e r d r e é p l’ o a s u e t i o g n n o an m t i s e e a t ndre à ces rofondément bouleversé le pay-spage universitaire français. En 2007, les universités françaises étaient sous dotées, sous admi-nistrées, délaissées et attendaient uannes. vrTraoieis réafnosr meet ddeepmuii s plqéuues,a rtaaelrnldtee, luniversité est décomplex ou saa rcetarroteu veé n sap lefiienret é coetn fipaenucte jfaceer aux grandes écoles. Les r b c é e néfi b c l es sont de plus en plu ti es en termes dinnovatiso np epédpago-giquie .d aLness lau ngieversités progressent auss stion des ressources humaines et faovnedc altei onmso nud e élceo norampiqpruoe,c hveiam leenst niversitaires et les re-cherclhes paarntdeen aartitaelnetis. De même, une p u à laccosm gpragnement deosn éetsut dpioarnttése et à leur insertion professionnelle. Luensi veerfsfiotréts entreprisl us payatetnrta, ctinvoess ds sont p et ynamiques. Les classements (Shanghai, Financial Times, QS World, Bloomberg BusinessWeek…)
être ainsi en interaction avec la recherche internationale nourrit l’excellence scientifique de la France. Quelles seraient vos recom -mandations pour que la for -mation supérieure soit à fois source de formation l’individu et tremplin p l’insertion professionnelle s c V o .P n . s : i dLéornég teqmuep s,l eluers urneisvpeorsnistéabi sM'aarirs êtdaeit àu ilsa ldaé lliovir asnucre l'dauu tdoipnloô l'insp rofessionnelle est de nue elretuior ntropisième mission, au c de la formation et de la recherc Au o tdaeusjx urdddi'inhasuenitr,st i ondnoe usmp ardsotifeserps so3iso0on nnmse ollids étu après lobtention de leur diplôme, pour chacune des universités. Coemttne e ean fqauitê te pbuebrl inéoe mcbert e adue- t tom s. Les résul bproénjsu gaévec un taux tgaltso bsaoln td t'rinè-s sertion de 91,4 % des bac +5. Cest ue nou devi ounns e dinofnonremr ataiuoxn fqamilles s et aux étudiants, car pour s'orienter sàu lr' ulnei vmerasrictéh ée t dpuo turra rvéauils,s iilr feanustui corr n e c c e t s e d m e e s n t d i i f n f f é o r r e m nt é e s s u fi r l i l è e r s e s p . er ma sionne r eCl é ule fl tettle d h ele i ln r e pq eiul a soêt u t t x epa agsu v reu i o rap i pi e lloile s neu usruv d erle ’ rsent a istu o m nudn é n ée l i i spxv o orce r roer a flsm t l i a o i n s o i s-mêmes, q éc éventuelles des filières les moins paruojfoeusrsdiohnuin acliessat ntdees . faMiroen ean msboitritoe n que tous les diplômes de luniver-smitaés teprusi,s lseesn td omcetonreart s,à mleaims palouis,s il leess licences. Inscrite désormais dans la loi, en quoi l'autonomie des universités constitue-t-elle
çaise est de retour avec de nouvelles mar de manuvre et de nou-vellegs esr esponsabilités. Les univer-sités sont désormais caodnaspttréusir ep doeusr pfraovjoetrsis epplré udsla al giobrrégeiusqs sidtee ues
Grâce à lautonomie, cest aussi tohuat nle rreoggatrr edds sissvuoerr mmleunnti :v elerssi téét abqluiis -c ge p sements son é ais en mesure de se forger une identité. Jen veux rpéosuera upxr eudv'ea lnec iednésv eloétpupdeimanetnst. deLse ntre r es et de trievigtéasr dl odceasl ees a lpuii saussi évosl ucéo l:l eecn- tém ent les différentes fondations aveco ilge nmonde économdiqéjuàe. universitaires dores et conçues
conjointes, le plus souvent au niveau master. Aujourdhui, on recense détéajàb lplsuesm deen ts2 0f0r apnaçratiesn areit atsb reitnatrne- is
se multiplient avec leurs dé -tracteurs et leurs prosélytes. Quels sont les atouts des établissements français pour
France-A le ng terre C : l ass b em a en l ts l , a e uto no a mi u e, passés en revue par Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche
concrètement selon vous, un atout pour l'enseignement supérieur français ?
Le fil de Par1s -juin 2011 2 EN UNE
